La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La dyspraxie… L'idée de cette présentation m'est venue il y a 4 mois en lisant le mémoire d'un étudiante ergothérapeute suisse, qui a traiter dans la première.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "La dyspraxie… L'idée de cette présentation m'est venue il y a 4 mois en lisant le mémoire d'un étudiante ergothérapeute suisse, qui a traiter dans la première."— Transcription de la présentation:

1 La dyspraxie… L'idée de cette présentation m'est venue il y a 4 mois en lisant le mémoire d'un étudiante ergothérapeute suisse, qui a traiter dans la première partie de son mémoire des différentes modèles de la dyspraxie, entre 1980 et 1995 environ. Je me suis par le suite intéressé aux quelques récents articles sur la dyspraxie, notamment au travers des actes du congrès de Montpellier de février 2005. L'objectif aujourd'hui est de vous proposer un survol historique de la conception du terme de "dyspraxie". Un tour d'horizon des modèles, des origines et des formes Gwenaëlle Lefévère - mai 2005

2 Introduction La dyspraxie… Est-ce une terminologie internationale ?
Y’a-t-il plusieurs modèles dédiés à la dyspraxie ? Ces modèles se recoupent-ils ? comment se situons nous au KB ? Il faut déjà commencé par s'intéressé au terme de DYSPRAXIE : est ce une terminologie internationale ? Quelle en est la traduction anglaise ? Est-ce une traduction littérale ? Quelles sont les sources officielles de référence ? Par la suite, on verra plusieurs modèles de la dyspraxie, chacun étant le fruit de recherches sur des populations d'enfants sélectionnés. On fera le tour des modèles les plus connus, dans les pays anglophones (US et canada) et en France Pour finir, j'essaierai de situer notre position au Kremlin, sous l'égide de Véronique Leroy Malherbe. Notre position évoluant et s'enrichissant à partir des recherches, des discussions avec d'autres professionnels de la dyspraxie (et il y en a peu), des lectures et surtout de notre expérience clinique.

3 Une question de terminologie
La dyspraxie est un concept assez récent, les premières études américaines datent des années 1930, et en France les premiers écrit datent des années 1960. On constate d'emblée qu'il n'y a pas encore de consensus entre les auteurs,à la fois en ce qui concerne la définition, les critères diagnostic, la ou les origines des symptômes et du coup les méthodes de rééducation. En ce qui concerne la terminologie, on comprend vite que les tableaux cliniques qui s'apparentent à la dyspraxie sont multiples et varient en fonction des populations d'enfant étudiées et des hypothèses initiales des auteurs Une question de terminologie

4 Une question de terminologie
Définition d’une praxie : C’est une coordination motrice volontaire, orientée vers un but, issue d’un apprentissage. Elle est régit par le processus cérébral suivant : conceptualisation (recours à l’imagerie mentale) de la tâche Planification (organisation séquentielle) de la tâche Exécution de la tâche De façon consensuelle, pour faire simple et schématique, on définira la PRAXIE comme étant : _______________________ La DYSPRAXIE étant un dysfonctionnement de ce processus. Dysfonctionnement en lien avec une lésion cérébrale (IMC) OU ALORS sans lésion cérébrale (on dira alors développementale)

5 Une question de terminologie
Les dénominations suivantes ont été utilisé pour exprimer les troubles praxiques : Neuropsycho adulte Neurologie du comportement Psycho de l’ Édu cation Psycho patho du dvlpment Débilité motrice apraxie Synd rome de l'hémi sphère mineur Déficit des capa cités non verbales dyspraxie Trouble d'acqui sition des coordi nations Clumsy children

