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Les défis de la gestion de l’aide internationale au développement

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Présentation au sujet: "Les défis de la gestion de l’aide internationale au développement"— Transcription de la présentation:

1 Les défis de la gestion de l’aide internationale au développement
Plus récente mise à jour : le 19 mars 2007 Information Karina Lehoux Tél.: poste 5796 Courriel : Les défis de la gestion de l’aide internationale au développement ÉNAP 13 Novembre, Montréal

2 POUR MIEUX COMPRENDRE NOTRE PERSPECTIVE… QUI SOMMES-NOUS ?

3 Structure du Mouvement
MEMBRES AU QUÉBEC ET EN ONTARIO MEMBRES ET CLIENTS DE DCU EN ONTARIO MEMBRES AU NOUVEAU-BRUNSWICK ET AU MANITOBA Réseau coopératif 536 CAISSES POPULAIRES ET CAISSES DE GROUPES AU QUÉBEC (514) ET EN ONTARIO (22) DESJARDINS CREDIT UNION 40 CAISSES ACADIENNES (34) ET MANITOBAINES (6) Desjardins Cabinet de services financiers FÉDÉRATION DE L’ONTARIO FÉDÉRATIONS DE L’ACADIE ET DU MANITOBA Fédération des caisses Desjardins du Québec Fiducie Desjardins Fonds de sécurité Desjardins Caisse centrale Desjardins Développement international Desjardins Capital Desjardins Fondation Desjardins Société historique Alphonse-Desjardins Caisse centrale Desjardins U.S. Branch Desjardins Bank Réseau des filiales Valeurs mobilières Desjardins Desjardins Capital de risque Desjardins Groupe d’assurances générales Desjardins Sécurité financière Desjardins Gestion d’actifs Mouvement = deux réseaux : le réseau coopératif et le réseau des sociétés filiales (ou corporatif). Les clients (appelées membres) sont propriétaires des caisses lesquelles sont supportées par une Fédération (= organe central du Mouvement). Structure à 2 niveaux : caisses locales et fédération. Les membres auxiliaires (caisses et fédérations du Nouveau-Brunswick et du Manitoba) opèrent indépendamment des caisses du Québec et de l’Ontario, n’utilisent pas sa marque de commerce, mais achètent des produits et services de la Fédération de Québec. La Fédération possède plusieurs entités actives dans le domaine éducatif et financier dont la Caisse centrale Desjardins (à statut coopératif) qui est l’agent financier et le Trésorier du Mouvement. Le réseau des filiales est détenu à 100 % par les caisses et est sous le contrôle entier de la Fédération. (En Europe, les filiales sont très souvent sous le contrôle de l’équivalent de la Caisse centrale). Une vingtaine de filiales traduit bien la volonté d’être un groupe financier intégré de nature coopérative (offrir la gamme complète des services financiers). Les CA de la Fédération, de la Caisse Centrale et celui du holding des sociétés filiales (via lequel les caisses détiennent le capital action de ces sociétés) sont composés des mêmes administrateurs. Mme Leroux est Présidente et chef de la Direction du Mouvement des caisses Desjardins et aussi Président du Conseil de la Fédération. Sigma Assistel Disnat Gestion VMD Valeurs mobilières Desjardins International S.E.C. et Fonds d’investissement Desjardins régionaux Capital régional et coopératif Desjardins1 La Personnelle, compagnie d’assurances * Certas direct, compagnie d’assurances * Desjardins Assurances générales * SFL Placements (Québec) Desjardins Sécurité Financière Investissements (Hors-Québec) SFL Partenaire de Desjardins Sécurité Financière Desjardins Sécurité financière Réseau indépendant Desjardins Gestion Internationale d’actifs Gestion Fiera Capital * DGAM Holding Company Desjardins Gestion Immobilière Services financiers Valeurs mobilières Desjardins Valeurs mobilières Desjardins / Bodiam Desjardins, Services d’assurances générales Certas, compagnie d’assurances auto et habitation La Personnelle, assurances générales * * Propriété partagée Au 31 décembre 2007 L’organigramme ne traduit pas la structure légale de propriété. 1 Fonds public en capital de risque dont la gestion a été confiée à Desjardins Capital de risque.

