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Sécurité des opérations de transport - manutention

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Présentation au sujet: "Sécurité des opérations de transport - manutention"— Transcription de la présentation:

1 Sécurité des opérations de transport - manutention
Bonjour. Sylvie Prodon. Je suis chef de section logistique au sein du groupe d’installation TS-IC. Le mandat de ma section consiste à préparer, organiser et réaliser toutes les opérations de transport et de manutention pour les besoins des accélérateurs et des expériences. Cette présentation va détailler tous les moyens mis œuvre pour améliorer la sécurité des opérations de transport et de manutention. Sylvie Prodon / TS-IC

2 Comme le prouvent quelques exemples récents, en matière de sécurité, la partie n’est jamais gagnée. Mais il est de notre devoir de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour préserver tout d’abord la sécurité des personnes, puis celle du matériel.

3 Sommaire Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion
Ma présentation va tout d’abord rappeler les différents enjeux, puis les 4 axes de la stratégie : la préparation des opérations, la supervision sur le terrain, la compétence et la motivation du personnel et enfin le suivi tant du matériel que des actions entreprises.

4 Sommaire Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion

5 Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion Contexte
Nouvelle donne Objectifs Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion Tout d’abord les enjeux avec un rappel du contexte général, de la nouvelle donne en 2004 et des objectifs du projet.

6 Réorganisation des activités
Contexte Enjeux Contexte Nouvelle donne Objectifs Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion Phases d’installation du projet LHC : 2002 2003 2004 2005 2006 Services généraux QRL Machine La criticité des opérations de transport – manutention est liée à l’évolution du planning LHC et des expériences. Le niveau d’exigence augmente en effet à chaque phase d’installation. Ainsi, pour les services généraux, il s’agit principalement d’organisation, d’où la mise en place du formulaire EDH. Dans la phase QRL, il faut ajouter de la rigueur et un suivi strict des procédures, d’où la généralisation de l’établissement de modes opératoires. Enfin, la phase d’installation de la machine nécessite quant à elle encore plus de compétences techniques ainsi qu’une excellente fiabilité tant du matériel que du personnel, d’où cet accent sur la sécurité des opérations. Organisation Organisation Organisation Procédures Procédures Compétences & fiabilité Formulaire EDH Modes opératoires Réorganisation des activités

7 Nouvelle donne en 2004 Machine LHC Expériences
Enjeux Contexte Nouvelle donne Objectifs Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion Machine LHC Installation complexe avec des véhicules sophistiqués Nouveau planning plus serré Logistique de surface et en souterrain Flexibilité Fiabilité Expériences Montages complexes Pièces uniques de grande valeur Pas de droit à l’erreur On peut en effet tabler sur une nouvelle donne en Avec, pour la machine LHC, une installation complexe avec des véhicules de transport très sophistiqués et un nouveau planning beaucoup plus serré qui complique la logistique de surface et en souterrain et implique une très grande flexibilité ainsi qu’une excellente fiabilité. Côté expériences, les opérations complexes de montage s’enchaînent avec de nombreuses pièces uniques de grande valeur à manipuler pour lesquelles aucun droit à l’erreur n’est permis.

8 les opérations délicates
Objectifs Enjeux Contexte Nouvelle donne Objectifs Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion Préparer Organiser Documenter Superviser les opérations délicates Pour garantir une sécurité maximale Face à ces nouveaux défis, les objectifs en matière de sécurité consistent à préparer, organiser, documenter le superviser toutes les opérations délicates afin de garantir une sécurité maximale des personnes et du matériel.

9 Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion Procédures
Mode opératoire Niveau de risque Supervision Motivation Suivi Conclusion Afin de mener à bien cet objectif, le premier des 4 axes de la stratégie sécurité réside dans la préparation des opérations. Ceci passe par la rédaction de procédures de transport, l’établissement de modes opératoires et l’appréciation du niveau de risque

10 Procédures de transport
Enjeux Préparation Procédures Mode opératoire Niveau de risque Supervision Motivation Suivi Conclusion Chronologie Faisabilité technique : 6 mois à l’avance Organisation logistique : 3 mois à l’avance Mode opératoire : 1 mois à l’avance Demande EDH : 1 semaine à l’avance Méthodologie Attitude proactive Réunions préparatoires systématiques Suivi sur le Web et en réunion de section Des procédures de transport doivent être établies pour toutes les opérations délicates ou répétitives. Ces procédures sont basées sur les plannings d’installation avec les étapes suivantes : étude de faisabilité technique 6 mois avant le début des opérations pour valider la solution de manutention envisagée, puis un point sur l’organisation du chantier et la charge de travail environ 3 mois à l’avance. La préparation des opérations se termine par l’établissement d’un mode opératoire et la validation de la date de démarrage des travaux par la demande EDH. Ceci implique un suivi rigoureux au niveau de la section logistique. Tout d’abord par un positionnement adéquat et une attitude proactive afin de recueillir un maximum d’informations. Les différentes réunions préparatoires sont systématisées et leur résultat suivi en réunion hebdomadaire de section et publié sur le Web.

