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Séance 12: Formes d’organisation du travail*

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1 Séance 12: Formes d’organisation du travail*
Le système professionnel Le taylorisme Le fordisme L’automation L’informatique * Power Point préparé à partir du texte de Michel de Coster : « La situation du travailleur en regard de l’évolution technologique », dans Sociologie du travail et gestion des ressources humaines, Paris et Bruxelles, Éditions DeBoeck Université, 1999, pages 53 à 76.

2 Le système professionnel
Au XIXe siècle. La direction de l’entreprise prépare un plan de production qui définit sommairement la quantité et la qualité de la production. L’organisation du travail est laissée aux travailleurs. Le contremaître, travailleur reconnu par ses pairs, répartit le travail.

3 Le système professionnel (suite)
C’est l’ère de la machine universelle. L’ouvrier possède davantage un métier qu’une spécialisation. Survivance de l’artisanat: le travailleur impose sa propre cadence à la machine. Son travail requiert adresse et connaissance.

4 Le taylorisme Début du XXe siècle.
C’est l’ère de la machine spécialisée. Organisation scientifique du travail. Distinction entre conception/préparation du travail d’un côté et exécution de l’autre. La compétence de l’expert se substitue à l’expérience professionnelle du travailleur.

5 Le taylorisme (suite) Le travail devient parcellisé.
Les machines réalisent des opérations simples. L’ouvrier devient spécialisé mais non qualifié. Le taylorisme se base sur le fait que l’ouvrier doit toujours être égal à lui-même selon le principe de Taylor: s’attaquer à la flânerie des ouvriers.

6 Le fordisme Années 1920 et après. C’est l’ère du travail à la chaîne.
On ôte au travailleur toute maîtrise du temps au profit de la machine. On apporte le travail à l’ouvrier (par le convoyeur) selon le principe de Ford: s’attaquer à la flânerie des matériaux. Les opérations effectuées par les travailleurs sont devenues très simples sur la ligne de montage.

7 L’automation Années 1950 et après.
C’est la technologie du travail automatique. La manutention, la conception et les procédés de fabrication sont intégrés dans une suite d’opérations ne nécessitant pas l’intervention directe des personnes. L’automation regroupe les tâches que le taylorisme et le fordisme avaient émiettées.

8 L’automation (suite) Les machines sont automatiques (elles s’auto-régulent) et accomplissent un programme de travail sans intervention directe de l’ouvrier. Des équipes de travailleurs se structurent afin de surveiller le processus de travail. Deux nouveau types de travailleurs apparaissent: les opérateurs et les ouvriers d’entretien.

9 L’informatique Plus spécifiquement: les années 1970 à aujourd’hui.
Traitement systématique et automatique des informations. Trois (3) modes d’organisation correspondant à trois (3) phases: centralisation éclatement (autonomisation) intégration (mise en réseau et standardisation).

10 L’informatique (suite)
L’informatisation rend possible de nouveaux types d’organisation du travail et la technologie contribue à assigner aux travailleurs des tâches nouvelles enrichies ou appauvries, selon l’usage qui en sera fait. Le travail des employés de bureau se standardise. Le contrôle direct sur le travail augmente.

11 L’informatique (suite)
Dans le secteur tertiaire, la première vague d’informatisation (autour des années 1972 à 1984) introduit le taylorisme et la surveillance dans les technologies (exemple: les employées chez Bell, dans le fil « Quel Numéro? What Number? »). La seconde vague (années 1984 à 1995) implique un élargissement et un enrichissement des tâches: stations autonomes de travail, logiciels standards, peu de formation requise en informatique et programmation. La troisième phase (surtout à partir des années 1990) est celle de la télématique, soit l’informatique et les télécommunications (dont Internet et le courriel).

12 L’informatique (suite)
Trois vagues (correspondant aux trois phases présentées précédemment): 1. Centralisation ( ) : les concepteurs imposent leur façon de concevoir la réalité; apparition des analystes, des programmeurs et du personnel de saisie. 2. Éclatement ( ) : convivialité croissante des logiciels; émergence des concepteurs/développeurs de logiciels, graphistes, ergonomes, cogniticiens (IA); conseillers & consultants en informatique.

13 L’informatique (suite)
2 (Éclatement - suite). L’ordinateur devient un élément du poste de travail pour les cadres et les employés (le métier de secrétaire se modifie). 3. Intégration (années 90) : convivialité mais aussi accentuation de la division entre concepteurs et utilisateurs; émergence de spécialités (ingénieurs de réseaux informatiques; explosion des métiers de la consultance et de la sous-traitance).

14 L’informatique (suite)
Les promesses de l’informatique offrent des perspectives pour des gestionnaires à la recherche de la maîtrise de leur environnement et de leur milieu de travail. La standardisation et le contrôle sont en croissance actuellement.


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