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Publié parÉmilie Rondeau Modifié depuis plus de 9 années
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D é terminants de sant é et facteurs de risque
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Le risque Un risque correspond à la probabilit é qu ’ un effet sp é cifique se produise dans une p é riode donn é e ou dans des circonstances d é termin é es 2 composantes du risque : probabilit é d ’ occurrence (de survenue) gravit é Ne pas confondre risque (probabilit é ) avec incident : é v é nement impr é vu qui aurait pu avoir cons é quences ind é sirables accident : é v é nement impr é vu aux cons é quences ind é sirables danger : potentiel de cr é er des dommages souvent associ é à une é nergie (chimique, é lectrique, nucl é aire, m é canique) menace : facteur d é clenchant lib é rant une menace Un risque correspond à la probabilit é qu ’ un effet sp é cifique se produise dans une p é riode donn é e ou dans des circonstances d é termin é es 2 composantes du risque : probabilit é d ’ occurrence (de survenue) gravit é Ne pas confondre risque (probabilit é ) avec incident : é v é nement impr é vu qui aurait pu avoir cons é quences ind é sirables accident : é v é nement impr é vu aux cons é quences ind é sirables danger : potentiel de cr é er des dommages souvent associ é à une é nergie (chimique, é lectrique, nucl é aire, m é canique) menace : facteur d é clenchant lib é rant une menace
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Risque Probabilit é = degr é de vraisemblance qu ’ un é v é nement se produise Nombre entre 0 et 1 On utilise souvent la fr é quence plutôt que la probabilit é pour d é crire risque et le degr é de croyance (rare/invraisemblable/mod é r é /vraisemblable/presq ue certain … ) Cons é quence peut s ’ exprimer de fa ç on quantitative ou qualitative Probabilit é = degr é de vraisemblance qu ’ un é v é nement se produise Nombre entre 0 et 1 On utilise souvent la fr é quence plutôt que la probabilit é pour d é crire risque et le degr é de croyance (rare/invraisemblable/mod é r é /vraisemblable/presq ue certain … ) Cons é quence peut s ’ exprimer de fa ç on quantitative ou qualitative
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Facteur de risque Condition, pathologie, ou comportement qui rend plus probable l ’ apparition d ’ une maladie Caract é ristique li é e à une personne, à son environnement, sa culture ou son mode de vie et qui entra î ne pour elle une probabilit é plus é lev é e de d é velopper une maladie. Peut concerner l ’ individu ou le groupe N ’ est pas forc é ment causal (corr é lation ≠ relation causale) Condition, pathologie, ou comportement qui rend plus probable l ’ apparition d ’ une maladie Caract é ristique li é e à une personne, à son environnement, sa culture ou son mode de vie et qui entra î ne pour elle une probabilit é plus é lev é e de d é velopper une maladie. Peut concerner l ’ individu ou le groupe N ’ est pas forc é ment causal (corr é lation ≠ relation causale)
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Distinction entre facteurs de risques et d é terminants Facteur de risque (Epid é miologie) Caract é ristique associ é e de mani è re statistiquement significative à un é v é nement de sant é. La notion de facteurs de risques est utilis é e dans les é tudes relatives à la sant é, il s'agit d'un lien avec l' é tat de sant é sur lequel il est possible d'intervenir, d'avoir une action. Certains facteurs sont reconnus prot é ger contre le risque d'apparition de maladie. D é terminants de sant é (Sant é Publique) Caract é ristiques individuelles ou collectives susceptibles d ’ influer directement ou indirectement sur l ’é tat de sant é Les d é terminants sont des é l é ments qui exercent de fa ç on directe ou indirecte une influence positive ou n é gative sur l' é tat de sant é ou le bien être social. Si l'influence est n é gative, ils favorisent l'apparition de maladie. Si l'influence est positive, ils permettent à l'individu de se maintenir dans une é tat de sant é satisfaisant. Facteur de risque (Epid é miologie) Caract é ristique associ é e de mani è re statistiquement significative à un é v é nement de sant é. La notion de facteurs de risques est utilis é e dans les é tudes relatives à la sant é, il s'agit d'un lien avec l' é tat de sant é sur lequel il est possible d'intervenir, d'avoir une action. Certains facteurs sont reconnus prot é ger contre le risque d'apparition de maladie. D é terminants de sant é (Sant é Publique) Caract é ristiques individuelles ou collectives susceptibles d ’ influer directement ou indirectement sur l ’é tat de sant é Les d é terminants sont des é l é ments qui exercent de fa ç on directe ou indirecte une influence positive ou n é gative sur l' é tat de sant é ou le bien être social. Si l'influence est n é gative, ils favorisent l'apparition de maladie. Si l'influence est positive, ils permettent à l'individu de se maintenir dans une é tat de sant é satisfaisant.
