Chapitre 8 Cocci cocci pyogène inflammation supurative

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1 Chapitre 8 Cocci cocci pyogène inflammation supurative
G les staphylocoques les streptocoques G les méningocoques les gonocoques.

2 Staphylocoques

3 Caractères biologiques
Morphologie et coloration l’aspect de arrondis, groupés en “grappe de raisin”. 0.8um de diamètre G+. Caractères culturaux pigment non hydrosoluble

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7 Structure antigénique
La protéine A(SPA) à la surface de la paroi bactérienne. 90% des staphylocoques ont cet antigène. capable de réagir non spécifiquement avec les immunoglobulines G en se fixant sur leur fraction Fc. activités biologiques du complexe SPA-IgG la résistance à la phagocytose la stimulation de division cellulaire. Le polysaccharide A

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9 S.aureus S.épidermidis S.saprophyticu pigment doré blanc citron
Classification principaux caractères S.aureus S.épidermidis S.saprophyticu pigment doré blanc citron coagulase ＋ － － fermentation ＋ － － du mannitol α -hémolysine ＋ － － DNAse thermo- ＋ － － stable pathogénicité pathogène occasion non

10 Pathogénicité

11 La toxine épidermolytique ou exfoliatine
Substances pathogènes élaborées Coagulase Les hémolysines La leucocidine Les entérotoxines La toxine épidermolytique ou exfoliatine Toxine I du syndrome de choc toxique Les désoxyribonucléases thermostables

12 coaguler le plasma héparinisé La coagulase libre
analogue à la prothrombine formation des caillots endoveineux. La coagulase liée Agir directement sur le fibrinogène la formation d’une sorte de coque autour des germes résistants à la phagocytose et à la substance bactéricide. localisation des infections

13 Pouvoir pathogène Les infections agressives
caractérisées par des lésions suppuratives et nécrotiques le furoncle, l’anthrax (痈), le phlegmon, l’abcès chaud, abcès du foie, des reins, des poumons, les septicémies. Les infections toxiques intoxications alimentaires, les colites et entérocolites aiguës, le syndrome de la peau ébouillantée et TSS.

14 Immunité L’homme possède une immunité naturelle. Cet état immunitaire n’est guère modifié après une infection, même grave. Les réchutes les récidives et le passage à la chronicité sont fréquents．

15 Diagnostic bactériologique
prélèvements corrects l’examen microscopique la mise en culture pour isolement. faire l’identification la pigmentation, la coagulase, l'hémolysine, la désoxyribonucléase thermostable , la fermentation du mannitol.

16 Caractères biologiques
Streptocoques Caractères biologiques

17 Morphologie et coloration
Caractères culturaux aérobies-anaérobies facultatives. anaérobies obligatoires. exigences nutritives complexes. précipite au fond du tube Structures antigéniques nucléoprotéiques non spécifiques polysaccharidiques ou antigène C Antigènes protéiques le streptocoque A a M,T,R. et S.

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21 荚膜 细胞壁 蛋白质 多糖 肽聚糖 细胞膜 细胞质

22 Classification Selon le type hémolytique Streptococques-α hémolytiques Streptocoques - β hémolytiques fortement pathogènes pour l’homme. Streptocoques--γ Selon la structure antigénique antigène polysaccharide C groupes 90% des streptocoques pathogènes sont des streptocoques du groupe A Antigènes protéiques .

23 Streptocoques A Pathogénicité

24 Substances pathogènes
L’acide lipotéichoique (脂磷壁酸) Protéine M La hyaluronidase La streptokinase, SK La streptodornase, SD La streptolysine streptolysine O streptolysine S Exotoxine pyrogène

25 possède un pouvoir antigénique.
La streptolysine O possède un pouvoir antigénique. être inactivée de façon réversible par l’oxygène. Lors d’une infection une élevation du titre d’antistreptolysine O chez 90% des patients; un diagnostic de grande valeur utilisé pour le rhumatisme articulaire aigü et la glomérulonéphrite aiguëe.

26 streptocoque A Pouvoir pathogène

27 transmission gouttelettes de salive infections cutanées.
Les infections l’infection suppurative lymphangite amygdalite , fièvre puerpérale l’infection toxique scarlatine l’infection allergique le rhumatisme articulaire aigu, glomérulonéphrites aiguëes.

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29 Streptocoques B des septicémies des méningites néo-natales

30 Streptocoques D des germes opportunistes des infections urinaires,
des suppurations secondaires à des interventions urologiques ou digestives, des endocardites des septicémies.

