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Publié parAnette Fevrier Modifié depuis plus de 10 années
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Vue d’ensemble des tendances mondiales dans la réassurance (Point de vue International de la réassurance) Thomas Hess Group Chief Economist Head of Economic Research & Consulting, Swiss Re 14ème Forum Africain de la Réassurance Tunis, 20 Octobre 2008
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Questions de réassurance majeures à aborder
La situation économique et la crise bancaire Où nous situons-nous en réassurance ? Situation de Demande/Offre La réassurance est-elle encore sûr ? Perspectives pour la réassurance
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Situation actuelle dans les marchés financiers mondiaux
Les marchés Interbancaires ont tari ; de grandes parties des marchés financiers font face aux problèmes de liquidité. Il y a une incertitude élevée en ce qui concerne l’ampleur et la durée de la crise. Le FMI voit la moitié de la sous-prime relative aux pertes (évaluées à 1,405 milliards de $E.U.) portée par les banques, l’autre moitié absorbée par les fonds de protection, les fonds de retraite et les assureurs. Des pertes supplémentaires apparaissent à partir du défaut de financiers (Lehman, Washington Mutual, AIG). Les effets de l’économie réelle sont maintenant devenues visibles. Les USA et l’Europe font face aux recessions. Le ralentissement économique aura des conséquences négatives supplémentaires pour le crédit et les bourses des valeurs. Les plans de recapitalisation bancaire et d’autres mesures annoncées récemment devraient prévenir une fusion financière complète, mais la perspective est encore sombre.
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L’impact indirect de la crise de crédit sur les assureurs
Les revenus de placement plus faibles à cause des marchés d‘actions faibles, soulevant des gammes de crédit et des défauts sur les actions de l‘entreprise La croissance plus lente des primes dans la P&C à cause du ralentissement de la croissance mais des problèmes avec les investissements accélèrent un raffermissement des prix de l‘assurance Les pertes en investissement des assureurs-vie individuls des USA leur exigeaient de collecter le capital auprès des marchés financiers Une demande plus faible pour les produits indexés (assureurs-vie`) La hause dans l‘inflation peut mener à une inflation plus élevée des sinistres (longue série d‘accidents) Des coûts plus élevés de capitaux : les actions et le crédit sont devenus plus chers. 4 4
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La Profession d’Assurance est fondamentallement différente des Opérations de banque
Sinistres impayés Actions Titres de revenus fixes Titres de participation Marché hors coté Espèces et autres actifs Primes non-acquises Autres responsabilités Actifs Passifs La profession d’assurance est fondée essentiellement par les primes reçues pour fournir la protection d’assurance à la fois la circulation des primes et les débours sont raisonablement prévisibles Les débours sont déclenchés par des événements hazardeux, et non par la volonté des assurés il ne pourra y avoir aucune ‘gestion’ sur une comapgnie d’assurance L’assurance des risques est typiquement sans correlation l’echec d’un assureur ne prévoit pas nécessairement des échecs d’autres compagnies* Les Primes reçues pour fournir l’assurance sont investies dans des branches diversifiées avec la monnaie et le cash flow qui vont ensemble Les assureurs investissent les actifs beaucoup plus à la maturité et par conséquent immunisent contre la fluctuation de la valeur à court-terme * voir les études de G30 et FSF
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Où en sommes-nous avec la réassurance ?
Le cycle de tarification de la réassurance a tourné en 2004, nous atteignons maintenant le fond Les ratios combinés plus élevés, moins le dernier cours positif des années précédentes causent des résultats de souscription plus faibles Les tendances sélectives en hausse à partir de faibles niveaux de tarification en aviation, assurance automobile, les Administrateurs & Dirigeants sociaux déjà visibles Les pertes sur le côté des investissements mettent une pression supplémentaire sur la rentabilité
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Comment les pertes catastrophiques se développent-elles ?
De grande pertes en assurance en 2008 (> 1 milliard de $E.U.) Source: Swiss Re Economic Research & Consulting Les pertes assurées jusqu’au 1er Septembre 2008 augmentées de plus de 25% par rapport à la même période en Les chiffres de 2008 confirment les tendances à long-terme vis-à-vis des sinistres de catastrophes naturelles plus élevées
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La situation Demande/ offre est en train de favoriser les taux de réassurance plus élevés
Demande - Les Assureurs ont combiné l’augmentation de ratio - Les Assureurs pertent 5-20% du capital social - Le coût le plus élevé du capital Offre - Les Réassureurs ont combiné l’augmentation des ratios - Les Réassureurs perdent sur les investissements - Le Coût plus élevé du capital - Faible capacité nouvelle disponible (titrisation, side véhicules secondaires, mises de fond initiale en réassurance) Les Assureurs conserveront moins et réassureront plus Les Réassureurs fourniront plus de capacité uniquement à un prix plus élevé
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Des notations stables pour les réassureurs avec peu d’exceptions
Source: Swiss Re Economic Research & Consulting
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Il est prévu que les ratios de solvabilité baisse lorsque la croissance du capital ralentit
Capital et solvabilité de l’industrie Dommages et Accidents, Indice $E.U., 1999 = 100. % Nouvelles stratégies Source: Swiss Re Economic Research & Consulting
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Croissance Dommages & Accidents à travers le monde
La croissance de la prime réelle de l’Assurance et de la Réassurance Dommages & Accidents en %, 1991–2011. Le cycle peut tourner plutôt et avec plus de fermeté ! Source: Swiss Re Economic Research & Consulting
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Perspective de Rentabilité de l’assurance non-vie
Les résultats d’investissement 2008 et 2009 et les résultats des bénéfices dans l’ensemble seront pire ! Reinsurance looks similar but is more cyclical Source: Swiss Re Economic Research & Consulting
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