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Certaines de ces plantes peuvent être un poison, voire un poison très violent. Je les mentionnerai par le symbole ci- dessous.

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2 Certaines de ces plantes peuvent être un poison, voire un poison très violent. Je les mentionnerai par le symbole ci- dessous.

3 Bluet, Blavette, Bardeau, Casse-Lunettes, Aubifoin
BLEUET DES CHAMPS Antaurea Cyanus L. Bluet, Blavette, Bardeau, Casse-Lunettes, Aubifoin composées Le bleuet des champs appartient au genre très peuplé des Centaurées, dont quelques espèces seulement possèdent des propriétés médicinales. Ce nom (Centaurée) leur a été donné en l ’honneur du fabuleux Chiron, mi-homme mi-cheval, savant éducateur d ’Achille et fort versé en médecine. Et « Casse-Lunettes », car les fleurs en décoction font merveille pour rendre leur vivacité aux regards fatigués. Elles partagent cette propriété avec une espèce voisine de montagne, Centorea montana L. La tradition veut que, bleu, le bleuet soigne les yeux bleus, tandis que les plantains conviennent mieux aux yeux bruns.. Propriétés : adoucissant, astringent, dépuratif, diurétique, purgatif.

4 BOULEAU bétula alba L. Bouleau blanc, bouleau odorant, Bouleau vérruqueux, Bouleau Biole, Arbre de la Sagesse, Sceptre des maîtres d’école. Bétulacées Ce bel arbre au feuillage léger, dont les origines remontent à plus de 30 millions d ’années, a été utilisé de tous temps pour les besoins des hommes. Nourriture végétale d ’abord, emploi technique ensuite : sabotiers, charrons, couvreurs, charpentiers, teinturiers, tanneurs, parfumeurs du monde occidental, ont utilisé ou utilisent son bois et son écorce. Les ramures servent à la fabrication de verges avec lesquelles se flagellent les amateurs de sauna. Et c ’est peut-être sur du papier tiré de son bois que Chateaubriand et Goerge Sand ont vanté sa longue chevelure et le satin de sa surface… Mais son emploi médicinal est récent; Ste Hildegarde est la 1°, au XII° siècle, à citer l’action cicatrisante de ses fleurs. Propriétés : antiseptique, cholérétique, cicatrisant, dépuratif, diurétique, stimulant, sudorifique.

5 BOURDAINE Frangula Alnus Mill. Dans les sous-bois humides, près des étangs et des marécages, la bourdaine se regroupe en fourrés d ’arbustes peu denses aux rameaux fragiles. (frangere = casser). Ressemblant au nelprun et à l ’aulne, elle est pourtant facilement reconnaissable avec ses feuilles ovales-rondes marquées en dessous par 8 à 12 paires de nervures saillantes parallèles, et par ses fruits rouges, gros comme des pois, qui deviennent noirs à maturité. Elle est citée pour la 1° fois par Crescenzy, agronome italien du début du XIV°; 2 siècles plus tard, son usage est codifié par Matthiole, qui recommande notamment de ne pas employer la drogue fraîche. La partie utilisée est la 2° écorce, ou « écorce de l ’intérieur », séchée, réduite en poudre et tamisée. Si modalités d ’emploi et posologie sont respectées, l ’action laxative est constante et inoffensive. Propriétés : cholagogue, cicatrisante, laxative, dépurative. Nerprun noir, Bourgène, Aulne noir, Bois noir. Rhamnacées

6 BOURRACHE - Borago officinalis L.
Langue-de-bœuf Borraginacées Plante annuelle, c ’est un remède à action douce, fort vanté en médecine populaire. Active lorsqu ’elle est très fraîche, il vaut mieux la cueillir à mesure des besoins. On peut consommer ses feuilles crues en salade, ou cuites ajoutées aux potages. Centrifugées avec cresson et pissenlit, elles fournissent un jus dépuratif souverain pour le teint. Et si l ’on veut profiter de l ’action emmoliente de ses fleurs, on peut en faire des infusions qui calment à merveille la pénible toux des bronchites. Propriétés : adoucissante, dépurative, diurétique, laxative, sudorifique.

7 BRUYERE Calluna vulgaris (L.) Hull.
Grande, Grosse, Bucane, Béruée ,Péterolle, breuvée. Ericacées Par son aspect décoratif très semblable à celui de des bruyères du genre Erica, la Calluna vulgaris donne aux lieux où elle pousse un charme particulier. Certains gibiers, comme le tétras, vivent dans cette végétation. La plante est un excellent nectarifère, fournissant aux abeilles l ’abondante matière d ’un miel brun très recherché pour la fabrication du pain d ’épices. Les racines sont employées à la confection des pipes, et les ramures, en Bretagne, servaient en guise de chaume pour recouvrir les granges. Les grappes fleuries récoltées au début de leur épanouissement sont un remède contre diverses affections rénales. Propriétés : antiseptique, astringente, diurétique.

