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Exposé sur napoléon et ses batailles.
L’ Epopée Napoléonienne
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Sommaire En France période révolutionnaire:
En Italie, première coalition : En Égypte, en Syrie et dans les Alpes autrichiennes, deuxième coalition : En Autriche, troisième coalition : En Prusse et en Russie, quatrième coalition : En Autriche, cinquième coalition : En Russie, en Prusse et en France, sixième coalition : En Belgique, septième coalition :
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En France période révolutionnaire
Toulon (siège du 7 septembre au 19 décembre 1793) Bonaparte arriva à Toulon le 16 septembre 1793, où la situation était devenue critique. Le 12 novembre, le fort de l'Eguillette est pris, celui de Mulgrave, de Balaguier et de Faron le 17. Si bien que le 19 décembre, les anglais du général O'Hara évacue le port de Toulon. L'attaque du Mont Faron tenu par les Anglais. Bonaparte mettra ses batteries à cet endroit et détruira les position anglaises.
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2.En Italie, première coalition:
Montenotte (12 avril 1796) Le 9 avril, soit trois jours avant la bataille, Napoléon opère en fonction de l'objectif qu'il s'est fixé : "Se placer en position centrale, battre l'ennemi en détail". Bonaparte a toujours visé Montenotte, mais il laisse croire à l'ennemi qu'il désire Gênes. Le 12 avril c’est la victoire, les troupes française remporte la bataille
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Arcole (15-17 Novembre 1796) Sur le pont d'Arcole, les français sont mitraillés de l'autre rive et meurent par dizaine. Les autrichiens se replient sur le plateau de Rivoli... La ville d'Arcole
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3.En Italie, première coalition:
Rivoli ( 14 janvier 1797 ) Bonaparte, tient ses positions et renforce le siège de Mantoue, entreprit le 15 juillet 1796. Les premiers affrontements surviennent le 13 janvier Joubert, attaqué de toutes parts, se replie sur le plateau de Rivoli. Le 14 janvier, à 7 heures, les autrichiens attaquent.
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4.En Égypte, en Syrie et dans les alpes Autrichienne, deuxième coalition:
Pyramides (21 juillet 1798)
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Mont Thabor (16 avril 1799) Napoléon Bonaparte entraîne son armée vers la Syrie, pour détruire l'armée du pacha de Damas, et pour s'échapper vers le nord. La bataille du Mont Thabor effacera cependant toutes menaces arabes jusqu'à la bataille d'Aboukir...
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5.En Prusse et en Russie, quatrième coalition :
Presque un an après l'éclatante victoire d'Austerlitz, Napoléon craint que la Prusse s'engage dans la guerre. Le problème est que ce pays a une très bonne armée, mieux encadrée que les armées autrichienne et russe. Cette crainte se concrétise, et poussé par son épouse Louise de Prusse, le Roi allemand décrète le réarmement. Partout en Prusse des jeunes gens s'enrôlent, les industries tournent à plein régime. En deux semaines à peine, l'armée est prête. Napoléon réagit et place ses armées à tous les points stratégiques de l'Allemagne ; à Mayence, à Ulm, à Francfort, les français placent leur campement pour la contre-offensive. Le 7 octobre, le Roi de Prusse envoie un ultimatum à l'Empereur, le sommant de quitter la Prusse et l'ensemble des Etats allemands de la future "Confédération du Rhin". Napoléon refuse l’affrontement est inéluctable.
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6.En Autriche, cinquième coalition :
Après la grande campagne de en Prusse et en Russie, la France était à son apogée. Mais la "sale affaire d'Espagne" a entraîné Napoléon dans une situation délicate, l'obligeant à intervenir personnellement. L'Autriche a pensé que c'était pour elle le moment de se relever et de reprendre sa place prédominante en Europe. Elle leva une armée de hommes, plus une réserve de soldats. C'est enfin l'Angleterre qui finance le tout. Napoléon réunit le plus de monde possible. Il dispose de hommes utilisables immédiatement. Le 17 avril, les armées françaises se mettent en marche. Elles vont remporter cinq victoires en quatre jours : Tengen le 19, Abensberg le 20, Landshut le 21, Eckmühl et Ratisbonne le 23. Napoléon s'installe ensuite à Vienne. Tous les ponts ont été détruits par l'archiduc Charles. l'Empereur, et Napoléon donne l'ordre d'en construire de nouveaux. Il s'installe sur l'île de Lobau, et prépare son attaque...
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7.En Russie, en Prusse et en France, sixième coalition
Cela fait déjà plus de cinq ans que Napoléon et le Tsar Alexandre Ier de Russie, réunis sur le radeau de Tilsit, se sont jurés amitié et paix éternelles. Oui mais voila, le Tsar supporte de plus en plus mal le blocus continental, et il convoite toujours la Pologne "libérée" par Napoléon. L'or anglais, accéléra les choses. Le 24 juin 1812, la Grande Armée, forte de 6OO OOO soldats(jamais autant d'hommes n'avaient été réunis dans une même campagne), franchit le Niémen, fleuve-frontière entre la Pologne et la Russie. Mais l'ennemi se dérobe, se replie, obligeant toujours Napoléon à s'enfoncer un peu plus dans les immenses steppes russes. Smolensk est prise, mais la tentative d'encerclement a échoué. Le 4 septembre, les éclaireurs de Murat repère les positions ennemis sur le plateau de Borodino sur la rive droite de la Kolotscha. Les dés sont jetés...
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8.En Belgique, septième coalition :
Le 15 juin,trois jours avant la défaite, Napoléon décide de se porter sur Charleroi en belgique, pour couvrir son flanc gauche menacé par Blücher. Son plan d'attaque est déjà établi dans sa tête : il va avancer sur le front avec trois colonnes de hommes chacune. Mais la situation de l'armée est quelque peu déconcertante, aucun des officiers n'ont véritablement leur place : les maréchaux commandent des régiments, les généraux des bataillons, et les colonels de maigres unités. Mais il faut faire avec ce qu'on a, et Napoléon est malgré tout confiant dans son armée. Douze colonnes de cavaleries lourdes ouvrent la voie, mettant en déroute les garnisons d'éclaireurs ennemis.
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L'armée française engage même des mercenaires pour des actions de sabotage, dont la plus célèbre est l'explosion du Fort Manteux, près de Charleroi, gardé par les prussiens (il y eut morts et blessés). Mais Napoléon sait aussi que les Alliés sont près à en finir. Le seul moyen de signer un traité et de faire reconnaître légitimement son titre est de détruire les dix armées ennemis... Une tâche très délicate ! Le 16, dans le courant de l'après-midi, la Garde tire les trois coups de canons indiquant le début de l'offensive. Napoléon envoie ses hommes enlever les forts prussiens détenus par Bülow. L'ennemi est timide et évite le combat en attendant le soutien anglais, personnifié par le terrible Duc de Wellington. La route des Quatre-Bras est à présente ouverte aux français, mais la cavalerie de Ney se fait durement accroché pendant l'affrontement, et le 14ème régiment est totalement détruit. Dans la soirée, Napoléon lance son attaque générale, mais les français piétinent toujours, contenus par les prussiens et les russes à Wavre, en Belgique...
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