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Publié parGuarinot Delamare Modifié depuis plus de 9 années
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Les Infections Sexuellement Transmissibles
PHARMACIE MF LE GOAZIOU
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Prévention des infections sexuellement transmissibles Prévention primaire
Mesures destinées à éviter de contracter une IST Information collective Claire, adaptée Limiter le nb de partenaires, utiliser le préservatif, consulter en cas de symptôme Information individuelle : rôle du MG ++ et des professionnels de santé Vaccins : Hépatite B Préservatif masculin : bien expliquer les règles d’utilisation Spermicides : insuffisants seuls
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Prévention des infections sexuellement transmissibles Prévention secondaire
Empêcher l’apparition de complications consécutives aux IST Consultation précoce Dépistage des populations à risque Traitement Efficace, le moins cher possible, capable de rompre la chaîne de contamination Recherche du sujet contact Difficile (car formes asymptomatiques) Inciter les sujets contact à consulter ou à prendre un ttt systématique
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Prévention des infections sexuellement transmissibles
IST engageant le pronostic vital et ne bénéficiant pas de traitement curatif : VIH : utilisation du préservatif, sérologie mais attention une sérologie négative ne protège pas pour la suite! Hépatite B : préservatif, vaccination du nourrisson, de l’adolescent, de l’adulte, des professionnels à risque .
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Prévention des infections sexuellement transmissibles
Les IST curables mais hautement contagieuses: Gonococcie et syphilis Les IST curables, mais présentant des risques de complication : herpès, chlamydia, mycoplasme . Les IST curables: trichomonas, vaginose Les maladies virales: papilloma virus (KC du col de l’utérus) Une seule prévention : le préservatif !
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GONOCOCCIE Due à Neisseria gonorrhoeae
Leucorrhées abondantes, verdâtres qui nécessite un prélèvement Chez l’homme écoulement urétral (blennorragie = chaude pisse) Traitement de la personne et du ou des partenaires
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Syphilis Dû à tréponème pâle
Cas en augmentation mais peu fréquent <500 cas par an en France Lésion d’ulcération sur la vulve qui peut passer inaperçu( stade primaire) avec un ganglion inguinal En phase secondaire éruption cutanée de type roséole mais sur la paume des mains et la plante de pieds Forme tertiaire : syphilis viscérale et forme neurologique Nécessité de traiter efficacement dès le diagnostic sérologique posé
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L’herpès Herpès oro facial ou « bouton de fièvre » : bouquet de vésicule apparaissant toujours au même endroit , douloureux, qui sèche en 8/10J avec une croute noirâtre Localisé aussi à d’autres parties du corps (doigts..) Transmissible ++/contact cutané (le baiser, les mains) Herpès génital: herpès sur les lèvres, la vulves Transmissible / rapport sexuel Prévention Éduquer les patients pour reconnaître les lésions Informer sur les modes de contamination Surveillance particulière en cas d’herpès chez les femmes enceintes
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Infections courantes Mycose lié à candida albicans. Leucorrhées épaisse type « fromage blanc » , prurit vaginal. Post antibiotiques, diabète mal équilibré ou méconnu, vêtement serré, protège slip… Trichomonas : leucorrhées mousseuses, grisâtres Gardnerella : leucorrhées irritantes, qui sentent « le poisson » Streptocoque : leucorrhées abondantes, colorées Une plainte de leucorrhées doit conduire à une consultation sauf si mycose post antibiotique, surtout si elle persiste malgré une désinfection locale.
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En pratique Ne pas banaliser une plainte de leucorrhées
Si un traitement local est donné, assurer le suivi Adresser au médecin si facteurs de risques d’IST Si persistance des symptômes, si récidive Convaincre de faire traiter le ou les partenaires Savoir expliquer et démontrer l’usage de préservatif
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