11 Modes opératoires Conditions Contenu Gestion Opérations planifiées
Enjeux Préparation Procédures Mode opératoire Niveau de risque Supervision Motivation Suivi Conclusion Conditions Opérations planifiées Valeur de l’équipement > 500 KCHF Risque élevé Opérations répétitives Contenu Contraintes de l’objet Moyens de manutention Chronologie des phases et aspects sécurité Gestion Sauvegarde et approbation dans EDMS Affichage et distribution à l’opérateur Le mode opératoire est le document de base pour l’exécution de la manutention. Il est préparé par le contractant sur la base des informations transmise par le demandeur et de la section logistique. Un mode opératoire est nécessaire dans les cas suivants : les opérations planifiées (il s’agit là d’une concrétisation du travail de préparation), les manutentions de matériel de valeur (plus de 500 KCHF), les opérations risquées et les opérations répétitives. Le mode opératoire contient principalement les données suivantes : les contraintes imposées par l’objet manutentionné (points d’accroche, inclinaison, accélération), les moyens de manutentions à mettre en œuvre (type d’élingage, palonnier, côtes d’approche et vitesse du pont roulant) et la chronologie des opérations ainsi que les précautions à prendre en terme de sécurité (périmètre de sécurité, test à vide, coefficients de sécurité sur le matériel). Une fois établis, les modes opératoires sont approuvés et sauvegardés dans EDMS puis affichés sur place et distribués à l’opérateur pour exécution.

12 Niveau de risque Paramètres Niveaux Niveau de préparation
Enjeux Préparation Procédures Mode opératoire Niveau de risque Supervision Motivation Suivi Conclusion Paramètres Niveau de préparation Difficultés techniques Risques liés à l’environnement Valeur et fragilité de l’objet Niveaux Très faible Faible Moyen Élevé Très élevé Un autre élément de sécurité lié à la préparation est l’appréciation du niveau de risque. Le niveau de risque d’une opération est déterminé en fonction de 4 paramètres : le niveau de préparation de l’opération, les difficultés techniques de la manœuvre, les risques liés à l’environnement tels que co-activités et la valeur et la fragilité de l’objet manutentionné. L’analyse de chaque opération aboutit à 5 niveaux de risque (de très faible à très élevé) qui se matérialisent concrètement par des pastilles de couleur apposées sur les bons d’intervention des opérateurs.

13 Niveau de risque Activités à risque
Enjeux Préparation Procédures Mode opératoire Niveau de risque Supervision Motivation Suivi Conclusion Activités à risque Déchargements de camions Interventions en dehors des heures Manutentions de pièces uniques et/ou de valeur Manœuvres de levée de personnes Opérations de retournement de pièces Précautions pour les opérations risquées Visite préalable du contremaître Établissement d’un mode opératoire Présence du contremaître durant l’opération Néanmoins, un certain nombre d’opérations sont considérées comme risquées par défaut : les déchargements de camions pour lesquels il est souvent nécessaire d’improviser, toutes les interventions en dehors des heures lorsqu’il n’y a pas d’équipe de supervision présente, les manutention de pièces uniques et/ou de grande valeur, toutes les opérations de levée de personnes à la grue ou au pont roulant et enfin les manœuvres de retournement de pièces. Liées à ce niveau de risque, des procédures particulières sont mises en place pour toutes les opérations risquées : la visite préalable sur place du contremaître, l’établissement d’un mode opératoire et la présence du contremaître durant les opérations.

14 Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion Encadrement
Inspections Motivation Suivi Conclusion Le 2ème axe d’amélioration de la sécurité est le renforcement de la supervision des opérations, que ce soit par une augmentation de l’effectif d’encadrement que par l’organisation d’inspections de sécurité.

15 Encadrement Renforcement de l’encadrement côté contractant
Enjeux Préparation Supervision Encadrement Inspections Motivation Suivi Conclusion Renforcement de l’encadrement côté contractant Début 2003 : 3 contremaîtres – 80 personnes Nov 2003 : 6 contremaîtres – 90 personnes Jan 2004 : 7 contremaîtres – 120 personnes Mai 2004 : 8 contremaîtres – 150 personnes Taux d’encadrement Depuis la fin de l’année dernière, l’accent est mis sur un renforcement de l’effectif du contractant pour une meilleure supervision des activités. L’effectif d’encadrement a ainsi été doublé en novembre 2003, passant de 3 à 6 contremaîtres. Puis un contremaître complémentaire en janvier 2004 pour couvrir la prise de charge des services généraux et enfin un autre contremaître dès ce mois-ci pour l’installation des aimants LHC. Le graphe ci-après montre l’évolution du taux d’encadrement dans le contrat de transport-manutention DBS, avec le nombre de personnes par contremaître. L’objectif est de rester autour de 20 personnes par contremaître.