4 Notre mission Renforcer la capacité d'agir et d'entreprendre des populations moins nanties des pays en développement ou en transition en favorisant la maîtrise d'institutions financières à propriété collective et à rayonnement communautaire. Photo 1: Femme dans une rizière au Madagascar (Afrique) Photo 2 : Caisse au Vietnam DID a été créé en 1970, il y a 35 ans, pour répondre aux nombreuses demandes de pays du Sud qui se tournaient vers Desjardins désirant mettre en place des institutions financières axées sur les besoins des moins nantis. Encore aujourd’hui, DID appuie l’émergence et le développement de réseaux de caisses populaires locales dans les pays en développement. Nous, à DID, on croit en l’implantation d’institutions locales et durables dans les communautés. Ce n’est pas juste l’idée d’octroyer des prêts, c’est beaucoup plus. Permet l’octroi de prêts, mais aussi la possibilité d’épargner. Éducation à l’épargne.

5 Nos racines : notre force
Le Mouvement des caisses Desjardins : Créé en 1900 par Alphonse Desjardins A contribué à la « bancarisation » du Québec Plus grand groupe financier coopératif au Canada Un groupe qui conjugue performance sociale et performance financière. Un outil de développement au service des communautés. DID : Créé en 1970. Mieux s’organiser pour répondre aux demandes d’appuis. Partager les bénéfices de l’approche coopérative comme outil de développement: intercoopération. Photo : Gestionnaire de la MECREF du Niger en visite à la Maison Alphonse Desjardins, à Lévis. Au début du siècle, une grande partie de la population au Québec était exclue des service financiers. C’est ce qui a amené Alphonse Desjardins à créer la première caisse, en 1900. « Desjardins doit concilier 2 choses importantes : obtenir une performance financière et remplir sa mission sociale de desservir tout le monde sans discrimination (ne fait pas d’anti-sélection auprès des moins biens nantis (assistés sociaux) contrairement aux banques).  » Historique L'idée de consacrer l'une de ses composantes au développement international est issue de la volonté du Mouvement de partager le succès du modèle coopératif québécois avec des pays du Sud qui, dès les années 1960, sont venus frapper à la porte de Desjardins pour s'enquérir des recettes du succès de ce modèle. Ces visiteurs étrangers étaient alors confrontés aux mêmes défis auxquels Desjardins avait été confronté… au début du siècle. Desjardins représentait alors pour eux une source d'inspiration pour mettre sur pied des institutions financières à vocation sociale et axées sur les besoins des populations moins nanties. Devant l'intérêt grandissant des visiteurs étrangers et en raison de leurs besoins de plus en plus spécifiques en matière de conseil technique, Desjardins a décidé, en 1970, de consacrer une composante à l'appui technique destiné aux pays en développement : la Compagnie internationale de développement régional (CIDR), aujourd'hui Développement international Desjardins (DID). Depuis 1970, DID n'a cessé de grandir et d'évoluer, adaptant sans cesse ses solutions aux besoins de ses partenaires des quatre coins du monde et ajoutant de nouvelles cordes à son arc, dont le volet Investissement, qui permet d'offrir aux institutions partenaires de DID une source de capital pour l'investissement de même que le financement de leurs activités. (Source:

6 Nos croyances L’accès à des services financiers formels et permanents
Une nécessité pour les personnes et les familles. Une nécessité pour le développement économique et social des pays. 80 % et plus n’ont pas accès. Institutions financières à propriété locale et idéalement collective Le développement d’un patrimoine local : L’épargne. Le renforcement d’un leadership local. Des institutions locales. Une nécessité de services diversifiés Des partenariats à long terme et durables Photo : Une caisse villageoise au Burkina Faso L'accès à des services financiers diversifiés : une nécessité - DID croit que l'accessibilité aux services financiers est une nécessité, et non un privilège. Elle est une condition nécessaire au développement des individus et des communautés. C'est pourquoi l'équipe de DID consacre de nombreux efforts afin d'être toujours plus innovateurs dans ses façons de joindre les populations pauvres et marginalisées… là où elles se trouvent. - La diversification des services financiers est aussi une priorité. Le microcrédit à lui seul n’est pas suffisant. Les partenaires de DID offrent tous du microcrédit à leurs membres, mais celui-ci fait partie d’une offre de service beaucoup plus large qui inclut aussi les produits d’épargne, l’accès à des services de convenance (dépôts et retraits), le crédit à la consommation (qui finance l’éducation dans la majorité des cas), le crédit aux entreprises, le crédit à l’habitat, l’assurance, etc. - Note: Le crédit ouvre la porte à la réalisation de projets susceptibles d’améliorer considérablement la vie de ceux qui les réalisent. Le microcrédit consiste à réduire la taille des prêts et à adapter les méthodologies de crédit de façon à s’ajuster aux capacités de garantie et de remboursement des moins nantis, leur donnant ainsi accès à ce précieux outil qu’est la ressource financière. Le développement d'un patrimoine local : un tremplin pour l’autonomie Les institutions à propriété locale sont un levier essentiel à l’accroissement de l’accessibilité. La collecte de l’épargne est au cœur des préoccupations visant à accroître l'indépendance des communautés desservies en permettant de constituer un patrimoine individuel et collectif. Les institutions financières appuyées par DID entraînent un renforcement du leadership local et de la démocratie, puisque les acteurs de la communauté sont amenés à prendre part aux différents aspects de la vie démocratique de leur institution financière (prise de décisions, gestion, etc.). Des solutions pertinentes DID adapte les solutions aux besoins particuliers de ses partenaires et croit que la pertinence de ses solutions est attribuable à sa capacité de renouveler et de faire évoluer constamment ses produits et services. Pour y parvenir, l'organisation consacre non seulement une grande partie de ses efforts à l'innovation, mais elle n'hésite pas à établir des partenariats de réalisation avec des experts qui possèdent des connaissances et une expertise complémentaires aux siennes. La personne au centre des interventions Pour Desjardins, l'argent doit être au service des gens. Jamais le contraire! DID est d'avis que, pour être durable, le changement doit se faire par et pour les gens de la communauté. C'est pourquoi DID se fait un point d'honneur d'engager ces derniers dans la recherche de nouvelles idées ou de solutions ainsi que dans la précision de leurs besoins. Pour DID, les personnes sont des ressources à valoriser et à protéger tout au long de la relation. Des partenariats durables Au fil de ses interventions, DID s'emploie à bâtir des projets signifiants et structurants en matière de développement. D'où l'importance que l'équipe de DID accorde au fait d'établir des partenariats durables, de préserver de bonnes relations entre tous les intervenants d'un projet de même que d'accompagner les partenaires dans toutes les phases de leur développement. L’union fait la force: intégration des réseaux

7 Niveaux d’intervention: une approche globale
Impacts spécifiques Cadre légal Structuration de l’industrie Protection Surveillance externe Institutionnalisation et pérennité Organisation en réseau, développement de systèmes et création d’unités d’affaires C’est en travaillant sur ces tous ces aspects qu’on peut contribuer à bâtir des réseaux d’institutions financières solides et durables, qui permettront aux communautés locales d’améliorer leurs conditions de vie. L’important est de ne jamais négliger aucun de ces aspects. Ils sont tous essentiels pour la durabilité des institutions financières. Ce sont ces institutions qui vous permettre aux populations de répondre à leurs besoins de base (etc.) Note relative au niveau « Organisation en réseau » : une fédération permet aux caisses de partager des services qu’elles ne pourraient s’offrir toutes seules, de renforcer la gouvernance, de sécuriser les opérations des membres, en plus de constituer un élément fédérateur essentiel. Création de points de services (institutions de base) et introduction de produits pour les clientèles pauvres Portée Objectifs: Permettre aux individus de répondre à leurs besoins de base (santé, éducation, alimentation), de développer un patrimoine individuel et d’assurer leur autonomie. Permettre aux communautés de développer un patrimoine collectif. Favoriser la création de petites entreprises et le développement du secteur privé. Stimuler la création d’emplois et le renforcement de la société civile.