8 Arrête-bœuf, Bougraine, bougrate, Bougrande,
Le genre Ononis, complexe et multiforme, regroupe au moins 6 sous-espèces, dont toutes n’ont pas des épines. Cette plante se rencontre dans les pâturages, sur les talus, dans les terrains incultes. Les ânes s ’en délectent (Oui, oui, épines et tout !) Mais dans le foin sec, ses épines blessent les muqueuses des animaux et les empêchent de se nourrir. Les racines profondes et résistantes bloquaient les charrues, d ’où le nom de « arrête-bœuf ». (Mais où trouve-t-on encore des bœufs de labour ?) Dioscoride, célèbre botaniste grec du 1° siècle, écrit :  » l ’écorce de la raçine macérée dans du vin augmente les urines, réduit la gravelle et corrode le bord des ulcères. » Le Moyen-Age et la Renaissance en ont fait un usage certain. Le pollen des fleurs est très recherché par les abeilles. Propriétés : antiseptique, astringente, dépurative, diurétique, sudorifique. BUGRANE - Ononis spinosa Arrête-bœuf, Bougraine, bougrate, Bougrande, Tendron, Agaloussès. Papillonacées

9 BUIS - Buxus sempervirem L.
Bois béni, Guézette, Ozanne, Bois d  ’Arbois, Buis toujours vert. Buxacées. Le buis, fort connu de tous, est réputé depuis l’Antiquité à la fois comme plante ornementale pour son beau feuillage persistant d ’un vert profond, et pour son bois à grain très fin qui se prête à lz gravure et à la fabrication d ’objets tournés. Sainte Hildegarde (encore elle) parle de ses qualités, et la Renaissance l ’a vanté comme remède à la calvitie. Un charlatan allemand monopolisa, au XVIII° siècle, la médi- cation du buis, dont il tirait une fortune. Joseph II lui paya son secret florins, et le publia, ce qui suffit à faire perdre tout crédit à cette thérapeutique. A forte dose, les préparations ont un goût désagréable, et la plante devient toxique, non seulement pour l ’homme, car les chameaux de la Caspiene meurent de leur gloutonnerie à l ’égard de ce fourrage. Propriétés : cholérétique, dépuratif, fébrifuge, laxatif, sudorifique.

10 CALAMENT - Calamintha officinalis Moench Baume sauvage, Pouliot de montagne, Calament de montagne. Labiées De la même famille que la menthe, doté d ’un parfum comparable, le calament est souvent confondu avec elle, mais ses fleurs sont plus grandes et plus séparées les unes des autres. Plante très réputée au Moyen Age, contre les bourdonnements d ’oreille, les éructations, le hoquet, les douleurs d ’en- traille et les spasmes d ’origine nerveuse, elle est utilisée aussi comme tonique, digestif et stimulant. Le calament entre dans la fabrication de l ’eau d ’arquebuse, qui est un puissant vulnéraire. Propriétés : Antispasmodique, stomachique, tonique.

11 GRANDE CAMOMILLE Chrysanthemum Partenium Bernh.
Matricaire commune, Boutond ’argent, Espargoute, Oeil-du-Soleil, Malherbe Composées Le mot chrysanthème, qui veut dire « fleur d ’or », ne convient pas à la grande camomille dont les ligules sont d ’un blanc pur; seul le cœur de ses capitules est jaune. Les grecs l ’utilisaient contre les maladies féminines, le Moyen-Age contre la fièvre. Une confusion assez courante avec la camomille romaine ou la matricaire peut être évitée en étudiant les feuilles : celle-ci a des lobes larges à la texture molle, à la senteur forte. les 2 autres ont des feuilles découpées en fines lanières. L ’odeur désagréable de la Grande camomille expliquerait peut-être la raison pour laquelle elle est délaissée de nos jours au profit de la camomille romaine, dont l ’action médicale est analogue. (Mais j ’espère que vous avez remarqué un de ses noms : « Œil-du-Soleil » ! C ’est-y pas beau, cela ?) Propriétés : Antispetique, antispasmodique, emmenagogue, fébrifuge, insecticide, tonique.

