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Publié parAriane Lelievre Modifié depuis plus de 9 années
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Aurélien MENDES Sous la direction de : Elemér NAGY Mossadek TALBY sTop en 3 corps Bruit de fond Modèle Standard Coupures de sélection Plots de contrôle Optimisation Recherche du sTop se désintégrant en trois corps dans le canal e
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Recherche du sTop SUSY 2 partenaires scalaires pour chacun des fermions(left,right) du M.S Masses des squark 1,2 obtenues en diagonalisant la matrice suivante ~ Piste la plus explor é e : d é sint é gration en 2 corps : t 1 b +. zones non exclues ne sont pas accessibles au TeVatron. ~ ~ Sinon t 1 bW 0 est dominant mais ~ Piste privilégiée : désintégration en 3 corps : ~ on se focalise sur le scénario d’échange de du sTop. peu de sensibilité pour D0-RunII. ~ t 1 peut-être le + l é ger de tous les squarks Si M ≤ M W alors le mode t 1 bl est dominant ~ ~ ~
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Point de d é part Sc é nario d é j à explor é durant LEPI, LEPII, et D0 RunI entra î nant les exclusions ci-dessous dans le plan naturel M stop vs. M sneutrino : Deux zones int é ressantes encore inexplor é es : - bas M(stop,snu) n é cessite coupures soft car les leptons et les jets sont tr è s mous. Point r é f é rence:110-80 (1) 1 2 - haut M(stop,snu) limité par la faible luminosité car les sections efficaces de production sont de + en + faibles. Point référence:145-50 (2)
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Mod è le SUSY choisi : Canal choisi : b b + e + MET __ Bruit de fond physique : Z (+jets) (+jets) e + (+jets) WW (+jets) e + (+jets) t t 2b + e + Bruit de fond instrumental : QCD W(+jets) Z(+jets) WZ (+jets) ZZ (+jets) W ou Z Simulation avec PYTHIA ou Alpgen+Pythia(TTbar). Sections efficaces NNLO ou NLO QCD d é duite à partir des donn é es. G é n é ration du signal avec Comphep+PYTHIA (25 points dont 2 points r é f é rence : 110-80 et 145-50). - MSSMavec R-parité conservée sparticules créées par paire qu’on désignera par QCDqu’on désignera par dibosons (avec le WW)
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Coupures de présélection sur les leptons 1 MU Medium, Central, !Cosmic+pT>12Gev Au moins 1 EM |ID|=10 or 11+ pT>12GeV Lead électron ne partage la trace d’aucun muon de l’événement Coupures de sélection pour l’analyse (=cut0) 1 MU Presel + TrackCone<2.5 + Halo<2.5 Au moins 1 EM Presel + emfrac>0.9, iso 0.5, + | det|<2.5 et hors de [1.1,1.5] + Chi2_Spatial>0.001 Triggers ont des conditions MU && EM MU_A_EM10 (v8 thru v11), MATX_EM6_L12, MATX_EM6_SHT7, MATX_2EM3_L12, MATX_2EM3_SHT7 (v12) MUEM1_LEL12, MUEM2_LEL12 MUEM1_SHT7, MUEM2_SHT7 (v13) Sélection: Runs conservés si : - ils sont au moins REASONABLE d’un point de vue MUON - ils ne sont pas BAD pour le CAL et SMT - ils ne sont pas taggés ringOfFire, emptyCrate, coherentNoise or noonNoise(2.7%) + badLBN(Jet-MET) (Pre-)selection CSskim EMMU PASS2 : 1EM( |Id|=10,11 & pT > 5 GeV ) Jusqu’au shutdown d’août 2004 && 1Mu( loose & pT > 5 GeV ) TMBTree produits avec d0correct v8.2(p16.06.00) incluant la suppression des DupliEvents 350 pb -1
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Comparaisons Data-MC
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Basses valeurs encore a comprendre !
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Comparaisons Data-MC
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QCD201.8 Top13.4 Dibosons36.7 Z 322.8 QCD + Bkg574.7 Data576 Nombre d’événements
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Optimisation du signal : cut1 Événements plutôt centraux
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Z QCD 145-50110-80 Dibosons t _ Data Optimisation du signal : cut2
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Optimisation du signal : cut3 L ’ esprit de cette analyse, est, dans la mesure du possible, de ne tenir compte des jets que par le comptage des traces non isol é es et ceci pour 3 raisons majeures : - On ne peut pas reconstruire un jet de pT inf é rieur à 15GeV impose d ’ utiliser des jets de pT 15GeV rendrait quasi impossible l ’é tude des r é gions de bas (M t,M ) - L ’é tude des jets (et + encore du b-tagging) entra î ne d ’ importantes syst é matiques : tr è s p é nalisant pour é tablir un é ventuel contour d ’ exclusion - Cette analyse a d é j à é t é faite dans ce cadre avec succ è s au cours du RunI Idée : mimer les jets en ne touchant que leur composante tracker Prévoir le calcul de systématique : - varier la taille du cône. - varier la coupure d’isolation (à 4GeV par exemple). - imposer un seuil sur le pT des traces qui entent en compte dans le calcul de l’isolation. - …
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Conclusions L’analyse est sur de bons rails ! Seulement, certains problèmes restent encore a comprendre, comme le pT de l’électron. Les efficacités d’EMId sont en cours de reévalution et des systématiques sont nécessaires a l’utilisation de variables exotiques comme le nombre de traces non isolées. Ensuite remettre en route toute la machinerie (déjà prête) d’optimisation du signal/bruit, et mettre à jour le contour d’exclusion. Note d’analyse est déjà en cours de remaniement, afin d’essayer de fournir une D0note pour le workshop NP de décembre. L’objectif est clair : arriver a une publication pour les conférences de Moriond
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= Ge r G r + Ge r G f + Ge f G r + Ge f G f physics W e Z ee W Z Multijets On peut alors mesurer : G Ge f = G fe.Le = Ge f G r + Ge f G f Ge G f = Ge f .L = Ge r G f + Ge f G f Ge f G f = fe.Le f .L Le = loose electron L = loose muon Seulement ces quantités ne sont pas directement mesurables Dans l’analyse on requiert la présence de Ge G = (Ge r + Ge f ) (G r + G f ) Par contre si on définit : fe = (F Ge) / (F Le) f = (Fe G ) / (Fe L ) oùoù QCD = Ge G f + G Ge f - Ge f G f
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