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Publié parMarie Guilbaud Modifié depuis plus de 9 années
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Seasonal changes in optical properties at BOUSSOLE (WP5). Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 David Antoine et Malika Kheireddine
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Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 Variabilité saisonnière Quatre « saisons », le mélange hivernal, le développement du bloom, l’effondrement du bloom et l’oligotrophie ont été différenciées pour chaque année.
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Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 Variabilité saisonnière des propriétés optiques inhérentes Mixing: faibles valeurs de c p, b bp et [TChl], couche de mélange profonde (250 à 2000 m). Bloom: augmentation de c p, b bp et [TChl], couche de mélange diminue. Decline: diminution de c p, b bp et [TChl], couche de mélange faible (~ 10-15 m). Oligotrophy: faibles valeurs de c p, b bp et [TChl], couche de mélange faible (~ 10-15 m).
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Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 Variabilité saisonnière des propriétés optiques apparentes Un cycle saisonnier apparait pour chacune des propriétés optiques avec de fortes (faibles) valeurs durant le bloom suivie d’une diminution (augmentation) des valeurs durant le déclin du bloom et de faibles valeurs le reste de l’année.
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Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 Variabilité saisonnière des propriétés optiques 1.Les propriétés optiques sont, au premier ordre, influencé par un cycle saisonnier avec de fortes valeurs durant le développement du bloom et de faibles valeurs durant la période oligotrophe. 2.Les propriétés optiques évoluent parallèlement avec la [TChl]. 3.Les propriétés optiques dépendent des conditions physiques du milieu (profondeur de la couche de mélange).
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Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 Variabilité saisonnière : relations bio-optiques 1.Les points se placent suivant l’enchainement continu des quatre saisons avec une évolution croissante pour les mesures effectuées durant les périodes de mélange hivernal et de bloom puis d’un sens retour pour celles effectuées durant les périodes d’effondrement du bloom et oligotrophe. 3.Les données b bp sont situées au dessous de la loi moyenne de Morel et Maritorena (2001) (MM01) et de la loi globale de Huot et al. (2008). Mélange 2006-2007 Mixing Bloom Decline Olig. 2.Les données c p se trouvent autour de la loi globale de surface de Loisel et Morel, 1998.
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Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 Variabilité saisonnière : relations bio-optiques 1.Les données de réflectance à 443 nm sont uniformément distribuées autour de la loi moyenne MM01. 2.Les données de réflectance à 560 nm sont situées au dessus de la loi moyenne MM01. anomalie bio-optique
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Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 Variabilité saisonnière : relations bio-optiques 1.Les données sont uniformément distribuées autour de la loi moyenne MM01. anomalie bio-optique 2. Cependant, pour les eaux pauvres en [TChl], le rapport B/V se situe au dessous de la loi moyenne MM01.
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Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 Variabilité saisonnière : relations bio-optiques anomalie bio-optique 1.Les données de K d à 560 et à 443 nm sont situées au dessus de la loi moyenne MM01.
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Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 Variabilité saisonnière : relations bio-optiques 1.Chacune de ces relations montre que les données BOUSSOLE varient en fonction de la [TChl] avec une dispersion plus ou moins importante. 2.La variabilité saisonnière peut expliquer en partie la dispersion observée autour de chacune des relations bio-optiques présentées ici. 3.La dispersion est organisée suivant l’enchaînement des saisons, l’oligotrophie, le mélange hivernal, le déclin du bloom et le bloom. 4.Les relations globales bio-optiques existantes ne sont pas appropriées pour décrire la variabilité bio-optique de la Méditerranée (anomalies bio-optiques observées).
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Réunion BIOCAREX, le 24 Janvier 2014 Variabilité saisonnière : relations bio-optiques Quelles sont les causes des anomalies bio-optiques observées ? 1.Les particules désertiques (« dust »). 2.La matière organique dissoute colorée (CDOM) (cf. E. Organelli). Les anomalies bio-optiques sont liées aux conditions physiques et biologiques ainsi qu’à la composition du milieu (Claustre et al. 2002; Loisel et al. 2011). Les coefficients de rétrodiffusion, b b et d’absorption, a pourraient être responsables des anomalies bio-optiques observées au niveau des AOPs. Nécessaire de poursuivre les études et d’effectuer des mesures de a CDOM et de quantifier les particules désertiques en complément pour une meilleure interprétation des anomalies bio-optiques.
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