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Prévenir et agir sur la maladie chronique

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Présentation au sujet: "Prévenir et agir sur la maladie chronique"— Transcription de la présentation:

1 Prévenir et agir sur la maladie chronique
Programme de modification des habitudes de vie Prévenir et agir sur la maladie chronique GUIDE À L’INTENTION DE L’ANIMATEUR Introduction au guide Ce document a été préparé par la Table régionale des intervenants psychosociaux des CSSS et des CRI de la région de Montréal afin de soutenir l’offre de service au sein des programmes en maladies chroniques, relativement aux enjeux psychosociaux. Il vise à assurer un contenu basé sur les données probantes tout en soutenant le développement d’une offre de service harmonisée sur le territoire. Le matériel est développé pour une utilisation multiclientèle. Lorsque requises, des notes précisent les éléments clés à transmettre à une clientèle spécifique ou orientent l’animateur vers des documents complémentaires (des travaux sont planifiés en pour préciser les besoins spécifiques des personnes présentant une maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) ou une maladie coronarienne athérosclérotique (MCAS). Le contenu actuel comprend les présentations suivantes : Ma motivation et mes outils pour le changement (durée minutes). Santé psychologique – stress et sommeil (Durée minutes). Un premier groupe d’utilisateur a été formé le 27 mars 2014 par la Table régionale des intervenants psychosociaux des CSSS et des CRI qui mesurera l’implantation du matériel actuel au cours des prochains mois. Les utilisateurs sont donc invités à tester le matériel dans sa forme intégrale et à participer au processus en cours par la table. Pour toute information relative à ce matériel, veuillez vous adresser à l’adresse courriel : Structure du guide Chaque diapositive est accompagnée d’un guide pour l’animateur ou l’on retrouve : l’animation suggérée, une note facilitant la transition vers la diapositive suivante, les messages clés à transmettre et des notes complémentaires au besoin. Guide d’animation de la diapositive « Santé psychologique » Le style d’animation suggéré est un style participatif : invitant les participants à s’exprimer et utilisant leurs exemples pour livrer le matériel éducatif. Souhaiter la bienvenue aux participants, puis expliquer le but de la rencontre « Puisqu’un trouble de santé peut amener du stress et même des difficultés de sommeil, nous vous proposons de parler de ces deux thèmes aujourd’hui. Si vous acceptez, nous débuterons par parler du stress. Plus précisément, du lien entre la santé physique et la santé psychologique et des outils que vous avez et que vous pouvez utiliser pour le gérer. » « Tout d’abord, qu’est-ce que le stress pour vous? » Messages clés Le stress est un ensemble de réactions physiques et émotionnelles ressenties par une personne lorsqu’elle est soumise à des exigences, des contraintes ou des demandes habituelles ou inhabituelles. Transition « Nous allons maintenant nous intéresser au lien entre la santé et le stress. » Notes complémentaires Le stress temporaire est passager, ex. passer un test ou une entrevue, se marier et n’ a généralement pas d’effet néfaste sur la santé. Un stress chronique est relié à un évènement ou un facteur qui persiste dans le temps, ex. une relation abusive, un milieu de travail malsain, la pauvreté, une maladie chronique. Santé psychologique Avril 2014 Avril 2014 document de travail

2 Le lien entre la santé et le stress
Le stress cause-t-il votre maladie chronique ? Sécrétion d’hormones de stress Santé Stress Changement dans les habitudes de vie Animation suggérée Demander aux participants d’exprimer leurs croyances quant au lien entre la santé et le stress « Le stress cause-t-il votre maladie chronique? » Messages clés Le stress et la santé ont une relation à double sens. Le corps réagit au stress, ex. lorsqu’il se sent en danger, il augmente son rythme cardiaque et contracte ses muscles. Ces changements le prépare à réagir. Le stress fait partie intégrante de la vie. Il est commun qu’une condition de santé chronique engendre du stress. Elle peut être vécue comme une menace, un élément imprévisible ou hors de son contrôle, ou tout simplement une nouvelle réalité à laquelle s’adapter. Le stress amène la sécrétion des hormones de stress qui peuvent intensifier vos problèmes de santé. La façon de gérer le stress amène ou non des difficultés. Le stress et ses symptômes peuvent amener le sentiment de se sentir dépassé par la situation et, s’il n’est pas bien géré, engendrer différentes difficultés, ex. difficulté à demeurer actif, à respecter ses rendez-vous médicaux, à suivre les consignes de santé, perturbation du sommeil, etc. Transition « Nous allons maintenant regarder comment le stress peut être le résultat d’un déséquilibre entre les demandes et les ressources qu’on a. » Notes complémentaires Diabète : le stress peut chez certaines personnes entraîner une augmentation de la résistance à l’insuline. MCAS : le stress peut chez certaines personnes accélérer le développement de l’athérosclérose. MPOC : voir annexe « Cycle anxiété- essoufflement. » Avril 2014 document de travail

