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Publié parRodrigue Coutant Modifié depuis plus de 10 années
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La réaction de l’organisme envers le non-soi Système immunitaire
Système qui permet de maintenir l’intégrité de l’organisme S. Pontégnie-Istace
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Deux types Immunité naturelle ou non spécifique
Première ligne de défense Identique quel que soit l’agresseur Défenses mécaniques, chimiques et cellulaires Immunité acquise ou spécifique Deuxième ligne de défense Dirigée contre un agresseur précis et lui seul Nécessite une distinction entre le soi et le non-soi
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Immunité naturelle ou non spécifique
Défenses mécaniques Peau et muqueuses Défenses chimiques Sécrétions externes larmes, mucus, salive… Défenses cellulaires Macrophages et granulocytes Exemple: réaction inflammatoire Rougeur- douleur- chaleur- tumeur Coll.ADN Biologie Term D Hachette Lycées 1989 p 280 Coll.ADN Biologie Term D Hachette Lycées 1989 p 280
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Défenses mécaniques et chimiques
Muqueuse ciliée des voies respiratoires Campbell, Biologie DeBoeck Université 1995 p851 Campbell Biologie DeBoeck Université 1995 p851
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Réaction inflammatoire
Campbell ,Biologie, DeBoeck Université 1995 p854 Campbell, Biologie, DeBoeck Université 1995 p854
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Phagocytose Macrophage phagocytant un globule rouge
Coll. Tavernier, Biologie Term D, Bordas 1983 p 408 Coll. Tavernier, Biologie Term D, Bordas 1983 p 408
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Phagocy t ose Campbell, Biologie, DeBoeck Université, 1995 p852
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Phagocytose Coll. Tavernier, Biologie Term D, Bordas 1983 p 409
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Immunité spécifique Le soi : Le non-soi
système HLA : human leucocyte antigen protéines membranaires déterminées génétiquement 4 types en deux groupes : Classe I A: 25 antigènes B: 50 antigènes C: 10 antigènes Classe II D: 45 antigènes Le non-soi antigène : tout ce qui déclenche une réponse immunitaire caractéristiques: grosses molécules libres ou fixées présentent un site antigénique ou épitope forme précise, stable et en surface exemple antigène HLA d ’une autre personne bactérie virus
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Oliver Meckesr/Photo Researchers, Inc.
Streptocoque Responsables de maladies telles que des pneumonies, les bactéries du genre Streptococcus sont ici vues au microscope électronique à balayage, en fausses couleurs. Oliver Meckesr/Photo Researchers, Inc. "Streptocoque", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98. © Microsoft Corporation. Tous droits réservés. "Streptocoque", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98.
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Bactérie (méningocoque)
Les bactéries Neisseria meningitis, ou méningocoques, sont responsables de la méningite cérébrospinale. Il s'agit de diplocoques, du groupe des cocci (bactéries de forme arrondie), qui ont tendance à se grouper deux par deux. Microscopie électronique (fausses couleurs). Tektoff-Merieux/CNRI/Science Source/Photo Researchers, Inc. "Bactérie (méningocoque)", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98. © Microsoft Corporation. Tous droits réservés "Bactérie (méningocoque)", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98.
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John Durham/Photo Researchers, Inc.
Culture de bactéries Les bactéries peuvent être cultivées en milieu liquide, dans un flacon — dans ce cas, elles se dispersent dans le milieu —, ou sur milieu solide, généralement une boîte de Petri, comme sur cette photographie. Ces boîtes contiennent une couche d'agar- agar sur lequel sont déposées des bactéries (on parle d'ensemencement de la boîte). Les bactéries issues des divisions successives des bactéries de départ restent «!sur place!», formant des colonies visibles à l'œil nu. John Durham/Photo Researchers, Inc. "Culture de bactéries", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98. © Microsoft Corporation. Tous droits réservés. "Culture de bactéries", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98
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Virus responsables de maladies humaines
Des affections telles que l'herpès, la rage, la grippe, le sida, la poliomyélite et la fièvre jaune sont d'origine virale. Parmi le million et demi de virus recensés, environ 250 sont connus pour être responsables de maladies humaines et 100 de maladies animales. "Virus responsables de maladies humaines", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98. © Microsoft Corporation. Tous droits réservés. "Virus responsables de maladies humaines", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98.