12 Camomele, Camomille odorante, Anthémis odorant,
CAMOMILLE RIOMAINE Chamaemelum mobile All. Camomele, Camomille odorante, Anthémis odorant, Camomille noble. Composées D ’un aspect bien différent de la précédente, les tiges de cette plante, d ’rabord couchées, se relèvent en de nombreuses ramifications et se terminent par des capitules blancs très odorants. Première mention à Londres au XVI° siècle… comme mauvaise herbe ! (la calomnie n ’épargne rien !) Rare en France. Pour les besoins médicinaux, une variété à fleurs doubles, toute en ligules, est cultivée en Anjou et fait la renommée de la commune et des habitants de Chemillé. (J ’ai été voir sur le site, ils cultivent aussi bleuet, souci, digitales, menthe, etc.: ce que ce doit être beau, ces champs de fleurs !) Après la récolte, faite par temps sec, au début de l ’été, au fur et à mesure que les capitules s ’entrouvrent, le séchage à l ’ombre doit être rapide : mal séchées, les fleurs noircissent et perdent leurs propriété stimulantes. Propriétés : antispasmodique, digestive, emmenagogue, fébrifuge, stomachique et, à forte dose, vomitive.

13 CARLINE Carlina acaulis L.
La carline ne possédant pas de tige, ou celle-ci demeurant à l ’état embryonnaire, on ne découvre cette plante qu ’à ras de terre. L ’auréole argentée faite aux capitules par les bractées et l ’encadrement vert des feuilles élégamment découpées et collées au sol lui donnent son aspect particulier. Par temps sec cette auréole est parfaitement étalée. Mais, lorsque le soir tombe ou que le temps devient humide, les bractées se replient en forme de tente conique au-dessus des capitules. D’où son usage à la campagne pour les prévisions du temps, ce qui, en divination, s ’appelle la « botanomancie météorologique ». (Dire que, à l ’instar de M.Jourdain, j ’ai fait de la botanomancie météorologique sans le savoir !) Les ânes mangent la plante sans l ’arracher, les parcs consomment la racine. Carline acaule, Chardon doré, Chardonette, Chardousse, Baromètre, Loques, Caméléon blanc, Artichaut sauvage. Composées Propriétés : cicatrisante, cholagogue, détersive, diurétique, stomachique, sudorifique.

14 Chataire, Herbe aux chats, Menthe de chat.
CATAIRE Nepeta Cataria L. Chataire, Herbe aux chats, Menthe de chat. Labiées Herbe aux chats, la cataire -nom dérivé du bas-latin catus, chat - exerce sur la gent féline une irrésistible attirance, et, à la différence de la valériane, à l ’odeur désagréable, qui a le même pouvoir, son parfum de menthe est plaisant. Cette plante vivace, longtemps cultivée pour l ’usage médicinal, s’est échappée des jardins pour se répendre capricieusement un peu partout. La cataire ressemble beaucoup à la mélisse, mais s ’en distingue très bien par son calice à cinq dents et la lèvre inférieure creuse et dentée de sa corolle. C ’est une plante calmante et digestive, merveilleuse tisane de grand-mère qu ’adorent les enfants. On peut en mâcher quelques feuilles fraîches comme premier secours lors d ’une rage de dents. Et, lorsqu’il y a un chat dans la maison, frottez-en donc la bûche où vous voulez le voir faire ses griffes ! Propriétés : antispasmodique, carminative, emménagogue, stomachique, tonique, vulnéraire.

15 CHÂTAIGNIER Castanea vulgaris Lam.
Castagnié, Castanié Fagacées Le châtaignier, croit-on, nous est venu d ’Iran au V°siècle avant notre ère. Il pousse d ’abord lentement, puis sa croissance s’accélère l ’arbre acquiert vers 50 ans sa taille définitive. Les fruits, vernissés, sont rangés à deux ou trois dans leur bogue hirsute. Isolé, son tronc reste court, sa cime s ’étale et il fructifie vers la 25°année. En forêt, il s ’élance et fructrifie vers 40 voire 60 ans. Un châtaignier peut vivre très vieux, 1000 ans, peut-être… Avec l ’âge, son tronc s ’évide. Il y a quelques années, existait encore en Sicile, sur les pentes de l ’Etna, un châtaignier creux qui servait d ’abri à tout un troupeau de moutons, et que les paysans disaient vieux de ans. Propriétés : astringent, reminéralisant, sédatif, stomachique, tonique.

16 Chêne rouvre, Chêne noir, Chêne pédonculé, Chêne mâle
CHÊNES Quercus robur L. (sensu lato) Chêne rouvre, Chêne noir, Chêne pédonculé, Chêne mâle Fagacées Certains de ces chênes vivent au moins 500 ans, parfois ans, et la dureté de son écorce est telle que le gui, parasite heureux de plus d ’une centaine d ’arbres, ne réussit à l ’entamer qu ’avec le plus grand mal. Les témoignages du rôle mythique et religieux de cet arbre très symbolique, l’un des plus beaux de nos forêts, remontent à l’aube des civilisations. Ses rameaux feuillus servaient à couronner, dans la Rome antique, les citoyens méritants. On a longtemps rendu justice à son ombre. Même à l ’ère de l ’acier, on se fie encore à ses résistance pour les constructions supportant les efforts les plus grands, comme les poutres maîtresses des charpentes et les bordés des yachts hauturiers. Et c ’est entre les racines des chênes que le périgourdin découvre les truffes. Propriétés : antiseptique, astringent, fébrifuge, tonique.

