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Publié parEudes Billy Modifié depuis plus de 10 années
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Conférence Le lâcher prise : stratégie de maintien personnel et atout professionnel Association des cadres scolaires du Québec FRP Groupe-Conseil inc.
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Plan de conférence Le lâcher prise
Le concept du lâcher prise et ses composantes L’importance du lâcher prise au travail Les occasions et les besoins de lâcher prise Le concept de maîtrise personnelle
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« Apprendre à vivre, c’est apprendre à lâcher prise »
Cette expression signifie qu'on ne reste pas accroché à ce qui fut bon mais ne l'est plus. D'une certaine façon, il faut mourir à soi-même, c'est-à-dire abandonner les vieilles formes de pensée. Le meurs et deviens de Goethe va dans le même sens.
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Qu’est-ce que le lâcher prise?
Ce que c’est Une question de choix ou de non-choix Acte créateur Stratégie d’adaptation Une question d’intention : un moyen ou une fin de transformation Atteindre un but Ce que ce n’est pas La résignation La déresponsabilisation La passivité L’indifférence L’obsolence
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Pourquoi lâcher prise dans le contexte de travail d’aujourd’hui?
Des statistiques qui parlent d’elles-mêmes! Selon un sondage corporatif effectué au début de 2000 auprès de 1 506 participants à des régimes d’assurance collective choisis de façon aléatoire dans tout le Canada, 62 % des répondants ont affirmé être très stressés au travail alors que 64 % se disent irritables ou anxieux. Entre 1990 et 2001, le nombre de réclamations acceptées par la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) comme des lésions professionnelles liées au stress, à l’épuisement professionnel ou à d’autres facteurs d’ordre psychologique a plus que doublé, passant de 530 à 1082, et entraîné des déboursés à la hausse, soit de 1,5 à 6,9 millions de dollars par an. Les enquêtes sur la santé et le bien-être de la population québécoise effectuées par Santé Québec entre 1987 et 1998 démontrent que l’incapacité de travail due à des problèmes de santé mentale a presque doublé, passant de 7 % à 13 %.
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Pourquoi lâcher prise dans le contexte de travail d’aujourd’hui?
Des statistiques qui parlent d’elles-mêmes! (suite) Les enquêtes sur la santé et le bien-être de la population québécoise effectuées par Santé Québec révèlent que le nombre moyen de journées d’incapacité de travail par personne pour des problèmes de santé mentale a plus que triplé entre 1992 et 1998, passant de 7,4 à 24,6 jours par 100 personnes, soit une hausse de 200 %. Les coûts sociaux attribuables aux problèmes de santé psychologique au travail s’élèvent, au Canada, à plus de 20 milliards par an et, seulement au Québec, ces coûts atteignent tout près de 4 milliards de dollars annuellement.
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Pourquoi lâcher prise dans le contexte de travail d’aujourd’hui
Pourquoi lâcher prise dans le contexte de travail d’aujourd’hui? (suite) Réalité organisationnelle Ère de performance Souci d’efficacité Manque de ressources Exigences élevées Rapidité d’action Nouvelles technologies de l’information Pénurie d’infirmières Accroissement de la clientèle Désengagement de l’état État des travailleurs d’aujourd’hui Impacts Sentiment de surcharge Stress Détresse psychologique Absentéisme Difficultés conciliation travail/famille Manque de temps pour soi Nouvelles exigences individuelles Capacité d’adaptation Tolérance à l’ambiguïté Santé personnelle Gestion de soi Gestion du temps et des priorités Bien-être personnel et relationnel au travail Gestion du stress Lâcher prise Équilibre vie/famille
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Le lâcher prise : à qui la responsabilité?
Individus Le DO cherche à concilier les besoins des individus, des groupes et des organisations. En premier lieu, l’axe portant sur les individus suppose que les besoins individuels seront comblés dans un environnement de travail sain. Les individus satisfaits de leur situation de travail seront donc des forces aidantes pour les interventions. En second lieu, les groupes peuvent contribuer à l’atteinte des objectifs de l’entreprise ou l’entraver. De plus, les groupes peuvent remplir certains besoins des individus. Ces derniers peuvent aussi contribuer au succès et au développement du groupe. Lors des interventions, la dynamique d’un groupe et des individus qui le composent doit être bien comprise. Enfin, les organisations, c’est-à-dire la structure, les postes et la nature du travail peuvent combler les besoins individuels. Aussi, la culture organisationnelle peut être un frein à l’implantation d’un changement. Ainsi, l’organisation elle-même peut favoriser la réussite de l’intervention ou représenter un obstacle. Individus Besoins comblés dans un environnement de travail sain. Peuvent être des forces aidantes. Peuvent contribuer au développement du groupe. Groupes Contribuent ou nuisent à l’atteinte des objectifs. Peuvent répondre à certains besoins des individus. Organisations Peuvent combler les besoins des individus et des groupes. Culture organisationnelle, un frein à l’implantation du changement. Peuvent favoriser la réussite ou être un obstacle à l’intervention. Organisations Groupes
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Le lâcher prise : avant tout une solution individuelle!
