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Publié parGilberte Lefebvre Modifié depuis plus de 9 années
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k Cadre réglementaire de la prescription thérapeutique et recommandations Dr. MOUSTAFA Farès
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INTRODUCTION DE PLUS EN PLUS REGLEMENTEE
CONSEQUENCES DES ERREURS PEUVENT ETRE GRAVE POUR LES PATIENTS BONNE CONNAISSANCE DES REGLES DE PRESCRIPTION ET DES MENTIONS LEGALES ASSOCIATION DU PATIENT A SON TRAITEMENT Dr. MOUSTAFA Farès
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LES MEDICAMENTS MEDICAMENT = SUBSTANCE AVEC PROPRIETES CURATIVES OU PREVENTIVES (Art. L du CSP) PREPARATION MAGISTRALE (Art. L du CSP) PREPARATION HOSPITALIERE PREPARATION OFFICINALE SPECIALITE GENERIQUE Préparation magistrale : tout médicament préparé extemporanément en pharmacie selon une prescription destinée à un malade déterminé. Préparation hospitalière : tout médicament, à l’exception des produits génique ou cellulaire, préparé selon les indications de la pharmacopée et en conformité avec les bonnes pratiques mentionnées à l’article L , en raison de l’absence de spécialité pharmaceutique disponible ou adaptée, dans une pharmacie à usage intérieur d’un établissement de santé, ou dans l’établissement pharmaceutique de cet établissement de santé autorisé en application de l’article L ces préparations sont dispensées sur prescription médicale à un ou plusieurs patients par une pharmacie à usage intérieur dudit établissement. Préparation officinale : tout médicament préparé en pharmacie selon les indications de la pharmacopée et destiné à être dispensé directement aux patients approvisionnés par cette pharmacie. Spécialité générique : générique d’une spécialité de référence, celle qui a la même composition qualitative et quantitative en principe actif, la même forme pharmaceutique et dont la bioéquivalence avec la spécialité de référence est démontrée par des études de biodisponibilité appropriées. Dr. MOUSTAFA Farès
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DENOMINATION DES MEDICAMENTS
SOIT NOM DE FANTAISIE SOIT DENOMINATION COMMUNE OU SCIENTIFIQUE ASSORTIE D’UNE MARQUE OU DU NOM DU FABRICANT (Art. R du CSP) DENOMINATION COMMUNE = DCI DE L’OMS (Art. R du CSP) SI PLUSIEURS FORMES ALORS INDIQUER NOURRISSON, ENFANT OU ADULTE (Art. R du CSP) La dénomination d’un médicament peut être soit un nom de fantaisie, soit une dénomination commune et scientifique assortie d’une marque ou du nom du fabricant. Le nom de fantaisie ne peut se confondre avec la dénomination commune. (Art. R du CSP) On entend par dénomination commune : la dénomination commune internationale recommandée par l’OMS, à défaut la dénomination de la pharmacopée européenne ou française ou, à défaut, la dénomination commune usuelle. (Art. R du CSP) Lorsqu’un médicament est présenté sous plusieurs formes pharmaceutiques ou plusieurs dosages, ceux-ci et le cas échéant les mentions « nourrissons », « enfants », ou « adultes » doivent figurer dans la dénomination. (Art. R du CSP) Dr. MOUSTAFA Farès
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PRESCRIPTION THERAPEUTIQUE
ACTE MEDICAL PROFESSIONNEL DE SANTE 3 CODES : CSP, CSS, CD RESPONSABILITE MORALE, PROFESSIONNELLE ET JURIDIQUE OBLIGATION DE MOYEN VIS-À-VIS DU PATIENT LIMITER SES PRESCRIPTIONS A CE QUI EST NECESSAIRE A LA QUALITE, L’EFFICACITE ET LA SECURITE DES SOINS Il a une obligation de moyens vis-à-vis de son patient qu’il doit traiter selon les données acquises de la science. Enfin, l’article L CSP issu de la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé stipule : « Toute personne a, compte tenu de son état de santé et de l’urgence des interventions que celui-ci requiert, le droit de recevoir les soins les plus appropriés et de bénéficier des thérapeutiques dont l’efficacité est reconnue et qui garantissent la meilleure sécurité sanitaire au regard des connaissances médicales avérées ». Dr. MOUSTAFA Farès
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PRESCRIPTION THERAPEUTIQUE