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On entend par « déterminants de la santé » les facteurs personnels, sociaux ou environnementaux qui ont une relation de causalité avec la santé des individus ou des populations.
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D é terminants de sant é Classification : Individuels / collectifs Inn é s / acquis Relevant de soins / sans relation avec les soins Typologie des d é terminants de sant é : Li é s à l ’ environnement Li é s aux comportements et habitudes de vie Li é s à la biologie humaine Li é s à l ’ organisation des soins Classification : Individuels / collectifs Inn é s / acquis Relevant de soins / sans relation avec les soins Typologie des d é terminants de sant é : Li é s à l ’ environnement Li é s aux comportements et habitudes de vie Li é s à la biologie humaine Li é s à l ’ organisation des soins
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Mortalit é attribuable à divers facteurs de risque
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Charge mondiale de morbidité liée à divers facteurs de risque Années de vie corrigées du facteur invalidité (AVCI)
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Environnement Facteurs ext é rieurs à la personne collectifs et acquis sur lesquels la personne exerce un contrôle r é duit Environnement physique Qualit é de l ’ air Qualit é de l ’ eau Environnement social Situation é conomique Contexte politique É ducation Niveau de revenu Logement Conditions de travail Facteurs ext é rieurs à la personne collectifs et acquis sur lesquels la personne exerce un contrôle r é duit Environnement physique Qualit é de l ’ air Qualit é de l ’ eau Environnement social Situation é conomique Contexte politique É ducation Niveau de revenu Logement Conditions de travail
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Environnement/qualit é de l ’ air Polluants atmosph é riques : trafic routier chauffage domestique activit é s industrielles pratiques agricoles sources naturelles ( é ruptions volcaniques) Polluants atmosph é riques : trafic routier chauffage domestique activit é s industrielles pratiques agricoles sources naturelles ( é ruptions volcaniques)
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Environnement/qualit é de l ’ air Polluants de l ’ air int é rieur: Entr é e de l ’ air ext é rieur É mission de polluants à l ’ int é rieur des locaux : Dispositifs de chauffage Produits m é nagers, d é tergents, solvants, peintures Contaminants biologiques (acariens) Surveillance de CO et radon CO 1 è re cause de mortalit é par inhalation 13% des cancers du poumon attribuables au radon Polluants de l ’ air int é rieur: Entr é e de l ’ air ext é rieur É mission de polluants à l ’ int é rieur des locaux : Dispositifs de chauffage Produits m é nagers, d é tergents, solvants, peintures Contaminants biologiques (acariens) Surveillance de CO et radon CO 1 è re cause de mortalit é par inhalation 13% des cancers du poumon attribuables au radon
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Environnement/qualit é de l ’ eau Qualit é de l ’ eau de consommation Surveillance (ARS et distributeur) physico-chimique (pesticides, nitrates) microbiologique (bact é ries traceuses) Les é pid é mies d ’ origine hydrique sont rares (en moyenne, 1 par an). La qualit é de l ’ eau de consommation est satisfaisante au regard des normes europ é ennes Qualit é de l ’ eau de consommation Surveillance (ARS et distributeur) physico-chimique (pesticides, nitrates) microbiologique (bact é ries traceuses) Les é pid é mies d ’ origine hydrique sont rares (en moyenne, 1 par an). La qualit é de l ’ eau de consommation est satisfaisante au regard des normes europ é ennes
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Environnement/qualit é de l ’ eau Qualit é de l ’ eau dans le milieu naturel (nappes phr é atiques, cours d ’ eau … ) La qualit é de l ’ eau dans le milieu naturelle se d é grade de fa ç on continue Mesures de protection : Protection des captages (30 000 captages en France). Limitation des rejets polluants Qualit é de l ’ eau dans le milieu naturel (nappes phr é atiques, cours d ’ eau … ) La qualit é de l ’ eau dans le milieu naturelle se d é grade de fa ç on continue Mesures de protection : Protection des captages (30 000 captages en France). Limitation des rejets polluants
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Environnement social sens de la causalité ? Interprétation?
