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Publié parCharles Papin Modifié depuis plus de 9 années
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LE PLAN DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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Au tournage, on considère comme « plan » la portion de pellicule qui a déroulé dans la caméra entre les commandes « ça tourne » et « coupez » prononcées par le metteur en scène. A l’ère du numérique, un plan correspond à l’intervalle filmé entre deux pressions sur le bouton enregistrement de la caméra numérique (ou du téléphone portable). Au montage, on considère comme plan la portion choisie par découpage dans les plans réalisés au tournage. On peut envisager alors qu’un même plan au tournage jugé trop long soit réduit de quelques secondes au montage, voire scindé en deux ou trois autres plans plus courts. Pour illustrer ce point, on peut penser à une conversation entre deux personnages. Au tournage, on utilise une caméra pour filmer le personnage A en UN plan; en même temps, une autre caméra filme les réactions du personnage B en UN plan. Au montage, on va redécouper ces deux plans pour obtenir un certain nombre de plans correspondants à diverses phrases du dialogue: c’est ce qu’on appelle un « champs / contre-champs » qui permet d’obtenir plusieurs plans à partir de deux. voir exemple diapositive suivante DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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A B Plan tourné en une seule fois Plan tourné en une seule fois oui.
Source : War of the Worlds – Steven Spielberg (2005) – éd.Paramount Plan tourné en une seule fois Plan tourné en une seule fois DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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(Ces notions vous seront très utiles également en photographie)
Au tournage, on considère comme « plan » la portion de pellicule qui a déroulé dans la caméra entre les commandes « ça tourne » et « coupez » prononcées par le metteur en scène. A l’ère du numérique, un plan correspond à l’intervalle filmé entre deux pressions sur le bouton enregistrement de la caméra numérique (ou du téléphone portable). Au montage, on considère comme plan la portion choisie par découpage dans les plans réalisés au tournage. On peut envisager alors qu’un même plan au tournage jugé trop long soit réduit de quelques secondes au montage, voire scindé en deux ou trois autres plans plus courts. Pour illustrer ce point, on peut penser à une conversation entre deux personnages. Au tournage, on utilise une caméra pour filmer le personnage A en UN plan; en même temps, une autre caméra filme les réactions du personnage B en UN plan. Au montage, on va redécouper ces deux plans pour obtenir un certain nombre de plans correspondant à diverses phrases du dialogue: c’est ce qu’on appelle un « champs / contre-champs » qui permet d’obtenir plusieurs plans à partir de deux. voir exemple diapositive suivante. Au cinéma, une seconde de ‘plan’ correspond à 24 images ou « photogrammes ». La première caractéristique du plan cinématographique est donc le mouvement (des personnages, ou de la caméra elle-même). Nous allons ici nous intéresser au photogramme (image immobile) et à ses caractéristiques que l’on peut regrouper en 3 catégories. Un plan/photogramme est défini en termes de : - composition - cadrage - angle de prise de vue (Ces notions vous seront très utiles également en photographie) DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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1. J’observe DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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1. a. J’observe le cadrage Retour à l’exercice
Dès lors que l’on prend une photo, que l’on peint un tableau, on réfléchit nécessairement à ce que l’on veut mettre dans le « cadre ». C’est une ‘manie’ que l’on peut observer chez les peintres en particulier. Cela ressemble à cela. Source: site 123rf.com Au cinéma les plans sont répartis dans une échelle qui varie du Plan de Grand Ensemble (PGE) au Très Gros Plan (TGP). (Il est important de connaître les abréviations, on gagne du temps). Regardons ensemble les différents plans contenus dans l’échelle des plans (répertoire non-exhaustif) Retour à l’exercice DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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Retour à l’exercice Plan de Grand Ensemble (PGE) Plan Large (PL)