3 La gestion de stress : une question d’équilibre
DEMANDES Sources de stress RESSOURCES Solutions Problèmes familiaux Perception positive Perception positive Problèmes d’argent Saine alimentation Conflits au travail Activités physiques Activités plaisantes Sexualité Problèmes de santé Animation suggérée Amener le groupe à réagir sur les notions de demandes et de ressources en expliquant que la mission en cours pour gérer le stress est d’ajouter du poids du côté des ressources. Encourager l’énoncé des autres solutions. Messages clés Le stress est le résultat d’un déséquilibre entre les demandes et la réponse que l’on a en terme de ressources et de solutions. La gestion d’une maladie chronique demande des changements à des habitudes de vie : le fait de devoir faire ces changements peut être stressant, irritant ou frustrant. C’est donc une source de stress qui peut être chronique. Il existe plusieurs solutions pour aider à gérer le stress. En augmentant nos ressources, on gère davantage les demandes, diminuant ainsi l’impact des facteurs de stress sur notre santé. Éliminer le stress de nos vies est une chose impossible. Par contre, ce qui est envisageable c’est d’apprendre à vivre avec en se dotant d’outils pour y faire face. Transition En cliquant sur la souris, vous pouvez colorer la bulle « perception positive » et l’utiliser pour effectuer l’introduction de la prochaine diapositive : « Nous allons maintenant regarder un exemple de situation où on voit qu’en changeant notre perception d’une situation on augmente nos ressources, ce qui diminue le stress vécu. » Notes complémentaires Les sources de stress sont des événements ou situations de la vie de tous les jours qui peuvent entraîner du stress de façon temporaire ou chronique. Facteurs social ou relationnel : séparation, divorce, conflits familiaux, maladie ou décès d’un proche, etc. Facteurs environnementaux : troubles financiers, climat hostile (froid, smog, chaleur intense, etc.), exigences du marché du travail, obligations familiales, etc. Contraintes et exigences liées à la gestion et à l’adaptation à une maladie chronique : incertitude, réaction devant les difficultés à changer ses habitudes (entre autres lors de rechutes), sentiment d’être contraint à : suivre sa santé (prise de glycémie, tension artérielle, etc.), changer ses habitudes alimentaires, faire de l’exercice, arrêter de fumer, craintes de mourir ou de voir leur état de santé se détériorer. Perturbation des habitudes de vie : changement dans la capacité d’accomplir des activités de tous les jours, perte d’emploi, retraite anticipée, nécessité de diminuer sa fréquentation de restaurants, perturbation de la vie sexuelle. Difficultés émotionnelles Bon sommeil Perturbation des habitudes de vies Soutien : médical, émotionnel, social Avril 2014 document de travail

4 Contrôle, Imprévisibilité, Nouveauté, Menace
Une situation : deux réactions… Désir de fumer Rythme cardiaque Tension musculaire Irritabilité CD - Détente Animation suggérée Amener les gens à réagir aux images en ayant en tête les ressources (solutions) discutées dans la tuile précédente. Vous pouvez leur demander de nommer le langage intérieur des personnages, par exemple : LUI, « Comment ça un bouchon pareil, j’arriverai jamais à temps, je prends jamais le bon chemin. Voilà un innocent qui tente de se faufiler. » ELLE, « Pas surprenant ce bouchon, c’est l’heure du retour pour tout le monde. Bon! On s’énerve ou on reste zen? Qu’est-ce qui m’attend d’important à la maison? HUM ! J’appelle pour aviser que j’arrive en retard, ensuite je mets ma chanson préférée. » Expliquer ensuite le lien entre - la perception d’un facteur de stress – les émotions ressenties – le comportement adopté et son impact sur la santé et les habitudes de vie. Messages clés Notre façon de réagir à une situation dépend de la perception qu’on en a : nous semble-t-elle hors de contrôle? imprévisible? Inconnue ou nouvelle? Menace-t-elle quelque chose d’important? L’importance que l’on accorde à une situation dépend de notre confiance en notre capacité à l’affronter. Transitions « Nous allons maintenant regarder quels sont vos outils pour mieux gérer le stress. » Notes complémentaires Chant Respiration Contrôle, Imprévisibilité, Nouveauté, Menace Je perçois Je réagis Je ressens Avril 2014 document de travail

