La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Une tout autre école ! … MAIS AVEC QUELS CURSUS ET PARCOURS ? Cycles – Filières – Orientation L’école dont je rêve est là : une école […] où chacun avance.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Une tout autre école ! … MAIS AVEC QUELS CURSUS ET PARCOURS ? Cycles – Filières – Orientation L’école dont je rêve est là : une école […] où chacun avance."— Transcription de la présentation:

1 Une tout autre école ! … MAIS AVEC QUELS CURSUS ET PARCOURS ? Cycles – Filières – Orientation L’école dont je rêve est là : une école […] où chacun avance à son rythme. Peu importe qu’il choisisse les arts, les sciences, l’informatique ou la menuiserie. Dominique Vandromme Il est […] impératif d’en finir avec la rupture brutale entre enseignement primaire et secondaire. Le passage du « maître de classe » au professeur spécialisé doit se faire plus progressivement. Nico Hirtt L’école devrait arrêter de perdre du temps pour se lancer dans une activité professionnelle. […] Pourquoi attendre d'avoir 15 ans et passer en troisième professionnelle... […] Elle devrait arrêter d'imaginer que tout le monde peut...L'égalité des chances oui, l'égalité des gens non (on ne fera jamais une poule d'un canard...même en utilisant les meilleurs enseignants et en changeant les programmes). Marie-Jo Carion Après un enseignement maternel distinct, obligatoire à partir de 3 ans, [...] nous proposons une seule structure d’enseignement de base commune, de 6 à 15 ans. Donc, la rupture entre « primaire » et « secondaire » disparaît. […] Dans cette école commune, les enfants passent progressivement d’un instituteur unique à des maîtres spécialisés par branche. De 16 à 18/19 ans, les jeunes fréquentent des lycées préparatoires à l’enseignement supérieur ou des lycées qualifiants. Mais, dans tous les cas, un socle commun de formation générale y est organisé. APED Il faut arriver à ce que ceux qui choisiront une option dite « technique » ou « professionnelle » puissent le faire comme premier choix, qu’il soit réfléchi et s’inscrive dans un continuum. Xavier Liesenborghs Il faut repenser cette école pseudo- démocratique et mixte pour éviter d’induire les effets de rattrapage des garçons par les filles, ou d’enfants de la bourgeoisie par celles et ceux de milieux populaires. Un tronc commun le plus longtemps possible constitue une étape indispensable à cet égard. Soit une période où toutes et tous seront initié-e-s à la plus grande diversité de tâches et de fonctions jadis ségréguées en fonction des groupes sociaux ou de sexe. CFFB L’obligation de scolariser les enfants dès 3 ans [serait] une bonne chose. Cela [éviterait] que certains enfants rentrent en 1ère primaire sans connaitre un seul mot de français et qu’ils continuent leurs études en 1ère secondaire avec des lacunes qui décourageront certains d’entre eux de s’intéresser puis de poursuivre les études. Patrick Vanhamme Les classes d’âge annuelles seraient remplacées par un découpage de l’école des enfants en trois degrés : 3 à 5 ans / 6 à 8 ans / 9 à 10 ans ; et de l’école des ados en deux degrés : 11 à 13 ans / 14 à 16 ans. […] Mais des regroupements multi-âges ont aussi leur pertinence : dans le cadre de projets multidisciplinaires et pour certains « groupes de besoin ». Annick Bonnefond et al. Vouloir […] un premier degré commun, c’est déjà créer un fossé entre les élèves plutôt que de le remplir. Certains veulent aller en professionnel dès la sortie des primaires ; qu’on les laisse y aller ! Ils feront de très très bons manuels dont la société a grandement besoin. L’enseignement professionnel peut très bien inculquer les mathématiques ou les langues ou les sciences… Et tous ces cours seront directement liés au métier que l’élève a choisi. La motivation en sortira grandie puisque l’élève fera ce qu’il a choisi et qu’il aime. Dominique Vandromme Le fossé entre le primaire et le secondaire [devrait être] réduit, grâce à une meilleure spécialisation des enseignants du primaire et une pluridisciplinarité des professeurs du secondaire. FOPA Un enfant [devraient pouvoir] à nouveau suivre des cours techniques à partir de 14 ans de manière à apprendre un bon métier dans les meilleures conditions. C’est bien, si c’est ce qu’il désire, il pourra découvrir le métier qu’il a choisi jusqu’à ses 18 ans. Et puis, à 14 ans, nous pouvons déjà nous rendre compte si un enfant est fait pour suivre des études fortes, générales ou techniques. Il sait également nous dire qu’elle orientation il désir suivre. Évaluation et progression dans le cursus Nous préconisons des épreuves centralisées régulières. Non pour juger les élèves (ces épreuves ne seraient pas certificatives), mais pour évaluer les niveaux des acquis, les pratiques pédagogiques et le système dans son entièreté. Appel pour une école démocratique L’enseignant ne peut plus être juge et partie. […] La certification doit reposer sur une évaluation extérieure, normative. Il faut défendre les particularismes de terrain tout en garantissant un commun dénominateur, une « fondation » solide. Xavier Liesenborghs Les enseignants consacrent un temps considérable à l’évaluation de leurs élèves. S’ils en passaient autant à remettre en question l’usage de leur bic rouge, moins de sang coulerait. […]Une formation solide demande aussi du temps, des échecs et des réajustements. L’Ecole doit moins « évaluer » et davantage « accompagner » ses élèves. Xavier Liesenborghs Notre Ecole bannit les notes chiffrées, les sessions d’examen à dates fixes pour tous les élèves et le redoublement. L’appropriation des compétences visées, est vérifiée sur la base de travaux réalisés par les élèves (éventuellement réunis dans un « portfolio ») et/ou sur base d’épreuves ciblées. Mais ces épreuves sont organisées au moment où un ou plusieurs élèves sont jugés par eux-mêmes et par leurs enseignants prêts à les passer. […] Le but étant que tous les élèves se soient approprié l’ensemble des compétences dont l’apprentissage est visé au bout des quatorze années du cursus. Annick Bonnefond, et al. La mise en place de mécanismes d’accompagnement, d’anticipation, de prévention de l’échec, doit être renforcée. Le redoublement doit devenir une décision ultime plutôt qu’un moyen pour régler les retards pédagogiques, réguler le niveau d’une classe ou maintenir une forme d’autorité. Xavier Liesenborghs L’école devrait pouvoir travailler par unités et ne pas tenir compte de l'âge... Arrêter d'exiger la réussite dans toutes les matières, ou du moins au même âge: un petit Bologne pour le secondaire! Marie-Jo Carion [Il faut développer à l’université [les] méthodes d’évaluation telles que les travaux, les évaluations de l’effort fourni au long du cours et les évaluations via l’intersubjectivité. […] Ces différentes formes d’évaluation […] permettent, davantage que les évaluations dites objectives sur base d’un questionnaire, le développement de l’esprit critique et de la citoyenneté. Si leur mise en place nécessite, dans une bonne partie des cas, des auditoires de taille restreinte, des techniques permettent d’utiliser ces approches, au moins les deux premières, dans des auditoires de toute taille. Assemblée générale des étudiants de l’UCL Patrick Vanhamme Etudiants en Master 1 de la FOPA Les filières professionnelles et techniques [devraient être] mieux exploitées. UCLouvain – GIRSEF – 2014


Télécharger ppt "Une tout autre école ! … MAIS AVEC QUELS CURSUS ET PARCOURS ? Cycles – Filières – Orientation L’école dont je rêve est là : une école […] où chacun avance."

Présentations similaires


Annonces Google