Les échanges de résultats de biologie autour du

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1 Les échanges de résultats de biologie autour du
Dossier Médical Personnel Emmanuel Cordonnier : co-chair IHE France, co-chair DICOM Standards Ctee The French for “Personal Health Record” is “Dossier Médical Personnel”, so a PHR in France is called a DMP. Actually it’s THE DMP. The national PHR project prepared by a series of laws and decrees modifying healthcare management policies over the past four years (Among others, a decree enabling the digital signature, another one opening the path to establish a national healthcare identifier). The PHR is leveraging the smart-card based national PKI set up in the nineties to support the reimbursement workflow between care providers and the Social Security

2 Besoins des biologistes autour du DMP
Maintien de l’envoi direct des comptes-rendus d’analyses au médecin prescripteur Envoi des CR au DMP directement par le biologiste (pour les patients ayant un DMP et n’ayant pas refusé que le CR y soit envoyé) Maintien d’un traitement par lots avec gestion des avis de remise pour détection de problème et fourniture de preuve Accès au DMP (contexte clinique) pour certains examens dans le cas de contexte clinique complexe et sous réserve de non refus du patient

3 Définition du DMP (Dossier médical personnel)
Dossier patient « patient », complémentaire aux dossiers patients « métier » des professionnels de santé (LGC, SIH, SIL, SIR…) Vocation (à terme) à contenir en permanence la synthèse clinique sur le patient Accessible et « contrôlé par le patient » (droits) Formé d’une base de documents médicaux, d’un « volet patient » et d’un « espace privé » Alimenté/accessible à partir des dossiers métier Géré par un « hébergeur de données de santé »

4 Accès au DMP, évolution 2006 ? Aucune donnée de santé sur le portail
Patient 3) Consulte le contenu librement, renseigne l’espace “patient”, masque des documents Hébergeur de référence 1) Identification, Authentication 2) . Choisit son hébergeur, ouvre son DMP, le configure (autorisations SAMU et historique rembt). Délivre les autorisations d’accès nominatives à des PS Connexion au DMP du patient (jeton + Ajout ou consultation de contenu  DMP Portail web unique (CDC) Hébergeur agréé Ident + authentication (CPS avec certificat X509) Id patient (NIR ou NIS) Consentement déclaratif  DMP Copie annuaire des PS (ADELI) Annuaire des DMP / hébergeurs Professionnel de santé Jeton SAML Hébergeur agréé DMP

5 Protocoles d’échange IHE XD*
IHE (Integrating the Healthcare Enterprise) est une initiative complémentaire aux standards (HL7, DICOM, Internet…) définissant des « profils d’intégration » orientés « utilisateurs » Lancée aux US en 1998, l’initiative a démarré en France en 2001 puis s’est étendue en Europe (Allemagne, GB…) Au delà des « domaine » de la « radiologie » et du « laboratoires », domaine « IT Infrastructure » commun Définition en 2004 d’un profil sur le « partage de documents médicaux entre structures de santé » XDS Définition en 2006 de profils d’ « échange de documents médicaux entre structures de santé » par message sécurisé et media XDR et XDM

6 Approche « enveloppe patient »
Le document est la forme intermédiaire permettant de gérer le lien entre les informations non structurées (lettres, comptes-rendus dictés…) et celles gérées au sein de base de données (LGC, SIH, SIL…) Une approche « enveloppe » centrée sur le patient permet de gérer les échanges et le partage de tels documents, avec une mise en œuvre aisée et de manière structurante

7 EDISanté GT11 « MMF/MXF » Note texte ou message encodé en ASCII (HL7…)
.txt Lettre ou compte-rendu avec mise en forme .rtf Document structuré [avec fichiers inclus] (CDA…) .xml Fichiers annexes, utilisés par les documents (XSLT…) Planche d’images médicales (DICOM) Commentaire vocal ou signal médical Entête d’enveloppe : identité patient, description documents, auteur, émetteur, destinataire… John Smith 12/30/1957

8 Cross-Enterprise Document Sharing (XDS)
En complément des dossiers patients et des applications « métier » au sein des structures (établissement, PS)… et afin d’assurer une meilleure continuité des soins… XDS définit un service de partage de documents médicaux « centré patient » appelé dossier partagé (ou longitudinal)

