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Publié parAlphonsine Smith Modifié depuis plus de 9 années
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Je n’ai plus que les os… de Pierre de Ronsard.
C’est un sonnet écrit par Ronsard, quelques temps avant que la maladie l’emporte en 1586. Ce que nous avons comprit de ce texte est que Ronsard parle de sa mort, rongé par la maladie, il dit donc adieu à ses amis. Nous avons choisit cette œuvre car nous trouvons toute les deux que c’est une belle façon d’annoncer sa mort. Même s’il utilise un vocabulaire assez barbare comme « Décharné , dénervé, démusclé, dépoulpé ». Ces mots ne choquent pas car cela reste très poétique et bien formulé.
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C’est l’un des plus importants poètes du XVI siècle
Pierre de Ronsard Pierre de Ronsard est né le 15 Septembre et est décède le 28 Décembre 1585. C’est l’un des plus importants poètes du XVI siècle
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Réactions Le poème a été bien réceptionné par les lecteurs à cette époque, bien qu’il soit un peu macabre. Nous sommes en accord avec le public d’autrefois, car ce poème morbide est quand même beau à lire et à écouté. Nous pensons aussi que c’est une belle preuve de l’acceptation de la mort.
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Comparaison Nous avons comparée cette œuvre de Ronsard à celle de Pontus de Tyard. Pontus est un écrivain et poète français né le 20 Avril 1521 et est décédé le 23 Septembre 1605.
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Comparaison Les œuvres de Pontus de Tyard et de Ronsard, sont tous deux des sonnets, qui parlent de la mort mais celle de Tyard est moins crû et les mots sont moins « charcutier ». Ils ont tous les deux, deux façons d’abordé la mort.
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Pontus de TYARD ( ) J'ai tant crié, ô douce Mort, renverse J'ai tant crié, ô douce Mort, renverse Avec ce corps mon grief tourment sous terre, Que je me sens presque finir la guerre De l'espérance à mon désir diverse. Vois, Dame, vois, que les pleurs que je verse, Et les soupirs ardents, que je déserre Hors de mon cœur, et le trait qui m'enferre, Veulent finir si dure controverse. Mes pleurs ont ja tant d'humeur attiré, Et mes soupirs tant d'ardeur respiré, Et tant de sang ce trait m'a fait répandre, Que sans humeur, chaleur, ou sang encore, Ce peu d'esprit qui m'est resté t'adore En ce corps sec, froid, pâle, et presque en cendres.
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