Source – Shining – Stanley Kubrick (1980) – Ed. Warner Home Video Source – Shining – Stanley Kubrick (1980) – Ed. Warner Home Video Ce plan permet de donner plus d’importance aux personnages même s’il met toujours en avant l’environnement dans lequel ils évoluent. Ce type de plan sert à planter le décor, il montre les paysages Plan Moyen (PM) Plan Américain (PA) Source : War of the Worlds – Steven Spielberg (2005) – éd.Paramount Source – Shining – Stanley Kubrick (1980) – Ed. Warner Home Video Ce plan montre le personnage de la tête au pied. C’est le plan situé à mi-chemin dans l’échelle, d’où son nom. Plan inventé pour le western car permettant de montrer le cow-boy AVEC ses colts, d’où un personnage coupé à mi-cuisse Retour à l’exercice DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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Retour à l’exercice Plans Rapprochés Plan Rapproché Taille (PRT)
Plan Rapproché Epaule (PRE) Les plans rapprochés (taille, poitrine et épaule) permettent de mettre plus ou moins en valeur le personnage en donnant plus ou moins d’importance au décor autour/derrière lui Source – Shining – Stanley Kubrick (1980) – Ed. Warner Home Video Source – Shining – Stanley Kubrick (1980) – Ed. Warner Home Video Gros Plan (GP) Très Gros Plan (TGP) Source – Shining – Stanley Kubrick (1980) – Ed. Warner Home Video Source – Shining – Stanley Kubrick (1980) – Ed. Warner Home Video Le gros plan permet de mettre en évidence les émotions du personnage. Dans ce genre de plan, le décor n’a que peu d’importance. Le très gros plan permet de mettre en évidence un détail, quelque chose qui serait invisible dans un plan normal. Retour à l’exercice DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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1. b. J’observe la composition
Une fois le cadre déterminé, on s’attache à organiser, à composer l’intérieur du cadre, son contenu. C’est la « composition » du cadre pour laquelle on peut déplacer des objets ou des personnes (au cinéma, cela fait partie de la « mise en scène ») exactement comme un photographe dispose des élèves pour la photo de classe par exemple. On peut aussi ‘composer’ son cadre sans toucher au décor mais en adoptant un « point de vue » sur l’élément à filmer. Ainsi, un cadrage peut privilégier les lignes horizontales et/ou verticales Playtime – Jacques Tati (1967) – Ed. Les Films de mon Oncle Retour à l’exercice DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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1 2 3 Retour à l’exercice - ou privilégier des lignes brisées
Mon Oncle – Jacques Tati (1958) – Ed. Les Films de mon Oncle Ce film de Jacques Tati alterne les séquences dans un monde moderne froid et déshumanisé, dominé par les lignes droites (en arrière plan), et un monde plus ancien (d’où vient le personnage de l’oncle joué par Tati lui-même) plus chaleureux, « vivant » mais plus désordonné aussi, c’est le premier plan de ce photogramme. - il permet encore insister sur la symétrie des plans, sur la perspective Source pour les photogrammes 1 et 2 – Shining – Stanley Kubrick (1980) – Ed. Warner Home Video 1 2 Les plans 1 et 2 mettent en avant la symétrie. Le plan 3 surtout la perspective et le point de fuite d’où va arriver le responsable de l’entreprise Playtime – Jacques Tati (1967) – Ed. Les Films de mon Oncle 3 Retour à l’exercice DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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- Ou encore ne rien mettre en valeur et dissimuler le tout dans la fumée ou le brouillard
1 2 Utiliser les champs et contre-champs extraits de Frankenstein Junior de Mel Brooks (1974 – éd. Twentieth century fox) permet de montrer comment le cinéma fantastique/ d’horreur utilise le brouillard pour obstruer la vision du personnage. En portant son travail sur la bande-son, le réalisateur créé une atmosphère angoissante qui se transmet beaucoup plus facilement au spectateur. Le plan 2 pourrait constituer notre regard sur la menace, ainsi, il facilite l’identification au personnage. - enfin, il permet d’insister sur la prédominance ou non du ciel : ce sont les notions d’horizon haut (1) et horizon bas (2) 2 1 L’horizon haut tend à donner une impression de renfermement, d’écrasement au personnage alors que l’horizon bas évoque les grands espaces, la liberté, la respiration. Photogrammes 1 et 2 : The Searchers – John Ford (1956) – éd. Warner home Video Retour à l’exercice DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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1. c. J’observe l’angle de prise de vue
