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SIO SISR2 : Conception des Infrastructures Réseaux

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Présentation au sujet: "SIO SISR2 : Conception des Infrastructures Réseaux"— Transcription de la présentation:

1 SIO SISR2 : Conception des Infrastructures Réseaux
Chapitre 1 : Les sous réseaux à masques variables

2 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

3 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

4 Limite des sous réseaux
Voici le synoptique du réseau de l'entreprise SSRV : Le réseau /24 doit être divisé en 6 sous-réseaux  3 pour le bâtiment A, 2 pour le bâtiment B et 1 pour la liaison WAN .

5 Limite des sous réseaux
Combien de machines peuvent-elles être adressées dans chaque réseau ? On constate déjà un gaspillage d'adresses, car 2 sous réseaux vont être inutilisés. .

6 Limite des sous réseaux
On constate alors que des adresses vont être encore gaspillées dans certains sous réseaux, notamment la liaison WAN. A l'inverse, certains réseaux sont sous dimensionnés, puisqu'ils ont besoin de 50 adresses, et que le sous réseau calculé ne peut en offrir que 30. .

7 Limite des sous réseaux
L'idéal serait de pouvoir adapter la dimension des réseaux au plus près des besoins. Les réseaux doivent (et peuvent) avoir des tailles variables .

8 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

9 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

10 Les réseaux à masque variable et le routage
Jusqu'au milieu des années 90, la séparation des adresses réservées aux usages privés et des adresses publiques n'existait pas encore. Cela signifie que tous les postes connectés aux réseaux publics nécessitaient une adresse publique.

11 Les réseaux à masque variable et le routage
Les protocoles de routage classful Comme RIPv1 ne transmettaient pas les masques de sous-réseau dans leurs mises à jour dynamiques de routage. Les routeurs appliquaient alors le même masque pour tous les sous réseaux.

12 Les réseaux à masque variable et le routage
Cela induisait que tous les sous-réseaux d'un même réseau IP devaient avoir le même masque, et donc être de même taille. Les sous-réseaux ne pouvaient pas être sous-divisés eux-mêmes.

13 Les réseaux à masque variable et le routage
Techniquement, ces limitations ont disparus sur tous les matériels actuels. Les protocoles de routage dynamique comme RIPv2 et OSPF, sont des protocoles classless, c'est-à-dire que les adresses IP voyagent avec leur masque.

14 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

15 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

16 Une histoire d'économies d'adresses
Dès le début des années 90, alors même qu'Internet est encore inconnu du grand public, la question du manque d'adresses s'impose à IPv4. Plusieurs technologiques ont permis de réaliser, très tôt, des économies d'adresses IPv4. .

17 Une histoire d'économies d'adresses
– Les sous réseaux – Le VLSM & la notation CIDR (1993, RFC 1519) – NAT (Network Address Translation) (1994, RFC 1631) – Adressage privé (1996, RFC 1918) .

18 Une histoire d'économies d'adresses
– Les sous réseaux – Le VLSM & la notation CIDR (1993, RFC 1519) – NAT (Network Address Translation) (1994, RFC 1631) – Adressage privé (1996, RFC 1918) .

19 Une histoire d'économies d'adresses
NAT et adressage privé ont déjà été abordés voire étudiés. Le premier permet de distinguer les adresses utilisées au sein du réseau local et celles utilisées sur les réseaux publics. De ce fait, peu importe le plan d'adressage local puisqu'il n'est pas vu, en théorie, du public. Pour clarifier cette séparation du plan d'adressage privé et du plan d'adressage public, des adresses réservées aux usages privés ont été définies dans chaque classe d'adressage. .

20 Une histoire d'économies d'adresses
VLSM signifie Variable Length Subnet Mask, c'est-à-dire, masque de sous réseau à longueur variable. La notation CIDR (Classless Inter-Domain Routing) est la réponse apportée à la question : comment faire voyager les masques avec les adresses à masques variables (VLSM), sans gaspiller trop de banque passante ? .

21 Une histoire d'économies d'adresses
La réponse a été de fournir le masque non dans son écriture développée sur 4 octets, mais juste en indiquant le nombre de bits de la net-id. Comme la valeur maximale à émettre est 32, 5 bits peuvent suffire, ce qui représente une réelle économie. Reste aux protocoles de routage dynamique de s'adapter, ce qui fut le cas de RIPv2 en 1993, et d'OSPFv2 en 1997. A noter qu'il existe une version OSPFv3 (1999), adaptée à IPv6. .

22 Une histoire d'économies d'adresses
La notation CIDR deux avantages, le premier étant de permettre d'exploiter les réseaux à masque variable, ou pour le dire autrement, de créer des sous réseaux dans les sous réseaux. Le deuxième, qui a donné le surnom de hypernet à cette écriture, est sa capacité intrinsèque à écrire des masques de sur réseau, ce qui simplifie les écritures de règles de routage et donc allège considérablement les échanges de tables de routages par les protocoles dynamiques. .

23 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

24 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

25 Recenser les besoins Il faut avoir une vision claire des besoins de chaque sous réseau, terme d'adresses IP à fournir : Liaison WAN : 2 adresses IP. Bâtiment A : 3 blocs de 25 adresses IP. Bâtiment B : 2 blocs de 50 adresses IP. .

26 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

27 Trouver les masques Il s'agit de trouver le masque le plus restrictif pour fournir les adresses demandées, en limitant donc au maximum les adresses gaspillées. .

28 Trouver les masques . Pour la liaison WAN : Il faut 2 adresses :
avec 2 bits, on peut créer 22 – 2 = 2 hosts, c'est parfait ! Le masque à appliquer à ce sous réseau est donc de 32 – 2 = 30 bits .

29 Trouver les masques . Pour le bâtiment A : Il faut 25 adresses :
avec 4 bits, on peut créer 24 – 2 = 14 hosts, insuffisant ! avec 5 bits, on peut créer 25 – 2 = 30 hosts, c'est suffisant ! Le masque à appliquer à ce sous réseau est donc de 32 – 5 = 27 bits .

30 Trouver les masques . Pour le bâtiment B : Il faut 50 adresses :
avec 5 bits, on peut créer 25 – 2 = 30 hosts, insuffisant ! avec 6 bits, on peut créer 26 – 2 = 62 hosts, c'est suffisant ! Le masque à appliquer à ce sous réseau est donc de 32 – 6 = 26 bits .

31 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

32 Sommaire . Limite des sous réseaux.
Les réseaux à masque variable et le routage. Une histoire d'économies d'adresses. Recenser les besoins. Trouver les masques. Appliquer méthodiquement les sous réseaux aux sous réseaux. .

33 Trouver les masques . Il faut servir les plus gourmands en premier
on commence par les sous réseaux les plus grands .

34 Trouver les masques . L'adresse et le masque de départ sont :
Il faut appliquer un masque de 26 bits, pour créer les sous réseaux du bâtiment B : On peut alors attribuer directement deux sous réseaux pour le bâtiment B : Il faut appliquer un masque de 27 bits, sur les sous réseaux restant, pour créer les sous réseaux du bâtiment A : On peut alors attribuer directement trois sous réseaux pour le bâtiment A : Enfin, il faut créer les sous réseau de masque 30 bits, sur le sous réseau restant, pour créer le sous réseau de la liaison WAN : L'un d'eux est réservé pour la liaison WAN, les autres ne sont pas utilisés. .

35 Résultat Il y a des adresses libres à partir du réseau .

36 Résultat Comme on peut le voir, les réseaux sont « collés » les uns aux autres et on optimise les adresses . .

37 Fin


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