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Publié parAlfonse Charrier Modifié depuis plus de 9 années
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MODIFICATIONS et INTERRUPTIONS Patrice MASSIP
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Modifications et interruptions Le traitement de la maladie dûe au VIH n’a cessé d’évoluer Grâce à la découverte de nouveaux produits À cause des avancées médico-scientifiques.
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Nous avons d’abord traité les SIDA avérés avec les monothérapies disponibles (essai Concorde) Puis nous avons, avec les bithérapies d’inhibiteurs nucléosidiques, ralenti l’évolution de la maladie (essai Delta) 1996, avec le début des trithérapies, enfin nous avons un traitement efficace
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Depuis 1996 Nous avons appris : Le Boost pour les IP La toxicité mitochondriale des NUC La lithiase rénale à l’Indinavir La diarrhée sous IP La toxicité hépatique de la Névirapine
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Depuis 1996 L’allergie parfois grave mais gérable à l’Abacavir, à la Névirapine Les lipodystrophies, hyper/atrophies Les syndromes métaboliques Les tubulopathies au Ténofovir L’ictère à l’Atazanavir L’éruption à l’Amprénavir
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En 1998 Nous avons cru à la possible éradication du virus grâce à un traitement précoce et puissant
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En 1999 La charge virale devait guider l’indication du traitement selon certains travaux
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En 2002 L’état clinique et le taux de CD4 deviennent les indicateurs essentiels
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Pendant longtemps, on a pensé qu’un traitement entrepris ne pouvait pas être arrêté
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On sait aujourd’hui Qu’un traitement commencé « trop tôt » peut être interrompu (essai Salto) Qu’il vaut mieux arrêter un traitement très mal suivi que de le poursuivre Que les arrêts de traitement brefs chez des patients en succès sont peut-être sans danger (essai Window en cours)
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On sait aujourd’hui Qu’un arrêt de traitement de 3 mois permet la ré-émergence d’un virus sauvage majoritaire chez un patient muté, en échec thérapeutique (60 %) Mais le bénéfice clinique et immunologique de cet arrêt n’a pas été retrouvé et cette pratique est dangereuse chez les patients évolués (CD4 < 200 ) malgré les résultats de l’essai Gigahart.
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Patients VIH et médecins VIH manquent de certitude ; chacun doit s’adapter Le médecin doit adapter le traitement au patient Le patient doit s’adapter au traitement prescrit par le médecin. La thérapeutique doit s’adapter aux nouvelles données validées.
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Synthèse Connaissance, compétence, essais. Confiance Franchise Transparence
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Quelles modifications ? Mise en route du traitement
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Quelles modifications ? Trithérapie conventionnelle 2 NUC + IP en succès vers un traitement plus facile ? Quels arguments?
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Quelles modifications ? Profil : patient lipodystrophique en difficulté avec sa morphologie
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Quelles modifications ? Patient non observant et en échec Modéré : 3000 à 10 000 copies Sévère : plus de 50 000 copies
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Quelles modifications ? Patient observant en échec Modéré Sévère
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Quelles modifications ? Patient dyslipidémique diabète
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Quelles modifications ? Patient qui veut arrêter son traitement
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Quelles modifications ? Modifications du traitement selon génotype
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Quelles modifications ? Dosage du médicament Échec, toxicité ou non observance
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