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Gradient social de sant é Conditions de travail risques professionnels p é nibilit é v é cu du travail (stress, autonomie d é cisionnelle) instabilit é des parcours professionnels, horaires Habitudes de vie recours à la pr é vention, aux soins comportements (tabac, alcool, alimentation, conduite automobile … ) Lien entre é tat de sant é et cat é gorie sociale s é lection sociale par la sant é Conditions de vie pendant l ’ enfance effets à long terme des conditions de vie de l ’ enfance comportements h é rit é s Conditions de travail risques professionnels p é nibilit é v é cu du travail (stress, autonomie d é cisionnelle) instabilit é des parcours professionnels, horaires Habitudes de vie recours à la pr é vention, aux soins comportements (tabac, alcool, alimentation, conduite automobile … ) Lien entre é tat de sant é et cat é gorie sociale s é lection sociale par la sant é Conditions de vie pendant l ’ enfance effets à long terme des conditions de vie de l ’ enfance comportements h é rit é s
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D é terminants biologiques Recherche biom é dicale +++ Facteurs essentiellement individuels et inn é s La personne n ’ exerce qu ’ un contrôle r é duit Patrimoine g é n é tique individuel Physiologie Exemples : diab è te insulino-d é pendant, cancers, pathologies psychiatriques Recherche biom é dicale +++ Facteurs essentiellement individuels et inn é s La personne n ’ exerce qu ’ un contrôle r é duit Patrimoine g é n é tique individuel Physiologie Exemples : diab è te insulino-d é pendant, cancers, pathologies psychiatriques
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D é terminants li é s aux habitudes de vie D é cisions prises par l ’ individu qui ont des r é percussions sur leur sant é (ou celle de leurs proches) Facteurs individuels et acquis sur lesquels l ’ action n ’ est possible que par la volont é de l ’ individu D é cision prise d é lib é r é ment par l ’ individu mais tr è s d é pendante de l ’ environnement social D é cisions prises par l ’ individu qui ont des r é percussions sur leur sant é (ou celle de leurs proches) Facteurs individuels et acquis sur lesquels l ’ action n ’ est possible que par la volont é de l ’ individu D é cision prise d é lib é r é ment par l ’ individu mais tr è s d é pendante de l ’ environnement social
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D é terminants li é s aux habitudes de vie Comportements à risque Consommation de tabac, alcool, drogues illicites Violence Prises de risques sexuels Contrôle de facteurs de risque requ é rant la participation active des sujets Exercice physique Nutrition Pr é vention (vaccination, d é pistage) Comportements à risque Consommation de tabac, alcool, drogues illicites Violence Prises de risques sexuels Contrôle de facteurs de risque requ é rant la participation active des sujets Exercice physique Nutrition Pr é vention (vaccination, d é pistage)
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Tabac 18-75 ans : 1/3 fumeurs (29% quotidien, 5% occasionnel) 31% des fumeurs pr é sentent des signes de d é pendance, 18% des signes de d é pendance forte au tabac (plus fr é quent chez les hommes) 40% des adolescents ont consomm é au cours des 30 derniers jours Les jeunes ayant exp é riment é cigarette l ’ ont fait en moyenne à 13 ans 18-75 ans : 1/3 fumeurs (29% quotidien, 5% occasionnel) 31% des fumeurs pr é sentent des signes de d é pendance, 18% des signes de d é pendance forte au tabac (plus fr é quent chez les hommes) 40% des adolescents ont consomm é au cours des 30 derniers jours Les jeunes ayant exp é riment é cigarette l ’ ont fait en moyenne à 13 ans
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Tabac
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Tabac augmente pression art é rielle, fr é quence cardiaque, d é t é riore art è res. Incidence Infarctus du myocarde doubl é e par le tabac Bronchite chronique, cancer Augmente la secr é tions des acides gastriques Enfants: mort subite, asthme, otites Tabac augmente pression art é rielle, fr é quence cardiaque, d é t é riore art è res. Incidence Infarctus du myocarde doubl é e par le tabac Bronchite chronique, cancer Augmente la secr é tions des acides gastriques Enfants: mort subite, asthme, otites
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Tabac 30% de la mortalit é pr é matur é e (cancers, pathologies cardiovasculaire, respiratoire) 60 600 d é c è s attribuable au tabac Baisse de la mortalit é chez les hommes augmentation chez les femmes 2500 à 3000 d é c è s par an li é s au tabagisme passif (cancers, cardiovasculaire) 30% de la mortalit é pr é matur é e (cancers, pathologies cardiovasculaire, respiratoire) 60 600 d é c è s attribuable au tabac Baisse de la mortalit é chez les hommes augmentation chez les femmes 2500 à 3000 d é c è s par an li é s au tabagisme passif (cancers, cardiovasculaire)
