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Publié parAchille Lelong Modifié depuis plus de 9 années
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EXPOSE SUR « LE FEU » D’HENRI BARBUSSE (1916) Leïla, Margaux ET Océane 3°PICASSO
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SOMMAIRE I. Petite biographie. II. Présentation de l’œuvre.
III. L’horreur de la guerre. IV. « Le Feu » un titre emblématique. V. Conclusion.
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I. Petite biographie Adrien Gustave Henri Barbusse est né à Asnières-sur-Seine le 17 mai Il s'exerce professionnellement dans la presse, se tourne vers la prose et publie un premier roman en 1908 sous le titre : « L’Enfer ». En 1914 quand la Première Guerre Mondiale éclate, malgré une santé fragile, un statut d’auteur déjà bien établi et ses quarante et un ans, Barbusse s’engagea dans l’armée et vint combattre dans les tranchées du front. Malgré une explosion qui endommagea ses poumons, il persista à rester et à revenir dans les tranchées jusqu’à ce que l’on prononçât son invalidité totale. De cette expérience, il tirera « Le feu » (1916), son chef d’œuvre, récit horrifiant des carnages de la guerre et portrait émouvant des soldats qui y ont partagé la souffrance. « Le feu » est l’un des récits les plus réalistes et en même temps les plus poétiques jamais écrits sur la guerre. En 1923, il adhère au parti communiste français, et voyage plusieurs fois en Union Soviétique il écrivit aussi une biographie de Staline (1935). Henri Barbusse est mort à Moscou le 30 août 1935 âgé de 62 ans. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris. Selon Arkadi Vaksberg1, il serait mort empoisonné, sur l'ordre de Staline.
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II. Présentation de l’œuvre
L’auteur de l’œuvre est Henri Barbusse. Son titre est « Le Feu » qui a été publié en décembre 1916 dans le quotidien « L’œuvre » où elle paraissait sous forme de feuilleton.
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III. L’horreur de la guerre.
Dans cet extrait, Henri Barbusse nous témoigne la destruction de la guerre avec précision en nous décrivant comment chaque attaque était perçue. Il nous montre la panique qui avait pu régner auparavant , en nous expliquant par exemple, la surprise qu’avaient les soldats quand les explosifs explosaient, de la ligne 5 à la 7 : « On s'arrête, plantés au sol, stupéfiés par la nuée soudaine qui tonne de toutes parts ; puis un effort simultané soulève notre masse et la rejette en avant, très vite. » Il nous divulgue également les types d'attaques utilisés, comme les explosifs , des rafales, des coups de feu, fusils... Henri Barbusse nous apprend aussi la violence des explosions en nous montrant son ressenti personnel, de la ligne 15 à la ligne 16 : « A un coup, je lâche mon fusil, tellement le souffle d'une explosion m'a brûlé les mains. », ou encore en nous montrant un point de vue général comme de la ligne 19 à 20 : «Les stridences des éclats qui passent vous font mal aux oreilles, vous frappent la nuque, vous traversent les tempes, et on ne peut retenir un cri lorsqu'on le subit. » Il parle beaucoup des bruits que pouvaient produire les explosions et/ou leur puissance de destruction énorme. Il nous décrit les bruits en employant des mots comme : « détonations épouvantables » ; «la nuée qui tonne » « de stridents fracas. » « monstrueusement retentissantes » Il décrit également des destructions monumentales grâce à certains mots tels que : « effroyable » « épouvantables » « monstrueusement » « une explosion m'a brûlé les mains » C'est grâce à ces descriptions précises des faits que nous savons aujourd'hui encore l'horreur qu'on pu vivre les soldats durant la 1ere guerre mondiale qui dura de 1914 à 1918.
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IV. « Le Feu » un titre emblématique.
Nous pensons que l’auteur a choisi d’appeler son roman « Le Feu » parce que le feu est destructeur tout comme la guerre.
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V. Conclusion. Aujourd’hui il est encore important de commémorer la première guerre mondiale, pour se souvenir des horreurs que les soldats ont vécues en y participant, et de ne pas oublier ces personnes parties au front pour soutenir l’honneur de leur patrie.
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