AUTEURS DE LA PRESCRIPTION : MEDECIN CHIRURGIEN-DENTISTE SAGE-FEMME DIRECTEUR DE LABORATOIRE PEDICURES-PODOLOGUES INTERNES D’un médecin, dont la liberté de prescription, théoriquement totale, est en fait tempérée par le respect de l’AMM, la nécessaire maîtrise médicalisée des dépenses de santé et l’existence de médicaments soumis à prescription restreinte. Par ailleurs, des restrictions existent du fait du statut de certains praticiens qui se sont orientés vers l’exercice d’une médecine non prescriptive (médecine de prévention, du travail, de santé publique…). Ces praticiens ne peuvent, dans le cadre de leur exercice professionnel, prescrire que de manière exceptionnelle en cas d’urgence ou, comme les médecins retraités, au seul profit de leur entourage. D’un chirurgien-dentiste, dont la prescription doit correspondre à la prise en charge d’une pathologie bucco-dentaire (art. L CSP), D’une sage-femme, dont la prescription est encadrée par une liste de médicaments limitative et révisable (art. L CSP), D’un directeur de laboratoire d’analyse médicales, qui dispose d’une prescription limitée aux produits indispensables à la réalisation d’un examen donné, y compris pour les médicaments inscrits sur une liste de substances vénéneuses, (art. L CSP et R CSP), les pédicures podologues peuvent prescrire des topiques à usage externe figurant sur une liste fixée par arrêté du ministre chargé de la santé, à l’exclusion des spécialités renfermant des substances classées comme vénéneuses, et, par délégation de signature de leur chef de service, certains internes en poste dans les services hospitaliers. Il convient de rappeler à cet effet que toute ordonnance doit être signée lisiblement et que les « juniors » autorisés à prescrire doivent être identifiés par les médecins responsables. Dr. MOUSTAFA Farès
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PRESCRIPTION THERAPEUTIQUE
REDACTION DE LA PRESCRIPTION : APPRECIATION DU MEDECIN NOM, PRENOM, ADRESSE PROFESSIONNELLE, N° DE TELEPHONE ET DE TELECOPIE, JOURS ET HEURES DE CONSULTATIONS, QUALIFICATION. (Art. R du CSP) CLARTE ET COMPREHENSION DU PATIENT (Art. R du CSP) La prescription médicamenteuse ou non médicamenteuse, est laissée à l’appréciation du médecin. Mais elle est très étroitement encadrée par un certain nombre de règles juridiques et économiques. Le prescripteur doit intégrer à sa décision thérapeutique les niveaux de preuve scientifique, les recommandations et la situation médico-psychosociale du patient en essayant systématiquement d’évaluer le rapport bénéfices/risques. Dr. MOUSTAFA Farès
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PRESCRIPTION THERAPEUTIQUE
SYNTHESE ENTRE : MEILLEUR TRAITEMENT POSSIBLE PLUS STRICTE ECONOMIE ACCORD D’UN PATIENT INFORME CONTEXTE SOCIO-ECONOMIQUE SITUATION PSYCHOLOGIQUE INFO MEDICALES DU PATIENT PRISE EN COMPTE DES REGLEMENTATIONS Le choix du meilleur traitement possible dans une situation pathologique donnée, en tenant compte des niveaux de preuve, des recommandations et des consensus. Le référentiel du médecin est l’autorisation de mise sur le marché (AMM). Tout médecin peut prescrire hors AMM, mais il expose son patient à des difficultés de remboursement par les organismes sociaux et s’expose lui-même à la justice en cas d’accident thérapeutique et de plainte éventuelle. La prescription doit respecter les recommandations médicales opposables (RMO) et tenir compte du service médical rendu (SMR, c'est-à-dire l’intérêt du nouveau médicament dans la stratégie thérapeutique face aux médicaments du marché). Enfin, la prescription ne peut être réalisée sans tenir compte des effets indésirables potentiels et de la nécessité à chaque fois d’évaluer le rapport bénéfices/risques. La plus stricte économie. Les médecins sont tenus, dans tous leurs actes et prescriptions, d’observer, dans le cadre de la législation et de la réglementation en vigueur, la plus stricte économie compatible avec la qualité, la sécurité et l’efficacité des soins. (Art. L du CSS et Arrêté du Convention nationale des médecins) L’accord du patient qui doit être informé de l’intérêt du traitement, mais aussi des risques. L’information et l’adhésion du patient sont également des facteurs importants d’observance thérapeutique. La prise en compte du contexte socio-économique dans lequel vit le patient. La prise en compte de sa situation psychologique. La prise en compte des informations médicales concernant le malade : antécédents, âge (attention particulière pour les enfants et les patients âgés), existence d’une insuffisance rénale (nécessité de calculer la clearance de la créatinine avant toute prescription, notamment chez les patients âgés), d’une insuffisance hépatique, d’une grossesse. Les polypathologies et la polymédication nécessitent une attention particulière des prescriptions et doivent être pris en compte dans l’évaluation du rapport bénéfices/risques. La prise en compte des réglementations qui limitent ou orientent la prescription, la délivrance et la prise en charge du remboursement. Dr. MOUSTAFA Farès
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PRESCRIPTION THERAPEUTIQUE