31 Streptocoques α hémolytiques Ils vivent dans le nasopharynx, la cavité buccale, le tube digestif, les voies génitales des femmes. Certaines souches sont pathogènes pour l’homme. Ils sont responsables de la majorité des endocardites et des caries dentaires

32 Diagnostic bactériologique
Diagnostic direct examen microscopique culture sur la gélose au sang frais Diagnostic indirect Le test d’antistreptolysine O (ASLO test) Le titre chez les malades de la fièvre rhumatismale est d'environ 250 unités. Chez les malades actifs, le taux peut dépasser 400 unités

33 S.pneumoniae Pneumocoque.

34 Caractères biologiques
Morphologie et coloration diplocoques gram positif lancéolés encapsulés Caractères culturaux En culture, le germe perd facilement sa capsule et sa virulence Il exige des milieux nutritifs enrichis Sur la gélose au sang frais, petite zone hémolytique, (hémolyse verdâtre ou incomplète). semblable à la colonie du streptocoque α hémolytique

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37 pneumocoque streptocoque
α hémolytique fermentation du inuline ＋ － test bactéro- lytique biliaire ＋ －

38 Substances élaborées principales Capsule:
Pathogénicité Substances élaborées principales Capsule: Les bactéries en forme S sont pathogènes en forme R n'est pas pathogène. Pouvoir pathogène la pneumonie franche lobaire aiguë. un hôte normal de l’oropharynx chez l’hommepathogène lors d'une diminution des défenses immunitaires.

39 des cocci aérobies stricts les espèces pathogènes
Neisseria des cocci aérobies stricts immobiles gram négatif les espèces pathogènes N. méningitidis N. gonorrheae

40 Méningocoque Caractères biologiques

41 Morphologie et coloration
Dans les produits pathologiques, il se présente sous la forme d’un diplocoque Gram négatif, avec une face réniforme. Dans le liquide céphalo-rachidien, les germes sont en général peu nombreux, mais rarement intraleucocytaires. Dans les cultures plus âgées, une autolyse spontanée se produit.

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44 Caractères culturaux Il présente des exigences nutritives.
Le milieu usuel pour le cultiver contient du sang chauffé à plus de 80℃. “milieu chocolat”. Une atmosphère humide, enrichie en CO2 facilite la culture. Résistance Ce germe est très fragile. Il est très sensible à la chaleur, au froid, au séchage.

45 méningocoque Pathogénicité

46 la capsule des pili endotoxine. Pouvoir pathogène
Substances pathogènes la capsule des pili endotoxine. Pouvoir pathogène Source de contamination homme. La transmission voie aérienne. porteurs sains dans la phase épidémique plus de 50%. L’infection méningococcique des méningites cérébro-spinales épidémique en forme typiques, foudroyante, et septicémique chronique.

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48 méningocoque Diagnostic bactériologique

49 du liquid céphalorachidien du sang et des ecchymoses. les porteurs:
Prélèvement les malades: du liquid céphalorachidien du sang et des ecchymoses. les porteurs: les sécrétions rhinopharyngées l’encemencement le plus rapidement

50 Mise en évidence des antigènes
Examen microscopique A paritr du liquide céphal-rachidien, observer des germes intraleucocytaires, Mise en culture, isolement Mise en évidence des antigènes Technique de contre-immunoéléctrophorèse. La réaction d’agglutination SPA.

51 méningocoque Traitement prophylactique et curatif
immunisation active artificielle le vaccin de polyoside( A,C ) le médicament le pénicilline G ou l’ampicilline

52 Gonocoque La morphologie, la coloration,
Les caractères culturaux, la résistance analogues au méningocoque. Il fait partie des parasites stricts de l’organisme humain Les gonocoques virulents de pili IgA protéase

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54 agent de la blennorragie
Gonocoque agent de la blennorragie Blennorragie masculine une uréthrite antérieure aiguë Blennorragie féminine une uréthro-skenite, une cervicite, un salpingite une annexite une péritonite. redoutable par sa chronicité. la conjonctivité suppurée du nouveau-né.

55 Diagnostic bactériologique
Gonocoque Diagnostic bactériologique Echantillons La sécrétion purulente des voies urinaires et génitales. Examen au microscope Après la coloration, on peut observer les germes “en grain de café intrapolynucléaires. Mise en culture d’isolement