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Pr é vention Augmentation du Prix Information et sensibilisation Interdictions Vente à mineurs Promotions autour du tabac Interdiction de fumer dans les lieux publics Aide au sevrage Prise en charge partielle des substituts nicotiniques par l ’ assurance maladie Tabac info service Convention de l ’ oms pour la lutte antitabac Affirme l ’ importance des strat é gies visant à r é duire la demande et l ’ offre Augmentation du Prix Information et sensibilisation Interdictions Vente à mineurs Promotions autour du tabac Interdiction de fumer dans les lieux publics Aide au sevrage Prise en charge partielle des substituts nicotiniques par l ’ assurance maladie Tabac info service Convention de l ’ oms pour la lutte antitabac Affirme l ’ importance des strat é gies visant à r é duire la demande et l ’ offre
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Alcool Mortalit é pr é matur é e, cancers (bouche, oropharynx, larynx, œ sophage, colon, rectum, foie et sein), cirrhose, accidents, violence, psychiatrie 1/3 des adultes ont une consommation à risque: (3/4 alcoolisations ponctuelles, ¼ chroniques) Les alcool é mies routi è res diminuent mais pas le nombre d ’ accidents mortels li é s à l ’ alcool 125 000prises en charge maladie alcoolique 108 000 s é jours pour troubles neuropsychatriques (60%<24h ivresse aigue) Au total 1.3 M hospitalisations attribuables aux cons é quences de l ’ alcool sur la sant é Mortalit é pr é matur é e, cancers (bouche, oropharynx, larynx, œ sophage, colon, rectum, foie et sein), cirrhose, accidents, violence, psychiatrie 1/3 des adultes ont une consommation à risque: (3/4 alcoolisations ponctuelles, ¼ chroniques) Les alcool é mies routi è res diminuent mais pas le nombre d ’ accidents mortels li é s à l ’ alcool 125 000prises en charge maladie alcoolique 108 000 s é jours pour troubles neuropsychatriques (60%<24h ivresse aigue) Au total 1.3 M hospitalisations attribuables aux cons é quences de l ’ alcool sur la sant é
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Alcool Mortalit é attribuable à l ’ alcool : 45 000 morts/an (2 è me cause de mortalit é é vitable apr è s le tabac) Population masculine 30%> à moyenne europ é enne Mortalit é attribuable à l ’ alcool : 45 000 morts/an (2 è me cause de mortalit é é vitable apr è s le tabac) Population masculine 30%> à moyenne europ é enne
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Alcool : Pr é vention R é glementation, protection des mineurs, pr é vention des d é sordres li é s à l ’ ivresse publique Loi Evin : protection des mineurs <16ans, interdiction de vente dans les lieux sportifs, interdiction de publicit é Code de la route contrôles, sanctions p é nales si alcool é mie >0.5g/l R é glementation, protection des mineurs, pr é vention des d é sordres li é s à l ’ ivresse publique Loi Evin : protection des mineurs <16ans, interdiction de vente dans les lieux sportifs, interdiction de publicit é Code de la route contrôles, sanctions p é nales si alcool é mie >0.5g/l
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Alcool : prise en charge Dispositif m é dical sp é cialis é Pr é vention, soin, accompagnement social Comit é s d é partementaux de pr é vention de l ’ alcoolisme, centres de cure ambulatoire en alcoologie (CCAA) -100 000 personnes par an Dispositif hospitalier : unit é d ’ alcoologie 5000 lits dont 1700 de post cure É quipes de liaison É quipes pluridisciplinaires se d é placent dans les services pour aider les malades ayant des probl è mes d ’ addiction Dispositif m é dical sp é cialis é Pr é vention, soin, accompagnement social Comit é s d é partementaux de pr é vention de l ’ alcoolisme, centres de cure ambulatoire en alcoologie (CCAA) -100 000 personnes par an Dispositif hospitalier : unit é d ’ alcoologie 5000 lits dont 1700 de post cure É quipes de liaison É quipes pluridisciplinaires se d é placent dans les services pour aider les malades ayant des probl è mes d ’ addiction
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D é terminants Nutritionnels Requi è rent participation des individus Maladies cardiovasculaires, m é taboliques, diab è te Ob é sit é (IMC >30) : 11 à 13% des adultes Surpoids (IMC entre 25 et 30) : 35% des hommes / 23% des femmes Surcharge pond é rale (IMC >25) : 14 à 20% des enfants (dont 4% ob è ses) Requi è rent participation des individus Maladies cardiovasculaires, m é taboliques, diab è te Ob é sit é (IMC >30) : 11 à 13% des adultes Surpoids (IMC entre 25 et 30) : 35% des hommes / 23% des femmes Surcharge pond é rale (IMC >25) : 14 à 20% des enfants (dont 4% ob è ses)
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Drogues illicites 30% des 15-64 ans ont d é j à essay é le cannabis, 8.6% sont des consommateurs actuels Popers (3.9% d ’ exp é rimentation), champignons hallucinog è nes (2.7%), cocaine (2.6% d ’ exp é rimentation) autres substances 2%. 30% des 15-64 ans ont d é j à essay é le cannabis, 8.6% sont des consommateurs actuels Popers (3.9% d ’ exp é rimentation), champignons hallucinog è nes (2.7%), cocaine (2.6% d ’ exp é rimentation) autres substances 2%.