5 Vos outils pour mieux gérer le stress
Reconnaître les signaux. Reconnaître les sources de stress. Résoudre un problème à la fois (solutions). Faire face aux tentations, avoir droit à l’erreur. Rechercher du soutien. Se concentrer sur le positif, utiliser l’humour. Prendre du temps pour soi, se détendre. Mettre en pratique son plan de traitement. Animation suggérée Demander aux participants de nommer leurs stratégies personnelles de gestion de stress. Résumer ensuite les 8 outils pour mieux gérer le stress. Messages clés Les signaux sont des malaises qui en disent long. Les signaux vous aident à identifier vos facteurs de stress. Vous avez des outils à votre portés pour mieux gérer le stress. Transitions « Si vous acceptez, nous allons expérimenter un exercice de détente. » MPOC : pour enseigner la respiration diaphragmatique - clic de droite de souris – aller à - 12 Notes complémentaires Reconnaître les signaux : Signaux physiques : sommeil perturbé, fatigue, maux de tête, tensions musculaires, maux d’estomac, etc. Signaux psychologiques : impression que notre personnalité se transforme, inquiétude, agressivité, difficulté de concentration, prise de décisions ralenties, etc. Signaux comportementaux : diminution ou augmentation de l’appétit, retards ou absences répétées au travail, augmentation de la consommation d’alcool, de drogue, de tabac ou de médication, isolation, hyperactivité, etc. Reconnaître les sources de stress : S’arrêter pour questionner son bien-être, réfléchir à sa situation (tenir un journal de bord). Porter une attention aux situations : peu de contrôle, imprévisibles, nouvelles ou qui menacent l’égo. 3. Résoudre un problème à la fois: S’informer : rechercher de l’information sur les facteurs qui vous stressent, cela vous aidera à trouver des solutions. Consulter les associations: Diabète Québec; Société québécoise d’hypertension artérielle; Mieux Vivre avec une MPOC; Les publications La vie à cœur de la Fondation des Maladies du cœur. Envisager plusieurs solutions. Faire un plan d’action – objectifs SMART. Prévoir vos actions à l’avance. Faire face aux tentations, avoir droit à l’erreur : Une façon de faire face aux tentations est de savoir se permettre des petits plaisirs, mais avec modération. Il y a très peu d’interdiction totale. L’important est de progresser à petits pas. Accordez-vous le droit à l’erreur. Pour la majorité des problèmes, il y a une multitude de solutions. Si vous n’avez pas réussi une fois, essayez encore! Tentez une nouvelle approche! Rechercher du soutien : Parlez-en! À un professionnel, un membre de votre famille , un proche. C’est en communiquant avec les autres que vous allez trouver des solutions. Envisagez une psychothérapie si nécessaire. La présence au groupe est une forme de soutien. Se concentrer sur le positif, utiliser l’humour : Tentez de vous concentrer sur ce qui est positif dans votre vie. Utilisez l’humour. 7. Prendre le temps de s’occuper de soi, se détendre : Activités plaisantes, activités physiques. Relaxation : La relaxation détend votre corps ( votre respiration,  tensions musculaires, etc.) et calme votre esprit, sa pratique régulière permet un plus grand contrôle des émotions. Prendre le temps de manger, favoriser une bonne hygiène du sommeil. Diminuer la caféine et l’alcool, car cela peut augmenter l’anxiété. 8. Mettre en pratique son plan de traitement 12 Avril 2014 document de travail

