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M. JARRAYA, A. MAALEJ, Y.GUERMAZI, I.AMMAR, H.FOURATI, Z.MNIF, J.MNIF

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Présentation au sujet: "M. JARRAYA, A. MAALEJ, Y.GUERMAZI, I.AMMAR, H.FOURATI, Z.MNIF, J.MNIF"— Transcription de la présentation:

1 M. JARRAYA, A. MAALEJ, Y.GUERMAZI, I.AMMAR, H.FOURATI, Z.MNIF, J.MNIF
APPORT DE LA DIFFUSION DANS L’ETUDE DES LESIONS CEREBRALES KYSTIQUES APROPOS DE 24 CAS M. JARRAYA, A. MAALEJ, Y.GUERMAZI, I.AMMAR, H.FOURATI, Z.MNIF, J.MNIF SFAX-TUNISIA ARAB CONGRESS OF RADIOLOGY 2012 NEURORADIOLOGY : NR 27

2 INTRODUCTION La grande variété des lésions cérébrales kystiques pose de véritables problèmes diagnostiques. En plus de la pathologie vasculaire (AVC), la séquence de diffusion en IRM peut constituer une aide précieuse au diagnostic de la nature de certaines lésions kystiques. Le but de ce travail est de mettre en évidence l’apport de la séquence de diffusion dans l’étude des lésions cérébrales kystiques

3 MATERIEL ET METHODE Nous rapportons une série de 24 observations de lésions cérébrales kystiques. Tous les patients ont été explorés par une IRM réalisée par une machine GE 1.5 T. Un protocole d’exploration cérébrale standard a été réalisé incluant une séquence de diffusion.

4 RESULTATS Les lésions retrouvées étaient, par ordre de fréquence:
Kyste arachnoïdien: n=18 Kyste colloïde: n=2 Hémangioblastome: n=2 Kyste épidermoide: n=1 Kyste dermoide: n=1

5 KYSTE ARACHNOIDIEN Âge moyen: 27 ans Sexe: 6F/12H Localisations:
Temporale: 9 Fosse postérieure: 8 Vallée sylvienne: 1 Occipitale: 1 Circonstances de découverte: Fortuite: 13 Épilepsie: 3 Céphalées: 2

6 KYSTE ARACHNOIDIEN Patient âgé de 26 ans qui a bénéficié d’une IRM pour suspicion d’empyème cérébral. Découverte fortuite de kyste arachnoïdien médian de la fosse postérieure. a * b c Kyste arachnoïdien médian de la fosse postérieure (*) en coupes axiales en pondération T1 (a), en pondération T2 (b) et après injection de gadolinium (c) . Il présente un signal identique au liquide cérébro-spinal (LCS): hyposignal T1, hypersignal T2, sans prise de contraste.

7 KYSTE ARACHNOIDIEN a Kyste arachnoïdien rétro cérébelleux :
séquence diffusion (a): hyposignal étude de l’ADC (b): identique à celui du LCS.

8 KYSTE ARACHNOIDIEN Kyste bénin contenant du LCS et ne communiquant pas avec le système ventriculaire; Incidence: > 1%; Localisations: Vallée sylvienne: 60% Angles ponto-cérébelleux: 10% Région supra et rétro-sellaire: 10% Convexité: rare

9 KYSTE ARACHNOIDIEN Clinique: souvent asymptomatique mais associera en fonction de son siège Vallée sylvienne: épilepsie Angles ponto-cérébelleux: vertiges, acouphènes, surdité de perception Ligne médiane: hydrocéphalie IRM: Hyposignal T1, hypersignal T2 avec suppression complète du signal en FLAIR Diffusion: hyposignal, absence de restriction de l’ADC

10 KYSTE EPIDERMOIDE Patient âgé de 47 ans, épileptique aux antécédents de kyste épidermoide de l’angle ponto cérébelleux opéré en 1997. a * c b Kyste épidermoide (*) de l’angle ponto cérébelleux droit avec extension au niveau du V4 (*), en coupes axiales en pondération T1 (a), T2 (b) et FLAIR (c). Il est en hyposignal T1, hypersignal T2 et en hyposignal hétérogène en FLAIR. Collection de LCS postopératoire (*).

11 KYSTE EPIDERMOIDE Kyste épidermoide:
a b c Kyste épidermoide: séquence de diffusion (a): hypersignal Étude de l’ADC (b,c): ADC au niveau du kyste élevé par rapport à celui du LCS. A noter que la diffusion a permis de différencier la récidive du kyste épidermoide au sein de la collection de LSC postopératoire.

12 KYSTE EPIDERMOIDE Lésions congénitales d’origine ectodermiques.
Capsule fibreuse externe et un épithélium de type épiderme au niveau interne. Diagnostiqués surtout à l’âge adulte Environ 1% des tumeurs intracrâniennes et 5% de l’APC. Localisations intra durales (90% des cas): APC (50%), citernes supra sellaire, fosse temporale, citerne quadrigéminale et grande citerne. Localisations extradurales (10%) intradiploîque; voûte crânienne, et grande aile du sphénoïde.