16 Encadrement Renforcement de l’encadrement côté CERN
Enjeux Préparation Supervision Encadrement Inspections Motivation Suivi Conclusion Renforcement de l’encadrement côté CERN Début 2003 : 6 surveillants de travaux Début 2004 : 5 surveillants de travaux Mai 2004 : 7 surveillants de travaux Impact de la supervision CERN Nb incidents 2004 – site Meyrin : 0 Nb incidents 2004 – site Prévessin : 4 Effectif de supervision sur les 2 sites : Site Meyrin : 0.75 homme/année Site Prévessin : 0.25 homme/année L’amélioration de la sécurité des opérations passe par le renforcement de l’effectif de supervision CERN. Ceci se traduit par le recrutement de 2 surveillants de travaux ce mois-ci. S’il faut une preuve de l’importance de la supervision CERN pour la sécurité des opérations, il suffit de comparer le nombre d’incidents sur les sites de Meyrin et Prévessin depuis de début de l’année : aucun sur Meyrin contre 4 sur Prévessin, à ramener à l’effectif de supervision CERN d’un staff à 75 % de son temps sur Meyrin et d’un staff à 25 % de son temps sur Prévessin.

17 Inspections de sécurité
Enjeux Préparation Supervision Encadrement Inspections Motivation Suivi Conclusion Types d’inspections de sécurité Inspections croisées effectuées par le contractant Inspections communes Formation des staffs Points contrôlés Périmètre de sécurité Elingage et arrimage Adéquation des moyens Qualité technique Port des EPI Vérification du matériel La supervision des opérations se matérialise également par des inspections de sécurité. Certaines inspections sont effectuées directement par le contractant dans le cadre de son plan qualité. Ces inspections sont effectuées par les contremaîtres du contractant, de manière croisée, chacun sur la zone de l’autre. Des inspections communes sont mises en place. Elles se font à chaque niveau : surveillant de travaux / contremaître et responsable du contrat CERN / DBS. De plus, une formation spécifique inspection transport-manutention est prévue pour les staff CERN. Les principaux points contrôlés lors de ces inspections sont les suivants : le respect du périmètre de sécurité, l’adéquation de l’élingage et de l’arrimage, l’adéquation des moyens utilisés avec l’opération, la qualité technique d’exécution de l’opération, le port des équipements de protection individuels et la vérification du matériel.

18 Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion Tests
Reconnaissance Primes sécurité Suivi Conclusion Un autre point essentiel est la compétence et la motivation du personnel du contractant. Ceci passe par des tests de conduite pour vérifier les compétences mais également des efforts d’écoute et de reconnaissance ainsi que des primes sécurité pour susciter la motivation.

19 Tests de conduite Organisés par le département SC Types de tests
Enjeux Préparation Supervision Motivation Tests Reconnaissance Primes sécurité Suivi Conclusion Organisés par le département SC Types de tests Pratique Théorique Domaines Chariots élévateurs Ponts roulants Le contrôle des compétences du personnel du contractant s’effectue au travers de tests théoriques et pratiques organisés par le département SC. Ces tests sont effectués par un organisme habilité et concernent la conduite des chariots élévateurs et des ponts roulants.

20 Reconnaissance Surveillants de travaux Hiérarchie
Enjeux Préparation Supervision Motivation Tests Reconnaissance Primes sécurité Suivi Conclusion Surveillants de travaux Présence sur le terrain Conseils techniques & explications Hiérarchie Visites sur le terrain Écoute La motivation du personnel du contractant est un élément essentiel de sécurité. Une grande partie de cette motivation est du ressort du contractant, en particulier par l’ambiance à l’intérieur de l’entreprise. Néanmoins, côté CERN, nous avons également un rôle à jouer, principalement par une reconnaissance sur le terrain des compétences du personnel du contractant. Il est clair qu’une présence sur le terrain sur tous les chantiers des surveillants de travaux CERN permet au personnel du contractant de ne pas se sentir abandonné. De plus, les conseils techniques et les explications prodiguées permettent de les rassurer. Les attentes du personnel du contractant concernent également une présence sur le terrain de la hiérarchie, avec la possibilité d’expliquer leurs problèmes ou de faire des suggestions. Je sais par exemple qu’ils ont vraiment apprécié que je fasse avec eux un shift de nuit d’installation des QRL.