6 La détente Animation suggérée
Proposer cette courte relaxation dirigée (5 minutes). En cliquant sur le sigle du haut-parleur au centre de l’image, une relaxation dirigée extraite du site passeportsanté.net démarrera. Nous vous invitons à créer un ambiance propice en tamisant les lumières. Suite à cet exercice, demandez aux participants de continuer leur expérimentation à domicile en consultant le site de passeportsanté.net ** MPOC : l’enseignement et la pratique de la respiration diaphragmatique est recommandée, rendez-vous à la tuile 12. Transition « Nous allons maintenant nous attarder à un autre de vos outils de base, le sommeil! » Avril 2014 document de travail

7 L’importance du sommeil
Santé physique et Santé mentale Stress Problèmes de sommeil Animation suggérée Faire le lien avec la notion précédente de demandes et ressources « Si on se rapporte à notre balance des demandes et des ressources : le sommeil est une ressource importante. À l’aide de ces roues dentelées, nous allons explorer le lien entre le stress, le sommeil et la santé. » Messages clés Le sommeil est essentiel à la santé mentale et physique, pourtant cela ne se passe pas toujours facilement. Le stress engendre fréquemment des problèmes de sommeil en générant des symptômes, qui à leur tour affectent le sommeil. Par la suite la diminution du sommeil aggrave le stress. Certaines maladies chroniques peuvent engendrer une perturbation du sommeil : Un diabète mal contrôlé peut amener un plus grand besoin de boire et par conséquent un besoin d’uriner la nuit. Transitions « Nous allons maintenant prendre l’exemple de Jeanne pour discuter des stratégies d’hygiène du sommeil. » Notes complémentaires Conséquences d’un manque de sommeil : Mauvaise humeur, irritabilité, manque d'énergie, moins d'intérêt pour la sexualité; Manque de jugement, difficulté à se concentrer, somnolence diurne (pouvant entraîner des accidents de voiture, des erreurs au travail, etc.).  fonction immunitaire,  la pression artérielle,  l'appétit, aggravation des problèmes de santé. Les difficultés de sommeil peuvent être transitoires (la plupart du temps liée au stress) ou chroniques (lorsque le stress devient chronique et/ou incontrôlable). Avril 2014 document de travail

8 Mise en situation : Le sommeil de Jeanne
Repérer les bonnes et les mauvaises habitudes de sommeil! Animation suggérée Nous vous invitons à distribuer la fiche « Le sommeil de Jeanne ». Vous pouvez demander à un volontaire de lire le premier paragraphe à voix haute. Ensuite, demandez au groupe d’identifier les bonnes et les mauvaises habitudes. Vous retrouvez le texte à la fin de la présentation. Un corrigé est disponible pour l’animateur. Transitions « Nous arrivons à la fin de la session, j’aimerais vous laisser des outils et vous inviter à pratiquer dès aujourd’hui. » Notes complémentaires Adapté de Routine du sommeil : Levez-vous à peu près à la même heure chaque matin, même en congé. Cela régularise l’horloge biologique et facilite l’endormissement. Attendez d’avoir sommeil avant de vous coucher. Si vous n’êtes pas fatigué, faites une activité de détente en attendant que le sommeil vous gagne. Quiétude avant d’aller au lit : Installez un rituel du coucher, un moment de détente (lire, écouter de la musique, méditer, etc.). Éviter l’utilisation des écrans (iPod, ordinateur, etc.). Exercice physique : Un exercice physique pratiqué régulièrement facilite l’endormissement et rend le sommeil plus profond. Par contre, un exercice intense et inhabituel peut empêcher l’endormissement. Il faut alors éviter l’exercice dans les 2-3 heures précédent le coucher. Les relations sexuelles peuvent être pratiquées juste avant de dormir. Elles stimulent la production d’endorphines, hormones propices à la détente. Nourriture : Une légère collation peut aider à dormir, mais il ne faut pas prendre un repas copieux juste avant le coucher. Le souper devrait être terminé depuis deux à trois heures. Évitez de trop boire avant de vous coucher pour ne pas être réveillé par une envie d’uriner. Caféine et Nicotine : Limiter la consommation de nicotine, qui est un stimulant. La caféine (café, thé, boissons énergisantes, colas) demeure dans le corps en moyenne de trois à cinq heures, mais certaines personnes en ressentent les effets jusqu’à 12 heures. La caféine peut également dérégler les cycles de sommeil et réduire la quantité de sommeil profond. Alcool : Même s’il peut faciliter l’endormissement, l’alcool réduit la qualité du sommeil en raison des réveils multiples (souvent inconscients) qu’il provoque. De plus, il dérègle les cycles de sommeil et accentue souvent les ronflements et les problèmes d’apnée du sommeil. Les siestes : Les gens souffrant d’insomnie ne devraient pas faire de siestes. Le moment idéal pour faire la sieste serait entre 14 h et 15 h. C’est à ce moment que l’on ressent une certaine somnolence engendrée de façon naturelle par notre horloge biologique. Enfin, la sieste ne devrait pas durer plus de 30 minutes. Difficultés d’endormissement : Si vous ne dormez toujours pas après 30 minutes, ne vous acharnez pas : le stress et l’anxiété sont les ennemis du sommeil. Quittez plutôt le lit et faites une activité reposante sous une lumière tamisée : lire, tricoter, écouter une musique douce, etc. Retournez au lit quand vous sentirez l’endormissement. Si vous vous réveillez la nuit, évitez de regarder l’heure, cela risque d’accroître le stress. Par contre, si vous avez l’impression d’être réveillé depuis plus de 30 minutes, levez-vous et procédez à la routine décrite précédemment. La médication : Informez-vous auprès de vos professionnels. La médication peut dans certaines situations aider à diminuer l'excès d'éveil et l'anxiété. Avril 2014 document de travail

