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Publié parMaximilien Benoit Modifié depuis plus de 9 années
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Journées de Communication pour la Prévention, la Réponse et la Lutte contre l’impunité des auteurs des violences sexuelles par la boite à image Par Crispin KOBOLONGO KONGUNDE Président de l’ACVDP
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PLAN D’EXPOSE I. Présentation de l’ACVDP II. Bref Résumé de l’Activité III. Contexte IV. Objectifs V. Cibles VI. Les étapes dans sa mise en œuvre VII. Les principaux apports et impacts VIII. Résultats IX. Conclusions X. Boite à images sur la communication pour la prévention et lutte contre l’impunité des auteurs des violences sexuelles et celles basées sur le genre en RD Congo
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I. Présentation de l’ACVDP
L’Action Contre les Violations des Droits des Personnes Vulnérables « ACVDP » en sigle est une ONG humanitaire pour la promotion et la défense des droits des personnes vulnérables du droit Congolais. Elle existe depuis aout 2000 Elle est basée à Kinshasa Kingabwa dans la commune de Limete avec 4 antennes provinciales à Bandundu, Bas Congo, l’équateur membre des réseaux RENADHOC, CONEPT, MDH Centre Carter, Synergie provinciale de lutte contre les violences sexuelles. Elle compte à son actif, plusieurs réalisations. Pour plus d’infos, veuillez consulter son site :
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II. Bref Résumé de l’Activité
Il est question d’une série d’activités de formation et d’information par la boite images sur comment prévenir, répondre et lutter contre l’impunité des auteurs des violences sexuelles et celles sur le genre en République Démocratique du Congo en milieux scolaire, conjugal et autres. Cette activité vise à résoudre les défis suivants : L’ignorance de ce qu’il faut faire pour prévenir les violences sexuelles, en cas de violences sexuelles et comment lutter contre l’impunité des auteurs ainsi que de la loi sur les violences sexuelles en RDC.
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III. Contexte Au moins 40 femmes sont violées chaque jour en RDC, soit plus d’une femme toutes les heures, selon un rapport rendu public mardi 8 octobre à Kinshasa par la ministre du Genre, de la Famille et de l’Enfant, Geneviève Inagosi. Le document élaboré avec l’appui du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP/UNFPA) rapporte plus de cas de violences sexuelles enregistrés de 2011 au 1er semestre Pour la ministre, «une bonne sensibilisation à travers les médias» peut aider à prévenir ces violences sexuelles. Les informations contenues dans ce rapport concernent 7 provinces : Bandundu, Bas-Congo, Katanga, Province-Orientale, Kinshasa, Nord-Kivu et Sud-Kivu. La province la plus touchée reste celle du Nord-Kivu, avec cas de violences sexuelles en 2011, plus de en 2012 et au premier semestre A en croire le rapport, l’accroissement des cas est lié à la situation de conflit dans laquelle se trouve cette province. Elle est suivie par le Sud-Kivu et la Province Orientale, deux régions où sévissent de multiples groupes armés accusés de plusieurs crimes, dont des violences sexuelles. Selon la ministre du Genre, ces violences sont commises notamment par des groupes armés, des milices et des civils. 59 % de cas restent inconnus et la majorité des victimes ont moins de 18 ans. Au cours de la présentation de ce rapport, la ministre Inagosi a déploré que des cas de violences soient rapportés même dans les zones épargnés par les conflits armés. «C’est pour vous dire qu’il y a certaines pratiques qui expliquent cela. Nous devons travailler en synergie. Avec une bonne sensibilisation à travers les médias, je pense que nous pouvons prévenir les violences sexuelles», a-t-elle affirmé. La présentation de ce rapport s’est déroulé en présence notamment de la ministre de la Justice, Wivine Mumba, et du secrétaire général adjoint de l’Onu chargé de la question des violences sexuelles en zones de conflits, Zainab Hawa Bangura. Mme Bangura a mis en garde tous les auteurs des violences faites à la femme en RDC. D’où la nécessité d’organiser les activités de prévention relative à la lutte contre les violences basées sur le genre est un environnement à risque.
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IV. Objectifs L’activité vise à atteindre les objectifs ci après :
Global Contribuer à la lutte contre les violences sexuelles et celles basées sur le genre en RDC. b) Spécifiques Organiser les activités de prévention relative à la lutte contre les violences sexuelles et celles basées sur le genre; Vulgariser la loi sur les violences sexuelles; Informer et former sur le changement de comportement relatif à la prévention et la lutte contre les violences sexuelles et celles basées sur le genre; Améliorer les connaissances la prévention et la lutte contre les violences sexuelles et celles basées sur le genre.
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V. Cibles (bénéficiaires)
élèves des 5 eme et 6 eme primaires ; élèves des 1 ère et 2 eme secondaire ; les enseignants et responsables des écoles (pour la vulgarisation de la loi) Le grand public situé dans des églises, mosquées, marchés, camp militaires, entreprises, etc…
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VI. Les étapes dans la mise en œuvre
Les rencontres préparatoires; Les contacts et identisations des hommes engagés dans la promotion et la défense des droits de la femme; Organisation des journées d’information sur le genre et le développement; Installation des coins genres en milieux scolaires; Organisation des séances de sensibilisation et de vulgarisation des instruments juridiques tant nationaux qu’internationaux et du protocole de la SADC sur le genre et le développement; Plaidoyer auprès des autorités; Mise sur pieds des comités de promotion et de la défense des droits de la femme et lutte contre les violences sexuelle et celles basées sur genre(CPDF); Faire le suivi et évaluation de l’ activité ; Rédiger des rapports.
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VII. Les Principaux Apports et impact
La participation aux débats sur la question ainsi que les différentes contributions faites parles participants sur les stratégies prévenir et de lutter contre l’impunité des auteurs de violences sexuelles et celles basées sur le genre et le respect des droits de la femme et du genre à tous les niveaux de la vie; Le changement de comportement au bénéfice de la non violence.
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VI. Résultats les activités de prévention relative à la lutte contre les violences sexuelles et celles basées sur le genre organisées; la loi sur les violences sexuelles vulgarisée; le changement de comportement relatif à la prévention et la lutte contre les violences sexuelles et celles basées sur le genre est constaté; les connaissances la prévention et la lutte contre les violences sexuelles et celles basées sur le genre sont améliorées.
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VIII. Conclusion De tout ce qui précède, nous pouvons conclure que l’activité réalisée sur les Journées de Communication à la Prévention, à la Réponse et à la Lutte contre l’impunité des auteurs des violences sexuelles par la boite à image était une accession des tous les participants de changer leur comportement par rapport à la prévention, à la réponse et à la lutte contre l’impunité des auteurs de violences sexuelles et celles basées sur le genre.
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IMAGE 1: une femme violée par deux hommes
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IMAGE 2:la femme violée est dans sa famille et celle-ci cherche une Réponse
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IMAGE 3: malgré le pardon des auteurs avec les chèvres et autres objets, il faut ne faut pas accepté mais demandé une réparation conformément à la loi.
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IMAGE 4: La victime est orientée vers une structure de prise en charge medico sanitaire dans les 72 Heures
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IMAGE 5: Dans une clinique juridique ou soit une ONG des droits de l’homme pour préparer une plainte
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IMAGE 6: la victime est conduite à la police
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IMAGE 7: les auteurs sont condamnés conformément à la loi et l’impunité est vaincue
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IMAGE 8: Marche de sensibilisation et de dénonciation des violences sexuelles
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