2. La crise de Cuba (1962) Deuxière partie. Convoi de 26 cargos transportant du matériel, de l’armement et pour certains des fusée nucléaires, escortés.

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1 2. La crise de Cuba (1962) Deuxière partie

2 Convoi de 26 cargos transportant du matériel, de l’armement et pour certains des fusée nucléaires, escortés par 4 sous marins armées de torpilles nucléaires. http://www.cubacrisis.net/home.html Mémorial de Caen

3 Débarquement de la baie des Cochons Le 17 avril 1961, environ 1 400 exilés cubains recrutés et entraînés aux États-Unis par la CIA tentent de renverser le gouvernement cubain Pression américaine sur Cuba.Réponse soviétique.

4 Image de rampes de missiles en cours d’installation prise par un avion espion U2 le 14 octobre et présentée au président le 16.Kennedy convoque son Executive Committee (EX-COMM) pour étudier les différentes options du 16 au 21 octobre.Il informe ensuite ses allies européens, dont le général de Gaulle en envoyant l’ancien secrétaire d’Etat de Truman, Dean Acheson, a l’Elysée le 22. La découverte… http://www.cubacrisis.net/home.html Mémorial de Caen

5 Journal du 23/10/1962 http://www.ina.fr/histoire-et- conflits/autres- conflits/video/CAF97057411/d iscours-de-monsieur-kennedy- cuba.fr.html Photographie,Hatier, Tle S, 2004

6 Hatier, Tle S, 2004

7 Quinze missiles furent déployés sur cinq sites près d'Izmir en Turquie entre 1961 et 1963 et 30 en Italie..

8 Hatier, Tle S, 2004

9 Une crise qui influence le cinéma - L'histoire se déroule en pleine guerre froide. Le général américain Jack D. Ripper, frappé de folie paranoïaque, décide d’envoyer des B-52 frapper l’URSS. Le président des États-Unis commande une réunion d'urgence dans la salle souterraine de commandement stratégique pour tenter d'éviter une guerre nucléaire. Un débat s’engage alors entre les tenants des différentes options politiques et militaires qui s’offrent au président. La seule possibilité pour éviter un conflit majeur est de fournir aux Soviétiques les positions des avions, afin qu’ils les détruisent. Certains sont abattus et les autres sont rappelés, sauf un, dont le système de communications est hors d'usage. L’ambassadeur de l’URSS, convoqué afin de témoigner de la bonne foi du président américain, mentionne l’existence d’un système secret de défense qui déclencherait l’holocauste nucléaire en cas d’attaque contre son pays. Ledit système secret de défense porte le nom de La Machine infernale. On consulte alors le Docteur Folamour, un scientifique, transfuge du régime nazi, nostalgique et psychopathe. Il explique alors une solution possible pour sauver l'espèce humaine. Pendant ce temps, l’équipage du B-52 mène sa mission vers son terme, certain du bien-fondé de l’ordre qu’il a reçu, malgré toutes les difficultés qu’il ne manque pas de rencontrer.

10 L'action de ce film retrace les événements de la crise des missiles de Cuba.

11 Synthèse - L’installation de missiles nucléaires soviétiques à Cuba en 1962 provoque une des plus graves crises de la guerre froide. Les États-Unis se sentent menacés par la présence de ces fusées capables de les atteindre sur leur sol et le président Kennedy menace d’utiliser l’arme atomique en représailles si Khrouchtchev ne fait pas marche arrière. En octobre 1962, la peur d’une guerre nucléaire est bien réelle. L’opinion publique internationale prend conscience du risque que la course aux armements, à laquelle se livrent les deux grandes puissances, fait peser sur la planète, celui d’une destruction mutuelle assurée. La crise de Cuba montre que le monde est bipolaire, les deux grandes puissances dominant les relations internationales. Ainsi, Fidel Castro, pourtant allié de l’URSS et partisan d’une position de fermeté à l’égard des États- Unis, n’est-il pas associé aux négociations qui s’ouvrent entre les Etats-Unis et l’URSS. Cette crise illustre aussi les règles de la guerre froide. Les deux grands s’affrontent en dehors de leurs propres territoires. Cet affrontement est indirect, assorti de menaces mais ne débouchant pas sur un conflit armé, chacune des deux puissances comptant sur sa force de dissuasion. Il ne s’agit pas non plus d’humilier l’adversaire : Kennedy laisse dès le départ la porte ouverte aux négociations et le règlement de la crise passe par un accord.