8 Les spécialisations de DID
DID est « le plus grand regroupement d’expertise spécialisée mis au service de l’aide internationale au Canada, tous secteurs confondus ». (Interalia, Février 2005) Une centaine d’experts canadiens Une centaine d’experts locaux +/- 20 M $ projets/an Photo : Membre de la caisse Socolavim en Haïti L’examen attentif des qualifications et de l’expertise des professionnels de DID engagés dans ce programme montre que le groupe dispose dans le domaine de l’épargne-crédit communautaire d’une expertise de haut niveau (niveau senior), unique au Canada et qui se classe certainement parmi les meilleures dans le monde de la coopération. L’examen montre, en outre, que le coût moyen chargé par DID à l’ACDI dans ce programme pour cette assistance technique correspond à celui d’un expert intermédiaire. Par rapport à l’envergure des impacts (augmentation de l’actif dans les réseaux, de l’épargne totale, du memberhip) obtenus en terme de réduction de la pauvreté (accès aux services, augmentation du patrimoine collectif et individuel), l’examen montre également que l’apport de l’ACDI est relativement petit (environ 1,30$ en moyenne par personne/membre). ÉVALUATION DE MI-PARCOURS DU PROGRAMME LA FINANCE AU SERVICE DES PAUVRES mis en œuvre par DÉVELOPPEMENT INTERNATIONAL DESJARDINS – DID Rapport final Février 2005 Source: INTERALIA (firme mandatée par l’ACDI pour évaluer les projets de DID) Appui technique Investissement Opérateur temporaire

9 Nos plus grands succès…
Burkina Faso: 145 caisses dans tout le pays, 1,1 M de familles, membre de la Confédération sous régionale (6 réseaux, 5 pays, plus de 3 M de familles) Lituanie: 59 caisses dans tout le pays, familles; seule institution à propriété locale Viêt-Nam: 986 caisses dans tout le pays, 1,2 M de familles Mexique (Chiapas): Depuis 4 ans: 1 caisse, 15 pts de service dans 2 états, 26,000 familles… Mali, Philippines, Guinée, Mauritanie, Russie, Sénégal, Haïti, Tanzanie, Djibouti, Pérou… Photo 1 : Membres d’une caisse SERFIR au Mexique Photo 2 : Caisse au Vietnam Photo 3 : Femmes employées par la MECREF au Niger Ces données proviennent du tableau de bord DID (30 juin 2006) et regroupent les données de toutes les institutions financières partenaires de DID. (membre de Proxfin ou pas) Les chiffres suivants ont de quoi impressionner: pour bien des membres/clients des institutions partenaires de DID, confier son argent à des étrangers est quelque chose de nouveau, qui demande un gros travail de sensibilisation. Et quand on sait que le crédit moyen émis par les réseaux partenaires est de l’ordre de 823$, ça signifie que les caisses ont joint un nombre impressionnant de petits emprunteurs! Cependant… Du fait de la récente création de Proxfin, les partenaires tels SANASA (qui comptent près d’un million de membres) ne nous ont pas donné leurs états financiers encore, ce qui nous empêche d’insérer leurs données dans ce tableau. Proxfin rejoint quant à lui 7,4 membres-clients (des familles et des entrepreneurs) donc environ 35 millions de personnes touchées. La clientèle féminine Près de 40 % des partenaires de DID rejoignent une clientèle féminine représentant plus de 50 % de leur clientèle totale. 85 % des partenaires ont une clientèle féminine supérieure à 30 % de leur clientèle totale. Les partenaires qui rejoignent le plus de femmes en termes de pourcentage sont la MECREF (Niger : 94 %), les Philippines (70 %) et la Russie (59 %). …Maintenant impossibles

10 Notre perception des défis
Défi de pertinence La bonne solution Au bon moment Par les bonnes personnes De la bonne manière Défi de cohérence En respect avec le rythme du partenaire Malgré les artifices du monde du développement Entre les diverses solutions possibles Défi de continuité Moins de LT, plus de CT Vision de développement souvent faible ou absente

11 Notre lecture de la situation actuelle
La déclaration de Paris : les intentions sont bonnes, les stratégies qui en découlent, parfois questionnables. Les ODM devraient aussi comprendre des cibles de développement économiques. On a jeté le bébé avec l’eau du bain : les facteurs de succès n’ont pas été analysés. Les résultats : Plus de multilatéral moins de bilatéral. Les ressources atteignent moins les populations. La gouvernance seule ne fait pas de développement. Réduction et dévalorisation des approches de développement des capacités.

12 Les défis de gestion dans la situation actuelle
Survivre Continuer à développer notre valeur ajoutée Entretenir nos partenariats Questionner un discours « politically correct » Maintenir nos valeurs de développement Sur la scène internationale, maintenir notre spécificité et notre fierté canadienne en espérant qu’elle « revienne à l’ordre du jour »…

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