13 KYSTE EPIDERMOIDE Conséquences cliniques souvent limitées: dissociation entre le caractère limité des signes cliniques et la taille volumineuse du kyste épidermoide. - En IRM; en hypo signal T1 avec signal hétérogène, hyper signal T2 et de signal très hétérogène en FLAIR. La séquence de diffusion est très intéressante dans les kystes épidermoides qui apparaissent en hyper signal diffusion avec un ADC bas par rapport à celui du LCS.

14 * * KYSTE ARCHNOIDIEN (*) KYSTE EPIDERMOIDE (*) Hyposignal T1
Le principal diagnostic différentiel est le kyste arachnoïdien: KYSTE ARCHNOIDIEN (*) KYSTE EPIDERMOIDE (*) Hyposignal T1 Hypersignal T2 Signal hétérogène en FLAIR Hypersignal diffusion Hyposignal T1 Hypersignal T2 Signal homogène en FLAIR Hyposignal diffusion * *

15 KYSTE COLLOIDE Patiente n° 1: âgée de 21 ans, aux antécédents de kyste colloide du V3 opéré en 2010. Patiente n°2: âgée de 25 ans, consulte pour céphalées, bourdonnement d’oreille et baisse de l’acuité visuelle a b c d * Kyste colloide du V3 (*) en coupes axiales T1 (a,c) et T2 (b,d) Patiente n° 1: Kyste colloide du V3 en hyposignal T1 (a) et Hypersignal T2 (b) Patient n° 2: kyste colloide du V3 en hypersignal T1 (c) et Hyposignal T2 (d)

16 KYSTE COLLOIDE Patient n° 1: Kyste colloide:
b Patient n° 1: Kyste colloide: séquence diffusion (a): hyposignal Étude de l’ADC (b): ADC au niveau du kyste identique à celui du LCS.

17 KYSTE COLLOIDE Patient n° 2: kyste colloide:
b Patient n° 2: kyste colloide: séquence diffusion (a): hyposignal Étude de l’ADC (b,c): baisse de l’ADC par rapport au LCS.

18 KYSTE COLLOIDE Contenant du matériel mucoide visqueux Tumeur rare
Adulte d’âge moyen Localisation habituelle: partie antéro-supérieure du V3 à proximité du foramen de monro (Diagnostic +) Clinique: céphalée positionnelle liée à l’obstruction intermittente du foramen de monro dûe à l’aspect pédiculé et mobile du kyste. IRM: Hyposignal T1, hypersignal T2 Hypersignal T1, hyposignal T2 Diffusion: variable en fonction de son contenu.

19 HEMANGIOBLASTOME Patiente âgée de 24 ans, céphalées d’installation progressive à prédominance occipitale * a b c Hémangioblastome ( ) en coupes axiales en pondération T1 (a), T2 (b) et après injection de gadolinium (c): portion kystique (*): hyposignal T1, hypersignal T2 nodule mural ( ): isosignal T1, discret hypersignal T2, importante prise de contraste.

20 HEMANGIOBLASTOME Hémangioblastome: séquence diffusion (a): hyposignal
étude de l’ADC (b,c): augmentation de l’ADC au niveau de la portion kystique.

21 HEMANGIOBLASTOME Tumeur vasculaire bénigne
La plus fréquente des tumeurs cérébelleuses primitives de l’adulte Clinique: Syndrome d’hypertension intra crânienne Signes focaux: Troubles de la marche Ataxie cérébelleuse Syndrome cérébelleux cinétique

22 HEMANGIOBLASTOME IRM: Portion kystique: hyposignal T1 Hypersignal T2
Hyposignal diffusion avec augmentation de l’ADC Nodule mural: Isosignal T1 Prise de contraste

23 HEMANGIOBLASTOME Diagnostic différentiel:
- Astrocytome pillocytique (perfusion +++) - Métastase ou autre tumeur nécrosée (absence de nodule mural) - abcès cérébral (ADC bas)

24 KYSTE DERMOIDE * a b c Kyste dermoide en coupe sagittale T1 (a), axiales T2 (b), axiales après injection de gadolinium (c) : Hyposignal T1associé à un discret hypersignal central (*) Hypersignal T2 Absence de prise de contraste

25 KYSTE DERMOIDE Kyste dermoide: séquence de diffusion: hypersignal
b c Kyste dermoide: séquence de diffusion: hypersignal étude de l’ADC: baisse de l’ADC par rapport au LCS

26 KYSTE DERMOIDE Tumeur rare Enfant et adulte jeune
Localisation: ligne médiane Clinique: Pauci symptomatique car son développement est progressif Syndrome méningé par rupture du kyste (méningite chimique)

27 KYSTE DERMOIDE IRM: Caractérisé par une composante graisseuse en Hypersignal T1 Aspect hétérogène en T2 Capsule externe épaisse rehaussée après injection de Gadolinium. Diffusion: hypersignal diffusion avec restriction de l’ADC.

28 CONCLUSION La gamme diagnostique des lésions cérébrales kystiques est très variée et leur différenciation est difficile. L’avènement de l’IRM multi modale, notamment de la séquence de diffusion a permis une meilleure approche diagnostic et donc une meilleure prise en charge.


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