Enfin, après avoir déterminé le cadre et sa composition, on peut ajouter du sens en travaillant l’angle de prise de vue, c’est-à-dire le positionnement de la caméra par rapport à l’objet ou la personne filmée. Soit la caméra pivote sur son pied de haut en bas (1), soit elle est placée plus bas ou plus haut que l’objet/le sujet à filmer (2). EX: Shining Stanley Kubrick (1980) Ed. Warner Home Video Playtime – Jacques Tati (1967) – Ed. Les Films de mon Oncle 1 2 En 1, la caméra est placée plus bas que le personnage et pivote vers le haut, c’est une ‘contre-plongée’. En 2, la caméra est placée au-dessus du personnage et domine le décor, c’est une ‘plongée’ Gosses de Tokyo Yasujiro Ozu (1932) – Ed. Mk2 Modern Times – Charles Chaplin – 1936 – Ed. Mk2 3 4 Dans ces deux autres exemples, Charlie Chaplin (3) place la caméra presque à dos de cheval, ce qui donne une certaine hauteur au plan sans donner l’impression de la plongée : c’est une ‘vue cavalière’. Dans le plan (4), Yasujiro Ozu place la caméra sur le sol, c’est une vue ‘à hauteur de tatami’ ou ‘à hauteur d’enfant’. Tous ces exemples permettent de montrer qu’il existe bien des façons de montrer le monde qui nous entoure. Retour à l’exercice DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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2. Je comprends DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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PGE PL PM PA PR GP (voire TGP)
2. a. Je comprends l’échelle des plans On peut la simplifier comme suit: Sinon, voir tableau d’échelle de plan en cliquant ICI PGE PL PM PA PR GP (voire TGP) On remarque que le plan « central » est celui qui montre le personnage de la tête au pied, c’est-à-dire le Plan Moyen. Les plans précédents dans l’échelle laissent de moins en moins de place aux personnages et de plus en plus de place au décor. On peut en conclure que les plans de grand ensemble, plans d’ensemble et plans larges servent surtout à positionner les personnages dans leur environnement. Tous les plans qui suivent le Plan moyen dans l’échelle resserrent le cadre sur la tête du personnage, sur son visage, rarement sur son épaule. On peut dire que plus on rapproche la caméra du sujet filmé, plus on insiste sur les émotions de ce sujets, plus on essaie de transmettre les émotions de ce sujet au spectateur. A titre d’exemple, cet autre plan tiré de Shining. Shining Stanley Kubrick (1980) Ed. Warner Home Video Quand Kubrick choisit ce cadre pour montrer la terreur du petit garçon, il a l’intention de faire peur au spectateur en lui faisant partager plus intensément cette terreur. Il est simple de comprendre que l’impact sur le spectateur aurait été moindre si le plan avait été un Plan Moyen. DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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2. b. Je comprends la composition
La richesse du cinéma, c’est la cohabitation de plusieurs vecteurs de sens en un seul cadre: de l’image et du son (musique, bruits d’ambiance, bruitage, dialogues…). Choisir ou non de ‘composer’ son plan, c’est décider ou non d’apporter du sens supplémentaire à une scène ou une séquence. Ainsi, un plan qui privilégie les lignes droites et la symétrie évoque l’idée de stabilité, de paix, de silence, de calme, alors qu’un plan aux lignes brisées suggèrera le désordre, le chaos, le conflit, la guerre… Relire les remarques concernant l’utilisation du brouillard et des horizons hauts et bas en diapositive n°11. DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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2. c. J’observe l’angle de prise de vue