6 Une question de terminologie
Différence de conception en fonction des populations étudiées Population étudiée Neuropsychologie adulte « clumsy Children » Enfants avec débilité motrice Appliquée à la Neuropsycho enfant On constate que plusieurs terminologies co-existent pour exprimer le même genre de symptômeS liés à un dysfonctionnement du processus de PRAXIE. Finalement, on observe que la terminologie varie CAR les populations d'enfants étudiés sont différentes, du fait des orientations théoriques initiales des chercheurs. Par exemple, les auteurs qui avaient une base théorique et pratique en lien avec la neuropsychologie de l'adulte avec lésion cérébrale (1/2plégie droite, sur lésion du cerveau gauche) ont tenté d'appliquer les modèles neuropsychologiques qu'ils connaissaient et qu'il pensaient retrouvé chez l'enfant qui présentait le même trouble praxique. Par contre, les auteurs qui ont étudié et connu d'emblée la population pédiatrique ont cherché à "inventer" des modèles expliquant les troubles praxiques les médecins et paramédicaux travaillant avec des populations d'enfants présentant surtout des troubles d'expression motrice se sont intéressé aux troubles du geste les médecins et paramédicaux travaillant avec des populations d'enfants présentant surtout des troubles du geste en lien avec l'organisation visuo- temporo-spatiale, ont développé des théorie sur cet aspect. Tous les auteurs parlent de DYSPRAXIE pour qualifier un trouble praxique, mais tous ne mettent pas la même signification derrière : trouble de l'exécution motrice ? Trouble du concept d'action ? Trouble de programmation d'action , avec ou sans lien avec l'espace d'action ?... VOYONS LES DIFFERENTS MODELES QUI CO-EXISTENT Dyspraxies étudiées Dyspraxie de l’IMC T.A.C Trouble des capacités non-verbales

7 Une question de terminologie
1937 ORTON emploi le terme de developmental apraxia et de Maladresse anormale 1972 AYRES emploi le terme de dyspraxie développementale et pose l’origine de la dyspraxie comme un trouble de l’intégration sensorielle 1985 CERMAK se base sur un modèle de neuropsy adulte et distingue le trouble de planification et le trouble d’exécution 1964 STAMBACK, Bergès et Ajuriaguerra emploient le terme de dyspraxie en rapport avec la conception Piagetienne de la construction de la pensée 1991 GERARD et DEGAS propose une classification en 3 types des dyspraxies Chronologiquement, on observe les évolutions suivantes en France et aux US :

8 Une question de terminologie
1994 le DSM 4 évoque les troubles d’acquisition des coordinations 1995 DEWEY pose l’hypothèse d’un déficit conceptuel de la connaissance du geste à accomplir 1995 MAZEAU s’appuie sur le modèle de la neuropsy adulte et étudie des enfants IMC et évoque les troubles praxiques constructifs et les troubles de la sériation temporelle 2005 On se rend compte que les anglosaxons ont plutôt étudié les troubles moteurs du geste, alors que les francophones se sont plutôt intéressés aux troubles de la construction de la pensée d’action

9 Une question de terminologie
Les anglophones semblent utiliser uniquement le terme DCD, « developmental coordination disorder » Les francophones font la différence entre les : - TAC (troubles d’acquisition des coordinations) traduction littérale de DCD - Dyspraxies (trouble de la conceptualisation et/ou trouble de la planification des tâches apprises, en lien ou non avec l'espace) parmi les dyspraxies, celles de l’IMC et celles des TSA, qui se rejoindraient dans la clinique

10 Une question de terminologie
Les références théoriques internationalement reconnues sont celles du DSM 4 (de l’APA) et de la CIM 10 (de l’OMS), elles évoquent plutôt les DCD. Les études internationales sur l’incidence et le ratio de la dyspraxie (assimilée à la DCD) indiquent : Incidence : entre 3% et 6% (en fonction de la population étudiée) Ratio : entre 2 et 8 garçons pour 1 fille (en fonction de la population étudiée)

11 Les modèles de la dyspraxie
INTERESSONS NOUS MAINTENANT A 6 MODELES DE DYSPRAXIE, AUX US ET EN FRANCE. Je rappelle que ces modèles peuvent être concomitant dans le temps, dans la mesure où les auteurs ne se connaissaient pas forcement, ne travaillaient pas ensemble, les recherches se sont donc effectuées séparément. Les modèles de la dyspraxie

