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Publié parOzanne Lang Modifié depuis plus de 9 années
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Carl Friedrich GAUSS
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Gauss naît le 30 avril 1777 à Brunswick dans une famille d’artisans. Enfant prodige, il apprend à lire et à compter dès l ’age de trois ans et à cet age, il corrige une erreur dans les comptes de son père. Gauss sait faire preuve d’un talent remarquable pour le calcul mental. Voulant occuper ses élèves, le professeur demande d’effectuer des additions, plus exactement d’effectuer la somme des nombres de 1 à 100. Après très peu de temps, le jeune Gauss, alors âgé de 10 ans, impressionne son professeur en donnant la réponse correcte. Sa technique consiste à regrouper astucieusement les termes extrêmes par deux. Sans le savoir encore, Gauss a découvert la formule permettant de calculer la somme des termes d’une série arithmétique. Il fait : 1 + 100 = 101, 2 + 99 = 101, 3 + 98 = 101 … 50 + 51 =101 soit 50 x 101 = 5050. Le duc de Brunswick se charge de subvenir aux frais de son éducation et l'envoie à l'université de Göttingen. Dès 1795, il énonce une conjecture sur la répartition des nombres premiers, qui ne sera démontrée qu'un siècle plus tard. L'année suivante, à 19 ans, il découvre le procédé de construction à la règle et au compas du polygone régulier de 17 côtés. En 1799, il soutient à l'université de Helmstedt sa thèse de doctorat, qui fournit une première démonstration rigoureuse du théorème fondamental de l'algèbre énoncé en 1629 par Albert Girard.La qualité de ses découvertes, la profondeur de ses idées, l'exigence de rigueur et le souci constant de perfection qui imprègnent son œuvre vaudront à Gauss le surnom de « prince des mathématiciens ». De retour à Brunswick, il publie, en 1801, Disquisitiones arithmeticae, un ouvrage consacré à la théorie des nombres, au style étonnamment moderne, qui consolide sa réputation. La même année, il se tourne vers la mécanique céleste. À la suite de la découverte, par le père Giuseppe Piazzi, astronome italien, de l’astéroïde Cérès, entrevu seulement pendant quelques jours, Gauss s'applique à en déterminer l'orbite. Il développe à cette fin la méthode des moindres carrés, qu'il ne révélera qu'en 1809 dans son ouvrage Theoria motus corporum coelestium. Guidé par ses calculs, son compatriote Wilhelm Olbers retrouve Cérès en 1802, à l'endroit prévu. Ce succès assure à Gauss une grande renommée et lui vaut d'être nommé, en 1807, professeur à l'université de Göttingen et directeur de l'observatoire de cette ville, fonctions qu'il conservera jusqu'à sa mort. SOURCE : Internet Wikipédia
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LES ŒUVRES Disquisitiones arithmeticae (publié en 1801) Recherches générales sur les surfaces courbes(1852) Le théorème fondamental de l'algèbre Méthode des moindres carrés : mémoires sur la combinaison des observations Recherches générales sur les surfaces courbes : Représentation conforme Theoria motus corporum coelestium
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Enigme: Quelle est la somme de 1+2+3+4+5+6+7+8+9+10+ 11+12+13+14+15+16+17+18+19+20 Bien sur sans calculatrice !
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REPONSE A L’ENIGME 21x20 = 420 420 : 2 = 210 | v POUR POUVEZ VOUS DIRIGER VERS LE PANNEAU 3 Carl Friedrich GAUSS
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