17 Herbe à la vierge, Périclymène, Barbe-de-chêvre
CHEVREFEUILLE DES BOIS Lonicera Periclymenum L. Herbe à la vierge, Périclymène, Barbe-de-chêvre Caprifiolacées Qu’il soit aimé des chèvres, ou, comme elles, doué pour l ’escalade, le chèvrefeuille des bois, que Mme de Sévigné écrivait « chèvrefeuil », car elle le voyait résolument masculin, est de la même famille que le sureau noir et les viornes. C ’est une plante vivace dont les rameaux volubiles s ’enroulent solidement autour de leur support, et qui peut vivre 40 ans. Durant toute l ’Antiquité, grecs, romains, égyptiens ont employé son écorce, mais le Moyen Age n ’en fit plus grand cas. De nos jours, ce sont ses feuilles et ses fleurs qui sont utilisés pour leurs vertus aniseptiques et diurétiques. Dans tous les usages, on peut subsituer au chèvrefeuille des bois le chèvrefeuille commun de nos jardins. Propriétés : antiseptique, astringent,détersif, diurétique, suporifique.

18 Chicorée amère, Barbe-de-capucin, Yeux-de-chat, Laideron
CHICOREE SAUVAGE Cichorium Intibus L. Chicorée amère, Barbe-de-capucin, Yeux-de-chat, Laideron Composées Déjà mentionnée ans av.J.C. dans le papyrus Ebers, qui est un des plus anciens textes égyptiens qui nous soient parvenus, la chicorée est demeurée un bienfaisant remède auquel les médecins sont restés fidèles. « Amie du foie » selon Galien, elle est parfaitement inoffensive et pour cette raison utilisée pour les remèdes destinés aux enfants. C ’est une plante vivace dont les fleurs d ’un bleu très pur sont réunies en beaux capitules. Elle contient un latex blanc d ’uen extrème amertume ; il convient de ramasser ses feuilles avant la floraison, car après elles ne sont plus comestibles. L ’utilisation alimentaire de la chicorée date du XVII°siècle : cultivée dans les jardins,elle a depuis donné naissance à de nombreuses variétés potagères : scarole, frisée ou endive, moins amères, mais aussi moins actives. Propriétés : apéritive, cholagogue, cholérétique, dépurative, diurétique, fébrifuge, laxative, stomachique, tonique.

19 CLEMATITE DES HAIES Clematis Vitalba L.
Vigne blanche, Herbe aux gueux, Cheveux-de-la-Bonne-Dame, Berceau de la Vierge Renonculacées C ’est une des lianes de notre flore. Elle peut vivre 25 ans et sa tige acquiert dans sa vieillesse l ’épaisseur de celle d ’un arbrisseau. On la reconnaît l ’hier à son manteau de doux pelotons argentés qui la recouvre toute entière. Mortelle pour les arbrisseaux environnants autour desquels elle s’enroule, elle est aussi dangereuse pour les humains et, sauf avis médical contraire, il est préférable de la réserver à l ’usage externe. Même ainsi, elle n ’est pas sans danger ! Sur la peau, ses feuilles provoquent une brûlante révulsion locale et autrefois les mendiants professionnels entre- tenaient ainsi leurs ulcères. La clématite dressée (image du coin) possède des propriétés analogues. Elle est rarement sauvage. A utiliser sous contrôle médical ! Propriétés : révulsive.

20 COQUELICOTS papaver rhoecas L.
Pavot coquelicot, Ponceau, Pavot des champs, Pavot coq, Mahon, Chaudière d ’enfer, Gravesolle Papaveracées Chassé par les pesticides des moissons où ses fragiles pétales rouge vif frémissaient autrefois parmi l ’or des épis, réfugié le long des autoroutes et des voies de chemins de fer, il deviendra bientôt rare, comme le bleuet des champs et toutes les « messicoles » les mauvaises herbes de messi, moisson, et colo, j ’habite. Annuel, il meurt vite. Utilisée depuis les temps les plus anciens, cette fleur pectorale entre à présent dans le mélange des sept plantes qui composent la « tisane des 4 fleurs » Il convient de respecter les doses prescrites car il peut, à haute dose, devenir toxique. Et, pour l ’utilisation médicinale, il faut rejeter les fleurs moins rouges et plus petites, à capsule poilue ou étranglée au sommet; Propriétés : adoucissant, antispasmodique, émollient, hypnotique , pectoral, sédatif, sudorifique.

21 Illustrations et documentation extraites du livre
« Secrets et vertus des plantes médicinales » édité par Sélection du Reader ’s Digest Musique : D.Scott - La vie Jacky Questel - janvier 2005


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