12 Les modèles de la dyspraxie
Selon Jean Ayres Ergothérapeute et docteur en neurosciences, à partir de 1972 Elle pose l’hypothèse d’un trouble de l’intégration sensorielle comme origine de la dyspraxie (DCD) le problème de l'enfant dyspraxique se situerait soit : dans l'idéation (= conceptualisation) dans la planification d'un schéma d'action Elle définit l'intégration sensorielle comme : "la capacité à organiser les informations sensorielles pour les utiliser" (1972) et le "processus neurologique qui organise les sensations venant du corps propre et de l'environnement et qui permet d'utiliser au mieux son corps dans l'environnement. Les aspects spatiaux et temporels des entrées des diverses modalités sensorielles sont interprétées, associées, et unies. Le cerveau doit sélectionner, augmenter, inhiber, comparer, et associer l'information sensorielle dans un schéma flexible, changeant constamment; en d'autres termes, le cerveau doit l'intégrer" (1989). Pour Ayres, comme l’enfant dyspraxique a une intégration sensorielle déficiente, il n’est pas capable de se construire une « carte cognitive », c'est-à-dire qu'il ne peut se constituer une représentation mentale adéquate du monde qui l'entoure, car il n'a pas pu intégrer efficacement les informations nécessaires.

13 Les modèles de la dyspraxie
Selon Jean Ayres Dyspraxie Développementale trouble de planification motrice dysfonctionnement de l' I.S. La dyspraxie sur intégration bilatérale et sur les séquences d'actions planifiées (IBS) trouble de planification motrice La somatodyspraxie mauvaise intégration sensorielle au niveau des systèmes vestibulaire, proprioceptif et tactile La dyspraxie sur commande verbale dyspraxie du langage désorganisation visuo-spatiale trouble du regard Selon elle, seules les deux premières sont des dyspraxies développementales, c'est-à-dire un trouble de planification motrice dû à un dysfonctionnement de l'intégration sensorielle (I.S.). La dyspraxie IBS est un trouble de planification motrice sur base d'un processus sensoriel inefficace dans l'intégration des systèmes vestibulaire et proprioceptif. mauvaise coordination bilatérale difficultés dans les séquences. La somatodyspraxie est caractérisée par une mauvaise planification des mouvements d'anticipation une mauvaise planification des actions qui dépendent d'un feed-back sensitif. Il s'agit d'une mauvaise intégration sensorielle au niveau des systèmes vestibulaire, proprioceptif et tactile. La dyspraxie sur commande verbale est une dyspraxie du langage. L'enfant éprouve des difficultés à séquencer les mots pour parler comprendre les consignes, pour l'alimentation, par exemple pour mâcher. La désorganisation visuo-spatiale est un trouble du regard, sur une base sensori-motrice faible. C'est un trouble perceptif visuel.

14 Les modèles de la dyspraxie
Selon Sharon Cermak Ergothérapeute, à partir de 1985 Elle appuie son modèle de dyspraxie sur la classification de Roy et Square (1978) sur l’apraxie adulte : apraxie de conception apraxie de production Elle définit :

15 Les modèles de la dyspraxie
Selon Sharon Cermak un déficit de planification primaire lié à une perte de l’organisation conceptuelle de la séquence de mouvements qui compose le geste un déficit de planification secondaire à une désorientation spatiale qui rendrait le geste plus difficile à planifier dans l’espace un déficit d’exécution avec une incapacité à exécuter l’action planifiée en une séquence de mouvements cohérents

16 Les modèles de la dyspraxie
Selon Deborah Dewey Médecin neuropédiatre, à partir de 1995 Concernant le trouble dyspraxique, Elle pose l’hypothèse du déficit unique de la conceptualisation symbolique du geste. Elle fait alors le parallèle entre les troubles praxiques et les troubles phasiques dans leur rapport au concept (concept du geste / concept du mot) Pour Dewey (1995), la dyspraxie ne serait en rien due à des perturbations au niveau moteur ou perceptivo-moteur, mais serait uniquement un trouble de la conceptualisation symbolique du geste. Il s'exprime par un déficit dans l'élaboration : de gestes représentationnels (par exemple faire au revoir) de gestes non représentationnels (par exemple se tenir assis) des séquences de geste (par exemple s’habiller). Elle fait un lien entre les enfants dyspraxiques et les enfants dysphasiques, au niveau de leur "incapacité commune de conceptualisation symbolique", avec l'idée d'une étiologie similaire dans les troubles praxiques et ceux du langage. (Lussier, Flessas, 2001)

