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Publié parCorinne Crouzet Modifié depuis plus de 9 années
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Créé par: Maude Bédard et Marie-An Nguyen
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Nous sommes deux scientifiques travaillant pour les anciens projets “Mars Global Surveyor” et “ Mars Pathfinder”. Désormais, nous devons rechercher deux énergies utiles lors de la toute nouvelle mission: “Cap sur Mars”. Voici nos hypothèses et nos suggestions. Cependant, commençons avec une petite visite de Mars. Maintenant que l’an 2003 est parvenu jusqu’à nous, il est grand temps de percer le grand mystère qu’est la planète Mars. Depuis longtemps, on suppose qu’il y ait déjà eu de l’eau en surface, dans son sol rocailleux. Mais comment fait-on pour vivre dans ce monde mystérieux? Respirer est une chose difficile à accomplir lorsqu’il n’y a pas d’oxygène…
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L’énergie est une source essentielle à tous gestes posés. Voici donc pourquoi nous nous sommes arrêtées sur: l’énergie nucléaire. En effet, on pourrait affirmer que le but de cette fusion, serait de recréer l’énergie du soleil, car en fait, on recrée la chaleur que contient le noyau de celui-ci. Tout d’abord, la première étape consiste à extraire de l’uranium, car c’est à partir de ce combustible que l’on peut receuillir l’énergie, tout au long du processus pour enfin parvenir à l’électricité. Sur Mars, nous pouvons en retrouver au centre de la planète, en profondeur vers le noyau. Malheureusement, puisqu’en ce moment-ci, les régions logées d’uranium ne sont pas encore connues, nous devrons en exporter directement de la Terre.
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Pour commencer, on transporterait de la Terre, une quantité suffisante d’uranium pour alimenter une pile nucléaire (centrale nucléaire miniature) pour ainsi fournir assez d’énergie pour toute la durée de la construction, l’installation et la mise en marche des éoliennes qui serviront à la production de notre énergie permanente. Le principe d’une pile nucléaire ordinaire se résume à ceci: Il y a d’abord fission entre les atomes d’uranium dans le réacteur nucléaire, ce qui dégage de la chaleur, qui elle, est ensuite extraite et combinée à de l’eau. Cette eau se transforme alors en vapeur sous ébullition et alimente ainsi une turbine, qui elle ensuite fait tourner un alternateur, qui produira enfin notre électricité. Ensuite, la vapeur est condensée (refroidie) par de l’eau. Pour nous, sur Mars, nous utiliserons de la glace carbonique contenue sur la planète pour cette dernière étape.
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Nous avons choisi l’énergie nucléaire comme énergie temporaire parce qu’elle présente de nombreux avantages pour la mission. Premièrement, l’uranium est un combustible encore plus performant que d’autres, comme le pétrole ou le charbon. De plus, une centrale nucléaire n’entraîne pas de pollution atmosphérique. Évidemment, tous avantages causent des conséquences. Par exemple, l’uranium qui ne sert plus, devient un déchet toxique. Mais puisque l’énergie que l’on utilise n’est que temporaire, le risque de pollution est beaucoup moins éminent. Mais dans tous les cas, l’énergie nucléaire engendre une très grande force énergétique.
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Comme la planète rouge pullule de vents favorables et de tempêtes, l’énergie éolienne est bien l’énergie que l’on recherche. Les vents peuvent atteindre une vitesse fulgurante qui dépasse parfois les 200 km/h! Ceci est bien sûr un très bon point qui peut élever l’efficacité des éoliennes… peut-être trop, même. Sur la planète rouge, les tempêtes de sables sont très fréquentes, violentes et font même parties du quotidien. Dans un cas très rare, un cyclone pourrait surgir. Lorsque les grands vents frappent, des tempêtes de poussières peuvent réussir à recouvrir entièrement la planète.
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Soufflé électrique Voici les ingrédients importants pour réussir cette recette: - des vents d’une force colossale - un plein panier d’éoliennes très performantes - une bande de joyeux ouvriers - un soupçon d’ingéniosité Tout d’abord, chercher un terrain de taille considérable. Puis, installer les éoliennes à une assez bonne distance les unes des autres. Attention: les vents trop violents risquent de les déraciner. S’assurer de bien les ancrer dans le sol et de les relier ensemble pour éviter le problème. Ensuite, réduire la taille des palmes (des hélices) pour prévenir les complications lors d’une tempête de poussière violente ou d’une difficulté climatique cruciale. Maintenant, goûtez au savoureux parfum de l’énergie! Pour résumer, l’éolienne fait tourner ses hélices grâce au vent et actionne une turbine qui dégage l’énergie produite pour la transformer en électricité.
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Plusieurs points ont attiré notre attention sur cette forme d’énergie. Le premier étant que Mars, comme on vous l’a démontré plus tôt, possède un climat plutôt venteux et agité. Donc les éoliennes sont d’autant plus efficaces et performantes lorsque les vents sont puissants. Comme deuxième point, cette énergie est l’une des seules, présentes sur Mars, à être renouvelable et non polluante. De plus, elle n’exige que très peu d’installations. Par contre, les éoliennes déparent quelque peu le paysage. Mais avec un peu de recul et même de peinture, on peut les rendre ou du moins, les trouver jolies. Tout est une question de goût!
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Comment: On creuse un forage au dessus d’un réservoir magmatique dans lequel on fait descendre un tuyau en spirale et qui remonte ensuite en ligne droite. Puis, on y fait descendre un liquide qui se réchauffera de plus en plus en se rapprochant du réservoir magmatique. Le liquide qui remonte est donc plus chaud qu’à sa descente et prend donc plus d’expansion, ce qui le propulse à travers la turbine pour ainsi produire de l’électricité. Pourquoi: Cette forme d’énergie est gratuite, renouvelable et ses installations d’exploitation sont silencieuses et non polluante. De plus, une centrale géothermique peu procurer dix fois plus d’électricité qu’une pile atomique acheminée depuis la Terre et peut être montée en quelques mois seulement. Fait par: Maude Bédard et Marie-An Nguyen
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www.educnet.education.fr/planeto/ pedago/topomars/ech.htm - www.nirgal.net - www.google.com - www.mars.bw.qc.ca - www.astrosurf.com - www.futura-science.com - www.solarviews.com - FRANKEL, Charles.La vie sur Mars. Paris, Édition du Seuil, 1999. 308 p. - Manuel de géographie
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