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Drogues illicites Cannabis : cancers, doutes sur pathologies vasculaires et psychiatriques accidents Opiac é s, coca ï ne VIH, VHC, VHB Souvent polytoxicomanie Cannabis : cancers, doutes sur pathologies vasculaires et psychiatriques accidents Opiac é s, coca ï ne VIH, VHC, VHB Souvent polytoxicomanie
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Nutrition
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Outre la quantit é des apports caloriques, il existe aussi des disparit é s surla qualit é des aliments. La consommation r é guli è re de fruits et l é gumes et des apports mod é r é s en sel sont associ é s à un moindre risque de cancers, maladies cardiovasculaires, et diab è te. 81 % des hommes et 71 % des femmes avaient une consommation de fruits et de l é gumes ≤ 3/ jour. Consommation insuffisante de fruits et de l é gumes est plus fr é quente chez les jeunes et dans les r é gions du nord de la France. Outre la quantit é des apports caloriques, il existe aussi des disparit é s surla qualit é des aliments. La consommation r é guli è re de fruits et l é gumes et des apports mod é r é s en sel sont associ é s à un moindre risque de cancers, maladies cardiovasculaires, et diab è te. 81 % des hommes et 71 % des femmes avaient une consommation de fruits et de l é gumes ≤ 3/ jour. Consommation insuffisante de fruits et de l é gumes est plus fr é quente chez les jeunes et dans les r é gions du nord de la France.
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Activit é physique Maladies cardiovasculaires, cancers 25% des 15-74 ans font moins de 30 min d ’ activit é physique mod é r é e 5 fois par semaine Maladies cardiovasculaires, cancers 25% des 15-74 ans font moins de 30 min d ’ activit é physique mod é r é e 5 fois par semaine
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D é terminants : Organisation des soins Offre de soins : Quantit é d é mographie des professions de sant é é tablissements, lits, places é quipements lourds Qualit é soins primaires (1er recours) soins tertiaires (hautement sp é cialis é s) Accessibilit é physique é conomique sociale Efficacit é sur le plan clinique sur le plan fonctionnel sur le plan de la qualit é de vie co û t é conomique efficience Approche comptable : int è gre uniquement les co û ts directs et indirects des soins é quilibre à court terme des comptes du financeur des soins r é duit l ’ int é rêt collectif aux comptes du financeur des soins Approche é conomique : int è gre les co û ts directs et indirects des soins int è gre la valeur é conomique et sociale d ’ un allongement de l ’ esp é rance de vie. Offre de soins : Quantit é d é mographie des professions de sant é é tablissements, lits, places é quipements lourds Qualit é soins primaires (1er recours) soins tertiaires (hautement sp é cialis é s) Accessibilit é physique é conomique sociale Efficacit é sur le plan clinique sur le plan fonctionnel sur le plan de la qualit é de vie co û t é conomique efficience Approche comptable : int è gre uniquement les co û ts directs et indirects des soins é quilibre à court terme des comptes du financeur des soins r é duit l ’ int é rêt collectif aux comptes du financeur des soins Approche é conomique : int è gre les co û ts directs et indirects des soins int è gre la valeur é conomique et sociale d ’ un allongement de l ’ esp é rance de vie.
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Sources Brault N. Sant é, Soci é t é, Humanit é (Hachette) Jolivet A, Le L, KB Sant é Publique, (Vernazobres Greco) Tavolacci MP, Ladner J. Sant é Publique www.INSEE.fr www.INSEE.fr Livre des plans de sant é publique, (www.sant é.gouv.fr) Brault N. Sant é, Soci é t é, Humanit é (Hachette) Jolivet A, Le L, KB Sant é Publique, (Vernazobres Greco) Tavolacci MP, Ladner J. Sant é Publique www.INSEE.fr www.INSEE.fr Livre des plans de sant é publique, (www.sant é.gouv.fr)
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