Il en va enfin de même pour l’angle de prise de vue. En plaçant la caméra en hauteur, le metteur en scène qui fait le choix de la plongée met automatiquement le spectateur dans cette même position. Source : Doomsteaddin er.org L’effet, comme on peut le voir sur cette image très connue tirée du cartoon ‘Roadrunner’, est d’accentuer le ridicule du personnage (+ pancarte ‘BYE’ ici) en plaçant le spectateur en position de supériorité par rapport à lui. A l’inverse, un personnage vu en ‘contre-plongée’ est placé en position de domination par rapport au spectateur, ce qui met en avant la puissance du personnage et l’oppose à la faiblesse du spectateur. Bien entendu, cette « grammaire sémiotique » est faite pour être contournée. Exemple une nouvelle fois à l’aide de 2 photogrammes de Shining. Ces deux plans constituent le champ et le contre-champ d’une même scène. A ce moment du film, l’homme, devenu fou, annonce à sa femme qu’il a l’intention de la massacrer. Il avance vers elle tandis qu’elle recule en Agitant devant elle une batte de base-ball. Ici, le sens généralement attribué à l’utilisation de la plongée et contre-plongée est INVERSE. C’est bien l’homme qui est en position de force et sa femme, portant ‘dominante’, qui se retrouve en position de faiblesse car en grande détresse. DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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Pour résumer: composition, cadrage et angle de prise de vue permettent au metteur en scène d’apporter du sens supplémentaire à ce qui est déjà véhiculé par le jeu des acteurs et par les dialogues. la notion de composition pose la question de la manière « d’organiser » le monde. Mettre en scène un décor se fait avec minutie. Tous les détails comptent. On peut travailler ici la notion de ‘point de vue’. les notions de cadrage et d’angle de prise de vue posent la question du positionnement du spectateur par rapport à ce qui est montré. A quelle distance doit-on placer le spectateur pour telle scène et pourquoi? Le cadrage tente de répondre à ces questions. Où doit-on placer le spectateur pour telle autre scène et pourquoi? L’angle de prise de vue tente d’y répondre. on peut illustrer ce dernier point à l’aide des deux derniers plans du court-métrage de Maurice Pialat, L’amour existe, sorti en 1961 (éditions Gaumont DVD) « La main de la gloire qui ordonne et dirige, elle aussi peut implorer. Un simple changement d’angle y suffit. » DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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3. Je m’exerce DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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Déterminez dans les 2 diapositives suivantes l'échelle de chaque plan
1 2 2 Votre réponse : Votre réponse : Si vous avez un problème, cliquez ici 3 4 Votre réponse : Votre réponse : Réponses DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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5 6 7 8 Réponses Votre réponse : Votre réponse : Votre réponse :
Si vous avez un problème, cliquez ici Plans 4 à 8 : Modern Times – Charles Chaplin – 1936 – Ed. Mk2 Réponses DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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Pour les plans suivants, déterminez l'angle de prise de vue
Brendan et le secret de Kells – Tomm Moore – éd. Gébéka films Modern Times – Charles Chaplin – 1936 – Ed. Mk2 1 Votre réponse : 2 Votre réponse : Si vous avez un problème, cliquez ici 3 4 Maurice Pialat, L’amour existe (éd. Gaumont DVD) The problem we all live with – Norman ROCKWELL Votre réponse : Votre réponse : Réponses DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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Pour les plans suivants, déterminez le type de composition
Brendan et le secret de Kells – Tomm Moore – éd. Gébéka films 1 2 Votre réponse : Votre réponse : Si vous avez un problème, cliquez ici Modern Times – Charles Chaplin – 1936 – Ed. Mk2 3 4 Votre réponse : Votre réponse : Réponses DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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5 6 réponses Votre réponse : Votre réponse :