21 Primes sécurité Prime de base : 200 CHF/mois
Enjeux Préparation Supervision Motivation Tests Reconnaissance Primes sécurité Suivi Conclusion Prime de base : 200 CHF/mois Déduction accident léger : 50 % Pas de blessure physique Dégâts < 1’000 CHF Pas d’impact sur planning d’installation Déduction accident moyen : 100 % Blessure légère : moins de 3 jours d’arrêt Dégâts entre 1’000 CHF et 10’000 CHF Impact sur planning < 1 semaine Déduction accident grave : 300 % Déduction accident non déclaré : 500 % La motivation financière est bien évidemment un élément important et les indicateurs de performance du contrat ont été transformés en primes de sécurité pour le personnel. Avec une prime de base mensuelle qui subit des déductions pour toute l’équipe concernée en fonction de la gravité des accidents. Ces déductions vont de la moitié de la prime pour un accident léger à 3 mois de primes pour un accident grave. Une formule pénalisante de déduction de 5 mois de prime devrait permettre de limiter les accidents non déclarés.

22 Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion Analyses
Suivi qualité Matériel Conclusion Toutes les mesures décrites précédemment nécessitent un suivi qualité, qu’il s’agisse des analyses d’accident ou des inspections du matériel.

23 Analyse des accidents Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Analyses Suivi qualité Matériel Conclusion Objectif : éviter qu’un incident du même type ne se reproduise Documents établis Rapport interne d’accident préparé par le contractant Rapport d’accident code A2 Document d’analyse d’accident Chronologie des faits Analyse des causes Mesures préventives et correctives Base de données de suivi des assurances Il est clair que l’on ne peut pas toujours éviter les accidents. Mais il convient d’en tirer un maximum de leçons afin d’éviter qu’ils ne se reproduisent. Ceci passe par l’établissement d’un certain nombre de documents d’analyse et de synthèse : tout d’abord le rapport interne d’accident préparé par le contractant et le rapport d’accident code A2. Un document d’analyse d’accident est également établi et permet de mettre en évidence les causes et les mesures préventives et correctives à mettre en œuvre. Enfin, une base de données permet le suivi des dossiers d’assurance.

24 Suivi qualité Sources Méthodologie
Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Analyses Suivi qualité Matériel Conclusion Sources Recommandations des analyses d’accidents Non conformités observées lors des inspections de sécurité Problèmes rapportés par le contractant Méthodologie Établissement de fiches de non-conformité ou d’amélioration Suivi dans EDMS Envoi au responsable de l’action avec statut under approval Relances périodiques via EDMS Statut released une fois l’action terminée Toutes les recommandations issues des analyses d’accident font l’objet d’un suivi qualité, de même que les non-conformités observées lors des inspections de sécurité ou les problèmes rapportés par le contractant. Le système de suivi vient juste d’être mis en place et passe par la préparation de fiches de non-conformité ou d’amélioration qui sont envoyée via EDMS au responsable des actions. Le document ne passe en mode released qu’une fois l’action terminée.

25 Suivi du matériel Matériel de manutention fourni par le CERN
Conformité du matériel et inspections de sécurité Véhicules lourds : contrôle technique Ponts roulants Disparité Tests de charge non effectués Chariots élévateurs Non conformes car non présentés Palonniers Nombre important de palonniers non contrôlés Accessoires de manutention Pas de traçabilité des accessoires contrôlés Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Analyses Suivi qualité Matériel Conclusion Le matériel de manutention (véhicules, ponts roulants, palonniers, élingues) est fourni par le CERN. Si l’on exige un niveau de sécurité maximal au niveau du contractant, il est essentiel que le CERN de son côté soir irréprochable au niveau de la conformité du matériel fourni. Ainsi, pour les véhicules lourds, même si le CERN n’est pas assujetti au contrôle technique des véhicule, nous avons décider de le passer de manière volontaire.

26 Suivi du matériel Il est urgent d’agir
Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Analyses Suivi qualité Matériel Conclusion Inconsistance de la politique de sécurité Non conformité du matériel CERN à la législation en matière de vérification du matériel de levage Rigueur demandée au contractant en matière de sécurité (ex : vérification du matériel avant toute opération) Choix entre respect rigoureux de la législation et poursuite des opérations Responsabilité du CERN en cas d’accident grave Il est urgent d’agir

27 Conclusion Sécurité : priorité 2004 de la section
Enjeux Préparation Supervision Motivation Suivi Conclusion Sécurité : priorité 2004 de la section Différentes mesures commencent à porter leurs fruits Difficile de faire davantage à notre niveau Efforts internes à faire pour la conformité du matériel


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