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Publié parGigi Vignon Modifié depuis plus de 10 années
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Séminaire de restitution du projet LIFE+ COREXERUN
Restauration écologique dans la réserve forestière de Chamarel à Maurice Séminaire de restitution du projet LIFE+ COREXERUN 02 au 06 juin 2014 Christine Griffiths
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Forêt de Groupe Bioculture
Maurice Rodrigues Madagascar Vallée De L’Est 78 hectares 19 hectares Beanka: 14,000 hectares Sahafina: 2,500 hectares 38 hectares
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Forêts en voie de disparition à l'île Maurice
Superficie de l'Ile Maurice = 1865km2 Forêt >50% couverture de végétation indigène= 26km2 (2%) Grande proportion: terrains privés Convention on Biological Diversity 2010 Page & D’Argent 1997
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Ebony Forest 38 hectares de terrain privé de forêt intermédiaire semi- sèche Située sur les pentes du Piton Chamarel, terrains en pente (15-40°)
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Composition de la forêt
Qualité de la forêt indigène 75% low (<30% de couverture de végétation indigène) 7% medium (31-59% de couverture de végétation indigène) 18 % high (>60% de couverture de végétation indigène) >136 espèces indigènes L’arbre indigène dominant: Diospyros tessellaria Plantes rares, par example Chassalia boryana, Foetidia mauritiania, Coffea sp., Hibiscus columnaris
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Exemples d’espèces envahissantes
Tabebuia pallida Hiptage benghalensis Ravenala madagascariensis Syzygium jambos Litsea sp. La canopée Furcraea foetida Psidium cattleianum Sous-bois Espace ouvert perturbé Mikania micrantha Cassytha filiformis Gomophocarpus sp.
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Plantation: >100,000 plantes
L’objectif d’Ebony Forest Convertir les 38 hectares de forêt envahie en forêt indigène et restaurer les communautés d’animaux (oiseaux, escargots, reptiles, tortues, insectes) 2013 Couverture forestière indigène 2013 High hectares (31%) Medium hectares (5%) Low hectares (64%) Désherbage: 14 hectares Plantation: >100,000 plantes 2005 Couverture forestière indigène 2005 High hectares (18%) Medium 2.8 hectares (7%) Low hectares (75%)
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Technique de désherbage
Les espèces, la taille de la plante, la végétation environnante et la vitesse à laquelle nous voulons lutter contre une espèce Herbicide: Garlon4 (triclopyr) + Bazasol Arracher manuellement Jeunes plantules ligneuses, lianes ou herbes Percer, injecter l'herbicide, insérer un bouchon Arbres résineux, e.g. Ravenala Couper Bois dur, e.g. Psidium Couper et appliquer de l'herbicide Bois dur, meurt lentement
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Désherbage: leçons apprises
Sélection du site: s'attaquer à la forêt peu et très dégradée en même temps Méthodes: éviter le déboisement total Impacts négatifs, par exemple, l'érosion des sols, la perte de l'habitat de la faune Plus coûteux à restaurer à long terme Garder les grandes arbres ombrageants Capacité: Désherber seulement la zone qui peut être immédiatement plantée Déboisement total ré-envahi par les buissons x Fréquence de désherbage: 4-6x par an Sous-bois Non désherbée Désherbée + plantée 1 x par an s'attaquer à la forêt peu et très dégradée en même temps
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Désherbage: leçons apprises
Techniques: Garder les herbes qui ne sont pas en concurrence avec les plantes indigènes Enlever de la forêt les morceaux coupés d'espèces qui se régénèrent facilement, e.g. Furcraea foetida, Mikania micrantha, Cassytha filiformis, Kalanchoe pinnata Désherbage ciblé: Dans l'ensemble du site, cibler les espèces hautement invasives telles que Hiptage benghalensis, Ravenala madagascariensis Techniques: When weeding planted sites, grasses which do not swamp or compete with planted natives should be left as the grass acts as a natural weed mat helping to prevent soil erosion, weed establishment and maintain soil humidity. Disturbing the ground cover and creating bare soil encourages more weeds and so is more work. It is important to remember that we are restoring a forest, not a garden. Weeds that do not compete with natives can be left and there is no need to prune or remove dry leaves from say Pandanus species. The cut material of certain species should be removed from the forest otherwise they simply regenerate. Examples of such species are Furcraea, Cassytha, Mikania and Kalanchoe. The material can either be left in the sun or burnt. We adopt the approach of targetting highly invasive species such as Hiptage and Ravenale across the whole site to prevent these species from spreading.
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Plantation 2007 - 2013 Plantation:
> 100,000 plantes indigènes de 91 espèces 63 espèces sont présentes naturellement sur le site et 28 ont été introduites Sélection des espèces: Trouvées naturellement sur place Mention historique, e.g. palmiers Présentes sur un terrain adjacent ou de référence Espèces pionnières Espèces refuges (en danger critique d’extinction) Herbes espèces pionnières ou refuge, ou encore, s’ils se trouvent dans des habitats similaires avec une végétation similaire.
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Technique de plantation
Méthodes de propagation Collecte des graines que nous semons Collecte de plantules Boutures (3) Espace ouvert Plein soleil (2) Pépinière sharlon 50-70 % ombre Pépinière fermée 100% ombre Pépinière in situ: endurcissement collecte des graines que nous semons
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Technique de plantation
Saison de plantation: principalement en saison de pluie (Décembre à Juillet). Nous plantons les espèces résistantes (Pandanus sp., Dictyosperma sp.) toute l’année. Sélection de site: régénération naturellement limitée, zone désherbée. Densité: dépend de la pente, des espèces, et du site (1-4 plantes/ m2) Le choix du site: régénération naturelle, les zones désherbées limitées. Usine dans le site le plus exposé comme au début de la saison de plantation que possible principalement de Décembre à Juillet avec les pluies. Espèces Hardy (Pandanus sp., Sp Dictyosperma.) Nous plantons toute l'année
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Plantation Plantation sous-bois: sur un certain nombre d'années pour obtenir une plus grande structure d'âge et en ligne avec l'amincissement Sélection des espèces: formes différentes de plantes pour une hétérogénéité de l'habitat Herbes Liane Arbre Buisson Taille de plante: petites plantes au système racinaire développé
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Résumé/défis 26 des 40 hectares doivent encore être convertis en forêt indigène peu dégradée Le désherbage des sites de restauration est une tâche permanente Suivi: photographies de point fixe, évaluation de la survie et du coût-efficacité Engager des bénévoles pour aider aux processus de restauration ADD TORTOISES
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Merci beaucoup Merci pour le traduction: Nicolas Zuël, Mary-Ann Griffiths, Lydie Héré, Christabelle Duhamel Photographie: Lydie Héré, Arnaud Meunier, Simon Tollington
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