17 Les modèles de la dyspraxie
Selon Michèle Mazeau Médecin de rééducation fonctionnelle, à partir de 1995 Elle étudie la dyspraxie au travers de l’enfant porteur de lésions cérébrales précoces, en s’appuyant sur les modèles de la neuropsychologie adulte. Selon elle, la dyspraxie est liée à un déficit de la planification d'un schème d'action s'exprime par un trouble de l'exécution motrice Pour Michèle Mazeau (1995), neuropédiatre française, les praxies, ou fonctions practo-gnosiques, sont des fonctions cognitives élaborées qui permettent la planification et la pré-programmation de tous les gestes volontaires finalisés. La dyspraxie est pour elle un "trouble de la réalisation du geste, secondaire à l'impossibilité (ou l'anomalie) de programmer automatiquement et d'intégrer au niveau cérébral les divers constituants sensori-moteurs et spatiaux-temporels du geste volontaire" . L'enfant dyspraxique a donc des difficultés à gérer simultanément les informations de type sensori-moteur et celles caractéristiques à l'espace et au temps lui parvenant.

18 Les modèles de la dyspraxie
Selon Michèle Mazeau Constructive * Trouble de la sériation temporelle Visuo spatiale pure idéatoire idéomotrice habillage Déficit d'analyse spatiale de l'orientation des éléments Le sens du terme CONSTRUCTIF a évolué depuis l'utilisation qu'en a faite Michèle Mazeau : dans son idée (inspirée de la neuropsychologie de l'adulte apraxique), le terme de constructif signifiait CONSTRUIRE AVEC DES TRAITS, DES CUBES, DES BATONS à la façon des légos, mecanos, kapla… Depuis, le même terme a été utilisé dans un vision PLUS ELARGIE ou la notion de constructif s'étend à la CAPACITE DE PLANIFIER, DE PROGRAMMER, DE CONSTRUIRE MENTALEMENT UN PROGRAMME VISANT A REALISER UNE TACHE. Les autres dyspraxies évoquées par Mazeau (1995) sont non-constructives. Ces dyspraxies touchent les gestes, où la succession chronologique des actes est importante. Elles entravent la successivité et la séquentialité des étapes de réalisation du geste. La dyspraxie idéatoire est un "trouble de la manipulation d'objets et d'outils (...) alors même (...) que le sujet a les capacités intellectuelles et motrices de réaliser le geste, qu'il connaît l'objet à la fois dans sa forme et dans sa finalité". La dyspraxie idéomotrice "concerne les gestes symboliques et les mimes, en l'absence de manipulation d'objet". La dyspraxie de l'habillage entraînera une difficulté de l'enfant à orienter ses vêtements,il aura du mal à faire correspondre un vêtement à la bonne partie de son corps. Il risque de se tromper dans l'ordre d'enfilement des habits. Elle peut être ou non associée à une autre dyspraxie. Déficit d'organisation pour assembler des éléments les uns avec les autres conception de l'utilisation de l'objet = OK Utilisation de l'objet réel = 0 Trouble de la réalisation du geste symbolique Trouble dans l'orientation des vêtements et/ou dans l'ordre d'enfilage * Dans le sens construire avec des cubes, des traits…

19 Les modèles de la dyspraxie
Selon M. Degas et C-L. Gérard Médecins, à partir de 1991 Ils parlent de syndrome dyspraxique et évoquent un déficit du développement de l’action coordonnée et finalisée. Ils définissent 3 types de dyspraxies : Type 1 : trouble de la coordination motrice sans atteinte des structures de pensée Type 2 : trouble de la structuration de la pensée spatiale Type 3 : trouble du contrôle exécutif du geste

20 Les modèles de la dyspraxie
Selon Jean-Michel Albaret psychomotricien, à partir de 1999 Il a surtout étudié les enfants présentant des TAC, se rapprochant de la population étudiée aux US (DCD) Il définit 4 types de dyspraxie, versant TAC groupe 1 : tbles constructifs* + mvts alternatifs Groupe 2 : tbles constructifs + tbles du tonus + précision motrice Groupe 3 : tbles constructifs + précision motrice + dysgraphie Groupe 4 : tbles du tonus + mvts alternatifs + précision motrice La lenteur est présente chez tous les groupes * Dans le sens construire avec des cubes, des traits

21 Les modèles de la dyspraxie
Comparaison et résumé Processus hiérarchique d'une praxie 1. Concept ualisation 2. Programma tion du geste 3. Exécution du geste DYSFONCTIONNEMENT INITIAL conceptualisation planification exécution J. Ayres X S. Cermak D. Dewey M. Mazeau Degas Gérard x Albaret