Personne ne réagit à une même situation de la même façon. Si on ne peut y échapper, il faut reconnaître qu’il y a certaines façons de l’aborder qui en facilitent le passage. Le sentiment de maîtrise personnelle, l’optimisme, la capacité de s’affirmer, l’estime de soi, le soutien social et la capacité à lâcher prise sont des facteurs de protection individuelle. Le stress ne provient pas de l’événement en tant que tel, ni de l’individu lui-même. Il provient de la perception que l’on s’en fait. Selon un sondage national, la charge de travail (43 %), les responsabilités financières personnelles (35 %) et le maintien de l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle (32 %) représentent les principales sources de stress. (Angus Reid, mai 2000) La proportion des travailleurs qui disent vivre du stress au travail est passée de 39 % en 2000 à 59 % en (La presse, 4 mai 2001) Au Québec, on estime que les coûts directs des problèmes de santé liés au stress organisationnel (absentéisme, taux de rotation, frais médicaux) atteignent chaque année 6 milliards de dollars. (Les affaires, 5 octobre 1998)
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« La seule porte de sortie est à l’intérieur »
Auteur anonyme
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Pourquoi lâcher prise au travail?
Au niveau professionnel Apprendre à lâcher prise permet d’éviter l’épuisement professionnel Lorsque la charge de travail est sans cesse grandissante et les ressources sont limitées. Lorsqu’on est incapable de décrocher, qu’on est toujours pressé et qu’on gère mal son stress. Lorsque nos ambitions de carrière sont démesurées. Lorsqu’on est aux prises avec un perfectionnisme paralysant. Lorsqu’on est incapable de déléguer et qu’on veut être partout à la fois.
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Pourquoi lâcher prise au travail?
Au niveau professionnel (suite) Apprendre à lâcher prise permet de diminuer les risques de conflits interpersonnels lorsque la personne : a besoin de tout contrôler; contrôle l’information; est rigide dans ses positions; impose aux autres sa façon de voir et de vivre…; est incapable de prendre du recul; a de la difficulté à faire confiance aux autres; etc.
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Avant de briser… apprendre à lâcher prise!
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Occasions et besoins de lâcher prise : différents signaux d’alarme
Au niveau individuel Symptômes physiques Insomnie, rigidité corporelle, hypertension et maladies cardiaques, troubles digestifs, augmentation de la consommation de café, de tabac et d’alcool, etc. Symptômes psychologiques Difficulté à dire non, manque de confiance, perfectionnisme, ambition démesurée, dépression, anxiété, etc. Symptômes cognitifs Difficulté à déléguer, à prendre des décisions, perte de mémoire, retards, etc.
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Occasions et besoins de lâcher prise : différents signaux d’alarme
Au niveau individuel (suite) Symptômes spirituels Perte de sens de la vie, défaitisme, négativisme, difficulté à être en relation avec soi-même, cynisme, etc. Symptômes financiers Endettement, pression à vendre, consommation compulsive, etc. Symptômes sociaux Conflits interpersonnels, isolement, personnalité contrôlante, etc.
