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Univers Social 5 Module 2, Dossier 2
Le vie à la campagne En temps et lieux 2003
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Le développement de l’agriculture P.28-30
Les habitants des campagnes représentaient 60% de la population du Québec. La plupart étaient agriculteurs. Ils vendaient leur surplus. Le territoire de la vallée du Saint-Laurent était déboisé pour construire des fermes. Les habitants cultivaient des céréales et des légumes et ils faisaient de l’élevage. Une partie de leur récoltes était consommée par les habitants et l’autre servait à nourrir les animaux. Les surplus étaient vendus en villes. Cultures: avoine, foin, pommes de terre Élevages: vaches, bœufs, moutons, porcs, chevaux.
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Des nouvelles terres à cultiver PP.30-31
Vers la fin du 19e siècle, les enfants des fermiers devaient s’installer ailleurs lorsqu'ils devenaient adultes. Une partie d’entre eux choisissait de quitter la campagne pour s’installer en ville. Une grand nombre de personnes ont quitté la province pour s’installer aux États-Unis. Pour trouver une solution, Antoine Labelle, un curé , a proposé la colonisation des territoires au nord de Montréal. Labelle a encouragé la construction d’une voie ferrée. Le premier ministre Honoré Mercier a créé le département de l’Agriculture et de la Colonisation. Plusieurs villages se sont développés et des colons s’y sont installés.
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Des solutions productives PP. 33-34
Dans la vallée du Saint- Laurent, le climat était propice à l’agriculture et le sol était fertile. On y enseignait les méthodes pour élever les animaux, utiliser les engrais, cultiver des produits et se servir de la machinerie agricole dans des écoles spécialisées en agriculture. Les engrais permettaient de nourrir la terre. L’utilisation de la machinerie agricole était un moyen d’augmenter la productivité. La gouvernement avait engagé des agronomes: des spécialistes qui conseillaient les agriculteurs.
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La rotation des cultures PP.34:
Les terres étaient divisées en plusieurs champs. Chaque année le type de produit cultivé dans chacun de champs était changé. Parfois on laissé un champ au repos pour qu’il se régénère. La rotation des cultures permettait que la terre ne s’épuise pas.
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L’échange des connaissances P.35
Il y avait des foires agricoles qui permettaient aux éleveurs de présenter leurs meilleures bêtes. Les gagnants recevaient des prix. Les agricultures s’échangeaient leurs connaissances sur les techniques agricoles.
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L’élevage P.36 et les produits P.37
Il y avait plusieurs types d’élevages: -de vaches laitières (beurre, fromage) -de porcs, bœufs et volaille (boucherie) -de moutons (laine) Le fromage du Québec était vendu en Belgique, en France et en Angleterre. Pour augmenter la qualité des produits, des techniques d’emballage ont été inventées. Le Québec avait produit le plus de fromage et de beurre que toutes les autres provinces canadiennes réunies!
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Le début d’un temps nouveau
Les femmes s’occupaient de traire les vaches, de faire le repas et de coudre les vêtements. Les hommes faisaient les travaux les plus exigeants physiquement comme labourer les champs et entretenir les bâtiments. Les agriculteurs ont formé des coopératives agricoles: des regroupement d’agriculteurs visant l’amélioration de leurs conditions. Ils fixent le prix minimum auquel un produit pouvait être vendu.
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Le travail saisonnier P.38
Plusieurs agriculteurs passait le printemps et l’été à travailler la terre. L’automne venu, ils partaient pour les chantiers de coupe de bois et y passaient l’hiver. Cela était nécessaire pour avoir un revenu suffisant. Les hommes partageaient une seule pièce dans un cabane et il travaillaient toute la journée.
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La vie au village P.40-41 Chaque village avait son centre d’activité. Le système de seigneuries avait été aboli. La religion et l’église étaient très importantes. L’église était située au centre du village. Les habitants allaient à la messe tous les dimanches et lors des fêtes religieuse comme Pâques et Noel. L’église était un lieu de rassemblement lors des décès, des baptêmes et des mariages. L’église était aussi un lieu de rencontre pour les jeunes. Les garçons et les filles ne pouvaient pas se rencontrer seuls. Il devaient être accompagnés par un chaperon.
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L’école P.42 Les écoles de rang, situées a l’extérieur du village, étaient petites avec une seule classe pour tous les élèves. L’institutrice enseignait le français, les mathématiques, la géographie, l’histoire du Canada et la religion. Les élèves avaient parfois des leçons en anglais, d’hygiène et d’agriculture. L’institutrice était une jeune femme célibataire qui occupait un chambre dans l’école ou chez une famille. Elle devait aussi balayer le plancher, laver le tableau et s’assurer qu’il y avait assez de bois pour chauffer la classe. Elle préparait une soupe pour les enfants pauvres. Son salaire était 100$ par année.
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L’école P.42-43 B. Dans les gros villages, il y avait des collèges ou des couvents. Les religieux et religieuses enseignaient. Les enfants ne fréquentaient pas tous l’école le même nombres d’heures. Les garçons quittaient l’école plus tôt dans la journée pour travailler dans les fermes. Les filles allaient à l’école plus longtemps. Les femmes pouvaient être institutrices ou infirmières. Elles s’occupaient de la gestion de la ferme car elles s’avaient mieux lire et compter que les hommes.
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Parfois, le magasin général tenait lieu de bureau de poste!
Chaque village avait un magasin général ou les gens pouvaient faire des achats. Parfois, le magasin général tenait lieu de bureau de poste! Le magasin général P.43
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