Modern Times – Charles Chaplin – 1936 – Ed. Mk2 5 6 Votre réponse : Votre réponse : réponses Si vous avez un problème, cliquez ici DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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4. Je pratique DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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Les exercices proposés dans cette fiche peuvent être réalisés à l’aide d’un appareil photo numérique (ou argentique) 1. Tout d’abord, il FAUT apprendre à cadrer un plan en respectant les lignes verticales et horizontales. Il existe deux moyens simples. Essayez de prendre une photo dans un couloir ou dans la salle de classe et faites en sorte que les portes du couloir soient parfaitement parallèles aux bords du cadre de la photo. Une fois ces lignes verticales bien travaillées, allez dans la cour et prenez une photo du paysage en essayant, si possible, de mettre l’horizon parallèle aux bords du cadre. 2. Faire des plans en balayant toute l’échelle des plans (au moins un PGE, un PL, un PM, un PA, un PR, un GP et un TGP 3. Une fois ces deux premières étapes franchies avec succès, travailler les plans avec perspective et point de fuite et les plans avec symétrie. Puis envisagez les plans avec horizon haut et les plans avec horizon bas. 4. enfin, travailler l’angle de prise de vue avec la plongée et la contre-plongée. Pour simples qu’ils soient, ces exercices constituent la base de tout travail en prise d’image animée. Il faut s’y entrainer le mieux possible. DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année
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THE END DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année 26
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DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année 27
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Gros plan ou plan rapproché épaule
Déterminez dans les 2 diapositives suivantes l'échelle de chaque plan 1 2 2 Votre réponse : Votre réponse : Plan moyen Plan d’ensemble 3 4 Votre réponse : Plan rapproché épaule Gros plan ou plan rapproché épaule Votre réponse : DSDEN 37 - année Diapo suivante DSDEN 37 - année 28
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5 6 Gros plan Plan d’ensemble 7 8 Plan large Plan rapproché taille
Votre réponse : Votre réponse : Votre réponse : Votre réponse : Gros plan Votre réponse : Plan d’ensemble 7 8 Votre réponse : Plan large Plan rapproché taille Votre réponse : Plans 4 à 8 : Modern Times – Charles Chaplin – 1936 – Ed. Mk2 DSDEN 37 - année Diapo suivante DSDEN 37 - année 29
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1 2 plongée plongée 3 4 Contre-plongée Diapo suivante
Pour les plans suivants, déterminez l'angle de prise de vue Brendan et le secret de Kells – Tomm Moore – éd. Gébéka films Modern Times – Charles Chaplin – 1936 – Ed. Mk2 1 Votre réponse : 2 plongée Votre réponse : plongée 3 4 Maurice Pialat, L’amour existe (éd. Gaumont DVD) The problem we all live with – Norman ROCKWELL Votre réponse : Contre-plongée Votre réponse : Angle nul / à hauteur de la petite fille DSDEN 37 - année Diapo suivante DSDEN 37 - année 30
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1 2 3 4 Lignes verticales Lignes verticales perspective
Pour les plans suivants, déterminez le type de composition Brendan et le secret de Kells – Tomm Moore – éd. Gébéka films 1 2 Votre réponse : Lignes verticales Votre réponse : Lignes verticales Modern Times – Charles Chaplin – 1936 – Ed. Mk2 3 4 Votre réponse : perspective Votre réponse : Absence lignes droites DSDEN 37 - année Diapo suivante DSDEN 37 - année 31
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5 6 Horizon bas Perspective bouchée / relative symétrie Diapo suivante
Modern Times – Charles Chaplin – 1936 – Ed. Mk2 5 6 Votre réponse : Horizon bas Votre réponse : Perspective bouchée / relative symétrie Diapo suivante DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année 32
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Tableau d’échelle de plans
RAPPEL Tableau d’échelle de plan. Pour les exemples reprendre la partie « J’observe » RAPPEL Tableau d’échelle de plans (pour des exemples sur photogrammes, relire la partie « J’observe ») TGP = Très Gros Plan GP = Gros Plan PRE = Plan Rapproché Epaule PRP = Plan Rapproché Poitrine PRT = Plan Rapproché Taille PA = Plan Américain PM = Plan Moyen PL = Plan Large PE = Plan d’Ensemble PGE = Plan de Grand Ensemble Retour à la fiche « je comprends l’échelle des plans » DSDEN 37 - année DSDEN 37 - année 33
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