22 Comment se situe t-on au Kremlin Bicêtre ?

23 Comment se situe t-on au KB ?
Il nous faut déjà : Réussir à comprendre les positions de chacun des auteurs précédents Comprendre que l’étude de la dyspraxie est en évolution constante, en fonction des enfants dépistés cliniquement, et suivis en rééducation Accepter de critiquer les modèles précédemment exposés, qui ne correspondent pas ou plus forcement à notre réalité de terrain EVOLUTION CONSTANTE : il faut bien comprendre qu'il n'y a pas encore de CONSENSUS en France, et encore moins de manière internationale, sur les différentes origines cognitives de la dyspraxies, sur les modèles de références et encore moins sur la rééducation. A l'inverse de la dyslexie pour qui on a établit 2 voies : assemblage et adressage, avec 2 types de rééducation correspondante, on ne retrouve pas pour la dyspraxie de façon claire 2 ou plusieurs voies avec des méthodes de rééducation balisée.

24 Comment se situe t-on au KB ?
Nous faisons la distinction clinique entre : les enfants présentant un TAC (Trouble d’Acquisition des Coordinations) Les enfants présentant une dyspraxie (trouble de conceptualisation et/ou de planification d’une tâche, en lien ou non avec l'espace)

25 Comment se situe t-on au KB ?
Évaluation de la dyspraxie : Elle est nécessairement pluri-disciplinaire médecin + neuropsy + psy + ergo + psychomot Le signe d’appel est souvent une plainte scolaire liée au graphisme et aux activités motrices (sport, découpage) ou spatiales (labyrinthe, quadrillage) Le diagnostic peut difficilement être posé avant 4ans (en l’état actuel de nos outils de dépistage clinique), car pour avoir un trouble d’acquisition des praxies, il faut avoir été confronté à l’apprentissage de praxies.

26 Comment se situe t-on au KB ?
À l’examen psychométrique, on retrouve souvent une dissociation de plus de 15 points entre les compétences verbales et non verbales au détriment de l’aspect non verbal

27 Comment se situe t-on au KB ?
Pour les enfants dyspraxiques, nous rencontrons surtout : Des troubles du concept Des troubles de la planification Trouble d’accès à l’imagerie mentale Trouble d’organisation des informations Zones pariétales Zones pré-frontales Concept gestuel Concept Visuo-spatial Planif. gestuelle Planif. Visuo-spatiale Dyspraxie gestuelle Dyspraxie Visuo-spatiale Dyspraxie gestuelle Dyspraxie constructive

28 Bibliographie Articles ou ouvrages généraux reprenant plusieurs modèles : C.-L. GERARD. Le concept de dypraxies. Les dyspraxies de l'enfant, éditions Masson, mars 2005. S. MENEGUIZZI, M. BARBEAU. Aspects cognitifs des dyspraxies. Les dyspraxies de l'enfant, éditions Masson, 2005. M. MAZEAU. Dyspraxies : répercussions sur les apprentissages scolaires. , actes du symposium sur les dysfonctions non verbales, Montréal, novembre 2004 J. FLESSAS, F. LUSSIER, Neuropsychologie de l'enfant, troubles développementaux et de l'apprentissage, Ed Dunod, 2001 Articles ou ouvrages spécifiques d'un modèle D. DEWEY. What is developmental dyspraxia ? brain and cognition, 1995. M. MAZEAU. Déficits visuo-spatiaux et dyspraxies de l'enfant, Masson, 1995. J.M ALBARET. Troubles de l'acquisition de la coordination : perspectives actuelles des dyspraxies de développement. Evolutions psychomotrices, vol 11, n°45, 1999. M. STAMBAK, D. L'HERITEAU, M. AUZIAS, J. BERGES, J. DE AJURIAGUERRA. Les dyspraxies chez l'enfant, la psychiatrie de l'enfant, 1964. A.J. AYRES. Sensory Integration and learning disorders, Ed Western Psychological Services, 1978.

29 Gwenaëlle Lefévère - mai 2005
Merci de votre écoute Gwenaëlle Lefévère - mai 2005


Télécharger ppt "La dyspraxie… L'idée de cette présentation m'est venue il y a 4 mois en lisant le mémoire d'un étudiante ergothérapeute suisse, qui a traiter dans la première."

Présentations similaires


Annonces Google