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Garder son équilibre – Les schèmes de l’équilibre
Le cercle des préoccupations représente tout ce qui nous occupe et préoccupe. Le cercle d’influence représente les faits sur lesquels nous avons un certain contrôle. Cercle des préoccupations Les problèmes que nous rencontrons relèvent de l’une des deux catégories suivantes. Cercle d’influence Les problèmes contrôlables peuvent se résoudre si nous travaillons sur nos habitudes et façons de voir les choses et sur nos méthodes d’influence (cercle d’influence). Les problèmes incontrôlables, il faut apprendre à vivre avec, lâcher prise et s’adapter à la réalité. Les problèmes contrôlables peuvent se résoudre si nous travaillons sur nos habitudes et façons de voir les choses et sur nos méthodes d’influence (cercle d’influence). Les problèmes incontrôlables, il faut apprendre à vivre avec, lâcher prise et s’adapter à la réalité. Modèle de Stephen R. Covey
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Garder son équilibre – Les schèmes de l’équilibre (suite)
Loisirs Famille Travail Les gens proactifs concentrent leurs efforts sur le cercle d’influence. Les réactifs se concentrent sur le cercle des préoccupations. Ils focalisent sur les faiblesses et les problèmes. Je peux être plus… Je préfère Je choisis Soi Amis Spiritualité Si j’avais… Je n’y peux rien Je dois
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Cultiver une attitude proactive
ATTITUDES PROACTIVES ATTITUDES RÉACTIVES Je suis capable d’influencer le cours des choses. Je vais prendre les choses une par une. Trouver des solutions aux problèmes. J’entrevois l’avenir du mieux. Je parle de ce que je vis. Je ne peux rien faire, c’est comme cela. J’espère qu’un miracle va se produire. Continuer à faire comme si de rien n’était. Je redoute le pire. Il n’y a personne pour m’aider.
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Développer des compétences essentielles au lâcher prise
Accepter l’expérience Quelle est ma réaction première face au changement? Apprendre à dire oui Le dehors dépend du dedans Miser sur la connaissance plutôt que sur la force Suivre le courant de la vie Développer la patience supérieure Lorsqu’il y a résistance au changement et tendance à dire non Neutraliser les forces destructrices Le dehors dépend du dedans. N’essayez pas de changer le monde qui vous entoure, changez plutôt votre attitude et votre point de vue, p. 34 Se libérer par la connaissance (de soi plutôt que par la force) Chaque fois que l’on comprend mieux une réaction négative, elle perd de sa force, de son emprise sur soi Cette nouvelle force est acquise, elle est née de l’absence d’une ancienne faiblesse Cessez d’être à contre-courant Se placer en harmonie avec la vie et communiquer avec son moi profond Développer la patience supérieure Heureux mélange de paix intérieure et de vigilance, deux mots qui expriment la vraie guérison spirituelle Neutraliser les forces destructrices (besoin de plaire, la colère, les vains désirs, les mauvaises habitudes...) Palette des trois émotions primaires, p. 268, Millman Résistance/insécurité Perte de confort (physique et psychique) Peur de perdre Peur de l’inconnu
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Développer des compétences essentielles au lâcher prise (suite)
2) Se connaître soi-même (Q.E.) Prise de conscience et connaissance de soi Identifier les sources de tension et interpréter ses signaux d’alarme Analyser l’impact de ces éléments sur son niveau de stress 3) Développer la confiance et le positivisme Développer la confiance en soi et en ses ressources Entretenir des pensées positives Envisager le meilleur résultat possible (technique du pire scénario!) Requestionner ses valeurs personnelles
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Développer des compétences essentielles au lâcher prise (suite)
4) Miser sur son vrai moi Distinguer « faire » et « être » Se libérer du perfectionnisme Se libérer du jugement des autres Développer la volonté pour modifier ses attitudes personnelles Réévaluer le réalisme de ses ambitions personnelles Se libérer de son personnage 5) Évaluer le volume de la tâche et de son sens des responsabilités Remettre à l’autre ses responsabilités Être capable de s’appuyer sur les autres en osant demander de l’aide Oser se remettre en question 6) Connaître et exprimer ses limites personnelles Reconnaître et accepter ses limites Cesser les jugements, les accusations et les comparaisons Exprimer son ressenti
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Quelques stratégies pour lâcher prise?
Choisir ses priorités Pratiquer le détachement Prendre soin de soi et se faire plaisir Gérer son énergie Plan d’action personnel Pour apprendre à dire oui, il faut savoir quand et comment dire non.
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Pour choisir ses priorités : savoir distinguer urgence et importance!