9 Outils www.passeportsanté.net
L’outil Êtes-vous stressé? Disponible sur le site est une ressource intéressante pour les clients. De plus le site a de nombreuses capsules éducatives sur le stress et le sommeil. On y retrouve également des techniques de relaxation. Avril 2014 document de travail

10 Stratégies – Sommeil et gestion de stress
Hygiène du sommeil Chambre dédiée au sommeil et à la sexualité. Routine : Réveillez-vous et allez vous coucher aux mêmes heures tous les jours. Quiétude : Réservez-vous une période de détente avant d'aller au lit. Exercice physique régulier. Nourriture : Évitez de manger lourdement avant d’aller au lit. Alcool, caféine et nicotine, etc. à éviter le soir et la nuit. Des siestes, etc. à petites doses. Ne vous acharnez pas en cas de difficultés d’endormissement. Stratégies de gestion de stress Reconnaître les signaux. Reconnaître les sources de stress. Résoudre un problème à la fois (solutions). Faire face aux tentations, avoir droit à l’erreur. Rechercher du soutien. Se concentrer sur le positif, utiliser l’humour. Prendre le temps de s’occuper de soi, se détendre. Mettre en pratique son plan de traitement. Face à un problème persistant, consultez! La médication et la thérapie font aussi partie des solutions. Avril 2014 document de travail

11 Merci ! Avril 2014 document de travail

12 Cycle anxiété essoufflement
MPOC : pour retourner à la présentation, cliquez à droite de la souris et allez à 5. 5 Avril 2014 document de travail

13 Annexe – Mise en situation : Le sommeil de Jeanne (par. 1)
Jeanne va au lit chaque soir à 23 h et se réveille à 7 h. Dès son réveil, elle se fait un café, le premier d’une demi-douzaine dans sa journée. Elle travaille parfois à partir de chez elle, sur son ordinateur portable. Elle apprécie cela, car elle se permet alors de s’installer confortablement sur son lit pour travailler avec le téléviseur ouvert dans le coin de la chambre. Jeanne va au lit chaque soir à 23 h et se réveille à 7 h. Se coucher et se réveiller aux mêmes heures est souhaitable car, cela crée une bonne routine de sommeil. Dès son réveil, elle se fait un café, le premier d’une demi-douzaine dans sa journée. Les stimulants (nicotine ou caféine surtout) sont à consommer avec modération et à éviter en fin de journée. Elle travaille parfois à partir de chez elle, sur son ordinateur portable. Elle apprécie cela car elle se permet alors de s’installer confortablement sur son lit pour travailler avec le téléviseur ouvert dans le coin de la chambre. La chambre devrait être dédiée au sommeil et à la sexualité. Cela conditionne à dormir lorsqu’on va au lit. La télévision au lit n’est pas recommandée. Avril 2014 document de travail