9 XDS : principes Un seul serveur d’index de documents stockés au sein d’un / plusieurs entrepôts Structuration de l’index (meta-données) mais « neutralité » vis à vis du contenu des documents La soumission et la récupération de documents est réalisé au sein d’applications « métier »

10 XDS : architecture Recherche de documents par critères (patientID)
Accès par Web à des documents pour un patient, par son identifiant et des critères sur les documents (inter établissements). Alimentation par « enveloppe ». Recherche de documents par critères (patientID) Registre d’index des documents Web services Accès au document (documentID) Entrepôt de documents Web Alimentation par enveloppe de documents d’un patient Web service ou messagerie sécurisée

11 XDS : standards utilisés
ebXML Registry Services Alimentation par Web Services sur HTTP en synchrone ou messagerie sécurisée (ebXML messaging services) en asynchrone Méta-données « étiquettes » basées sur HL7 CDA (document clinique) Consultation en synchrone (HTTP) sur critères exprimés en XML, pour UN patient seulement

12 XDS : méta données documents
Patient : identifiant « partagé », identité (identifiant et nom…) « vue de la source » Origine : (auteur, institution, vérificateur) Identification : (ID index, URL entrepôt, identifiant unique, dates création et début et fin acte médical, titre, taille, hash, status, document auquel il est associé) Classification : (classe, type, format, type MIME, type et spécialité institution et auteur, codes médicaux, niveau de confidentialité)

13 L’échange de documents (XDR, XDM)
Le succès d’XDS a contribué à mobiliser les acteurs utilisateurs et fournisseurs autour de la notion de partage de documents médicaux gérés par les dossiers patients Mais aussi fait prendre conscience de l’intérêt de solutions d’échange de documents, plus faciles à mettre en place à court terme (organisation, sécurité…)

14 Fonctionnement XDR/XDM
Généraliste Communication spécialiste - MG Spécialiste, Radio ou Labo Echanges ville hôpital Demande d’avis Transfert de patient Hôpital / urgence Dossier personnel (PHR) vers urgence ou dossier de professionnel (EMR) Etablissement Soins intensifs vers soins de suite (ECF)

15 Cross-Enterprise Document Reliable/Media interchange XDR/XDM
Communication point à point de documents complémentaire au partage (XDS) 2 types de transports : XDR & XDM media Comme XDS, indépendant du contenu Réutilisation maximale des objets et méta-données d’XDS Compatible avec les échanges d’images (IHE PDI, DICOM …) Adapté à tous les profils “contenu” d’XDS

16 Message de base XDR (= messagerie sécurisée)
Protocol encapsulation in SMTP/ESMTP SOAP with MIME attachments (multipart/related) text/xml SOAP:Envelope SOAP:Header, with Service=LifeCycleManager and Action=submitObjects SOAP:Body, with Manifest=list of attachments (e.g. ebXML Reg. Msg + Documents) ebMS text/xml SubmitObjectRequest (ebXML Registry Message) Meta-données Document 1 Part 3 Document n . . . Part n+2

17 Structure d’un media XDM

18 Conséquence pour la biologie
Possibilité d’envoi en une seule opération, par messagerie sécurisée, du compte rendu d’analyse au médecin prescripteur avec copie au DMP (si la patient le souhaite) Fonctionnement « par lots » possible les messages pouvant être préparés dans la journée et envoyés en « salve » le midi ou le soir Possibilité d’envoi de document Hprim Médecin dès le départ puis CDA quand disponible Réutilisation (selon les cas) des passerelles de messagerie sécurisée avec mise à jour Intégration possible dans le SIL (biologiste) et dans le LGC ou le SIH (médecins prescripteurs)

19 Documentation disponible sur :
The French for “Personal Health Record” is “Dossier Médical Personnel”, so a PHR in France is called a DMP. Actually it’s THE DMP. The national PHR project prepared by a series of laws and decrees modifying healthcare management policies over the past four years (Among others, a decree enabling the digital signature, another one opening the path to establish a national healthcare identifier). The PHR is leveraging the smart-card based national PKI set up in the nineties to support the reimbursement workflow between care providers and the Social Security