U R G E N T P A S U R G E N T I M P O R T A N CADRAN I Crises Problèmes pressants Projets à échéance serrée CADRAN II Formation, lectures Création et consolidation de relations interpersonnelles Recherche de nouvelles opportunités Planification Activités récréatives S CADRAN III Interruptions Appels téléphoniques pressants Courrier ou rapports pressants mais non importants Réunions Affaires pressantes mais non importantes CADRAN IV Travail de routine Divers, courrier non urgent Appels téléphoniques divers Voleurs de temps Pauses URGENT signifie que l'on doit apporter une attention immédiate à une certaine activité. Les activités urgentes sont souvent le fait d’un besoin exprimé par quelqu’un ou associées à un problème ou à une situation qui demande une solution rapide. Ce type d'activité tend à être valorisé et stimulant : il nous met en valeur. Une activité devient IMPORTANTE lorsqu’elle a une valeur pour soi et pour l’organisation, c’est-à-dire qu’elle nous apporte satisfaction et qu’elle est en lien avec les priorités établies. Les activités importantes permettent d’atteindre un but, ce qui apporte un sens au travail et un sentiment d’accomplissement. Plus l’individu accomplit des actions importantes, plus il est satisfait. COVEY, S.R. Covey Leadership Center, Paris, First, 1994
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Pour choisir ses priorités : savoir distinguer urgence et importance
Pour choisir ses priorités : savoir distinguer urgence et importance! (suite) U R G E N T P A S U R G E N T I M P O R T A N CADRAN I CADRAN II S CADRAN III CADRAN IV Les activités IMPORTANTES ET URGENTES (problèmes pressants, échéances serrées) occupent trop souvent une portion importante du temps de travail. Bien qu’il faille y accorder une attention immédiate, il faut comprendre que ces activités deviennent urgentes parce qu’on les a repoussées trop souvent et qu’on a négligé de prendre les mesures de planification et de prévention nécessaires. Les activités NON IMPORTANTES MAIS URGENTES (téléphone, courriel) contribuent souvent à surcharger. Elles empêchent d’atteindre des résultats et donnent l’impression d’éteindre des feux. Les activités IMPORTANTES MAIS NON URGENTES donnent la possibilité de planifier à long terme, de prévoir les problèmes et d’améliorer ses compétences. Elles permettent de concentrer ses énergies sur des tâches qui donnent sens à son travail. Les activités NON IMPORTANTES ET NON URGENTES (courrier surperflu, activités non productives) sont à éviter.
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Pratiquer le détachement
Utilisé comme stratégie d’adaptation, il permet d’être aux commandes et non pas au cœur de la bataille. En étant observateur En prenant du recul En s’accordant du temps pour réfléchir En prenant le temps de se questionner sur ses réactions En choisissant ses combats En s’adressant à son vrai moi En découvrant le sens de l’expérience
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Prendre soin de soi et se faire plaisir
Chaque fois que l’on se donne des occasions de prendre soin de soi, on augmente sa capacité à lâcher prise Décrocher S’investir dans une passion personnelle Choisir des loisirs à sa mesure et facilement accessibles Prendre le temps de perdre son temps Méditer, penser à ses valeurs, ses besoins, ses idéaux Adopter de saines habitudes de vie (nutrition, sports, sommeil, relaxation) Etc.
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Gérer son énergie Côtoyer des personnes positives
Faire des choses que l’on aime Se centrer sur ses forces Décider de changer de cercle Etc.
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Quelques références ALLAIN, Carol. Changez d’attitude, Montréal, Les Éditions logiques, 1998, 238 p. COVEY, S.R. Les sept habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent, Paris, First, 1993. COVEY, S.R. Priorité aux priorités, Paris, First, 1995. DE WAELE, M., J. MORVAL et R. SHEITOYAN. La gestion de soi dans les organisations, Éditions Guérin, 2001, 174 p. FINLEY, Guy. Les clefs pour lâcher prise : Libérez-vous des liens qui vous retiennent, Le Jour éditeur, 1995. FINLEY, Guy. Lâcher prise : La clé de la transformation intérieure, Le jour éditeur, 1993.
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Quelques références FOUCHER, R., A. SAVOIE et L. BRUNET. Concilier performance organisationnelle et santé psychologique au travail, Éditions Nouvelles, SQPTO, 2003, 357 p. LIMOGES, Jacques. Stratégies de maintien au travail et dans d’autres situations de vie. Septembre Éditeur, 2001. MILLMAN, Dan. La voie du guerrier pacifique, Éditions du Roseau, 1994, 447 p. MONBOURQUETTE, Jean. Grandir. Aimer, perdre et grandir. Novalis, 2004. SAMSON, A. Pourquoi travaillez-vous?, Montréal, Les Éditions Transcontinental inc., 2002, 102 p.
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