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Demounem et al, Sciences de la Vie et de la Terre, Term S, Nathan 1994 p97
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Immunité spécifique : deux types
Immunité humorale contre bactéries et microbes lymphocytes B différenciés en plasmocytes sécrétant des anticorps spécifiques de l ’antigène dans le sang Immunité cellulaire contre virus et microorganismes intracellulaires ou cellules cancéreuses lymphocytes T différenciés en cellules T tueuses ou cytotoxiques libérant des lymphokines telle que la perforine
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Anticorps Protéines : Immunoglobulines 5 classes IgA IgG IgM IgE IgD
Demounem et al, Sciences de la Vie et de la Terre, Term S, Nathan 1994 p106 Demounem et al, Sciences de la Vie et de la Terre, Term S, Nathan 1994 p106
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Immunité spécifique 3 phases induction amplification expression
Présentation de l ’antigène par les macrophages Reconnaissance et activation par les lymphocytes T4 amplification Prolifération : clone Différenciation lymphocytes B en plasmocytes : immunité humorale lymphocytes T8 en T cytolytiques : immunité cellulaire expression Libération d ’anticorps par les plasmocytes Libération de lymphokines par les T cytolytiques
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Synthèse Immunité non spécifique
Demounem et al, Sciences de la Vie et de la Terre, Term S, Nathan 1994 p113 Immunité spécifique Humorale Prolifération des lymphocytes B et formation d’un clone spécifique de l’antigène Formation de lymphocytes B mémoire Différenciation en plasmocytes, grosses cellules sécrétrices d’anticorps Libération des anticorps spécifiques dans le sang et formation de complexes immuns Phagocytose et lyse des complexes immuns par les phagocytes Immunité cellulaire Prolifération des lymphocytes T8 et formation d’un clone spécifique de l’antigène Formation de lymphocytes T mémoire Différenciation en T cytolytiques ou tueuses Contact avec cellule-cible portant l’antigène Libération des lymphokines comme la perforine Lyse de la cellule et phagocytose par phagocytes Immunité non spécifique Phagocytose de l’antigène par les macrophages Digestion de l’antigène et présentation de l’épitope à la surface du macrophage Reconnaissance de l’antigène et activation des lymphocytes Demounem et al, Sciences de la Vie et de la Terre, Term S, Nathan 1994 p113
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Réponses primaire et secondaire
Latence IgM Taux faible Secondaire Immédiate IgG plus spécifiques Taux élevé Coll Calamand, Biologie Géologie Term S, Hachette Education1994 p232 Coll Calamand, Biologie Géologie Term S, Hachette Education1994 p232
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Aides au système immunitaire
Vaccination injection d ’antigènes rendus non pathogènes mais restant immunogènes protection active : réponse secondaire action préventive et de longue durée Sérothérapie injection d ’anticorps (sérum) protection passive action curative de courte durée
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Vaccination Coll Calamand, Biologie Géologie Term S, Hachette Education1994 p232 Coll Calamand, Biologie Géologie Term S, Hachette Education1994 p232
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Calendrier des vaccinations
Vaccins bactériens Vivants atténués: BCG(tuberculose) Tués : coqueluche, typhoïde, choléra Anatoxines: diphtérie, tétanos Polysaccharides: méningocoques A+C, pneumocoques Vaccins viraux: Vivants atténués: poliomyélite (buccal), rubéole, rougeole, oreillons, fièvre jaune, variole Inactivés complets: grippe, poliomyélite (injectable), rage Inactivés à fraction antigénique: hépatite B Coll.ADN, Biologie Term D, Hachette Lycées 1989 p 307
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