14 Annexe – Mise en situation : Le sommeil de Jeanne (par. 2)
En après-midi, elle effectue souvent un petit jogging, pour se revigorer. Autrement, elle fait une sieste de 14 h à 15 h. Elle a l’habitude de souper assez tard, vers 20 h 30. Elle préfère un repas léger au soir, mais se permet habituellement un dessert, accompagné de son dernier café de la journée. Elle peut préférer quelques coupes de vin à son café de temps en temps. Elle écoute ses émissions de fin de soirée à caractère sensationnel et rempli de suspense, suite auxquelles elle va immédiatement au lit. En effet, ayant un téléviseur dans sa chambre, elle trouve cette routine bien pratique. En après-midi, elle effectue souvent un petit jogging, pour se revigorer. L’activité physique aide à fatiguer le corps et à retrouver un bon sommeil. Il est optimal de faire de l’exercice en après-midi, puisqu’une activité physique intense en fin de soirée peut momentanément stimuler le corps et diminuer l’effet de fatigue. Autrement, elle fait une sieste de 14 h à 15 h. Une sieste ne devrait durer que de 20 à 30 minutes. Excéder les deux premiers stades légers de sommeil nous entraîne dans un cycle d’environ 90 minutes de sommeil profond, qui pourrait amputer les chances d’une nuit réparatrice. L’heure biologique idéale serait entre 14 h à 15 h, où nous ressentirions d’emblée une hypovigilance. Elle a l’habitude de souper assez tard, vers 20 h 30. Elle préfère un repas léger au soir, mais se permet habituellement un dessert, Un repas léger est recommandé le soir, idéalement quatre heures avant le coucher afin que la digestion ne nuise pas au sommeil, accompagné de son dernier café de la journée (retour sur la note : les stimulants…). Elle peut préférer quelques coupes de vin à son café de temps en temps. L’alcool peut assommer et nous endormir, mais un sommeil causé par l’alcool est parsemé de microréveils souvent inconscients qui diminuent les qualités reposantes et régénératrices du sommeil. Dérégule aussi les cycles de sommeil et peuvent accentuer les problèmes d’apnée du sommeil. Elle écoute ses émissions de fin de soirée à caractère sensationnel et rempli de suspense, suite à quoi elle va immédiatement au lit. En effet, ayant un téléviseur dans sa chambre, elle trouve cette routine bien pratique. Une diminution de la stimulation, avant le sommeil, est recommandée. IL est utile de créer une routine du coucher, comme une période de détente et un rituel de préparation pour aller au lit. Avril 2014 document de travail

15 Annexe – Mise en situation : Le sommeil de Jeanne (par. 3)
Lorsqu’elle n’arrive pas à s’endormir, Jeanne en profite pour aller sur les réseaux sociaux. Elle se lève ainsi en s’installant dans sa cuisine, où elle prend une boisson chaude en suivant la vie trépidante de ses connaissances virtuelles. Lorsqu’elle a fait le tour des photos intéressantes, elle retourne au lit. En effet, ayant un téléviseur dans sa chambre, elle trouve cette routine bien pratique. Si elle ne s’endort pas de nouveau, elle persiste alors à rester au lit, en comptant les moutons. Lorsqu’elle n’arrive pas à s’endormir, Jeanne en profite pour aller sur les réseaux sociaux. Il est préférable d’éviter les écrans puisqu’ils sont très stimulants visuellement. Elle se lève ainsi en s’installant dans sa cuisine, Lorsqu’on ne s’endort pas depuis environ 30 minutes, il est utile de se lever, de changer de pièce et de faire une activité légère, comme de la lecture, où elle prend une boisson chaude en suivant la vie trépidante de ses connaissances virtuelles. Lorsqu’elle a fait le tour des photos intéressantes, elle retourne au lit. Si elle ne s’endort pas de nouveau, elle persiste alors à rester au lit, en comptant les moutons. Il est préférable de se relever à nouveau, d’essayer encore de faire une petite activité douce d’une vingtaine de minutes et de retourner au lit par la suite. Avril 2014 document de travail


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