QUE DOIT COMPORTER UNE ORDONNANCE : NOM, PRENOM, SEXE, AGE DU MALADE + POIDS POUR UN ENFANT DENOMINATION DU MEDICAMENT, POSOLOGIE, MODE D’ADMINISTRATION DUREE DU TRAITEMENT SI TRAITEMENT > 1 MOIS, LE NOMBRE DE RENOUVELLEMENT DOUBLE EXEMPLAIRE ORDONNANCES DISTINCTES Si la durée du traitement est supérieure à un mois et, dans l’attente de la mise à disposition de conditionnements de trois mois, le nombre de renouvellements par périodes maximales d’un mois dans la limite de six mois de traitement ou, pour les médicaments contraceptifs, par périodes maximales de trois mois dans la limite d’un an de traitement. L’ordonnance est rédigée en double exemplaire (l’original est la propriété du malade et le duplicata est adressé aux caisses). La rédaction de l’ordonnance impose au prescripteur d’être lisible (on ne saurait trop conseiller, en particulier, d’écrire les noms des médicaments en capitales d’imprimerie et de numéroter les différentes lignes de prescriptions), d’expliciter et de commenter chacune de ses prescriptions, notamment les moments des prises. Par ailleurs, cette rédaction ne peut intervenir qu’une fois réalisée la totalité de l’interrogatoire et de l’examen du patient, non seulement à but diagnostique mais aussi à la recherche de toutes les informations à prendre en compte pour la prescription la plus sécuritaire possible. Ceci exclut, bien entendu, de rédiger une ordonnance suite à un appel téléphonique d’un malade ou d’un membre de son entourage. Le médecin formule sur des ordonnances distinctes les prescriptions : De médicaments De produits et prestations inscrits sur la LPP (liste des produits et prestations) D’examens de laboratoires, …… Dr. MOUSTAFA Farès
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PRESCRIPTION THERAPEUTIQUE
DIFFERENTS SUPPORTS : ORDONNANCE SECURISEE ORDONNANCE BI-ZONE ORDONNANCE DE MEDICAMENTS D’EXCEPTION ORDONNANCE PAR COURRIEL L’ordonnance sécurisée Ces ordonnances sont en papier filigrané et produites par des entreprises certifiées. Elle est le support obligatoire de prescription des stupéfiants et médicaments soumis en totalité ou en partie aux même règles. (Art. R du CSP) Ses spécifications techniques sont fixées par arrêté. L’ordonnance comporte l’identification pré-imprimée du prescripteur, le numéro d’identification du lot d’ordonnances et un carré où le prescripteur doit indiquer le nombre de médicaments prescrits. Le médecin doit y préciser le nom, prénom, âge et sexe du malade. L’ordonnance doit être rédigée en toutes lettres en précisant le nom du médicament, la posologie, la voie d’administration et la durée de traitement ou le nombre d’unités de conditionnement. L’ordonnance bi-zone L’ordonnance correspondant au formulaire dit « ordonnancier bi-zone » défini par cet arrêté permet de prescrire séparément les médicaments en rapport avec l’affection de longue durée et les autres sur le même support. (Arrêté du ) L’ordonnancier bi-zone sécurisé mis en place en application de l’article R du CSP est mis à la disposition des médecins par l’assurance maladie. L’ordonnance de médicaments d’exception (Art. R CSS) La prescription de médicaments d’exception (cf. tableau II), pour des indications prévues par la fiche d’information thérapeutique, est effectuée sur un imprimé spécifique en 4 volets appelé « ordonnance de médicaments d’execption ». Celui-ci est mis à disposition des prescripteurs par les caisses d’assurance maladie. Cet imprimé doit être conforme au modèle fixé par arrêté ministériel. Le premier volet est conservé par l’assuré ; les volets 2 et 3 sont destinés à l’assurance maladie (caisse et service médical) ; le volet 4 est conservé par le pharmacien. Le médecin formule sa prescription, en indiquant la dénomination du médicament, et toutes les précisions nécessaires à la dispensation (dosage, forme, posologie, durée du traitement). Si le traitement est en rapport avec une affection de longue durée au sens de l’article L du CSS, le prescripteur le précise sur l’ordonnance de médicaments d’exception, qui tient lieu d’ordonnancier bi-zone obligatoire dans le cas d’une affection exonérante. Cette ordonnance de médicaments d’exception remplie par le prescripteur, atteste de l’adéquation de la prescription aux indications thérapeutiques. Seules les indications thérapeutiques constituent un référentiel opposable. Les autres caractéristiques décrites dans la fiche d’information thérapeutique (posologie, durée de traitement) peuvent être utiles pour apprécier la justification médicale de la thérapeutique. L’ordonnance par courriel Une ordonnance comportant des prescriptions de soins ou de médicaments peut être formulée par courriel dés lors que son auteur peut être dûment identifié, qu’elle a été établie, transmise et conservée dans des conditions propres à garantir son intégrité et sa confidentialité, et à condition qu’un examen clinique du patient ait été réalisé préalablement, sauf à titre exceptionnel en cas d’urgence. (Article 34 de la loi n° du 13 août 2004 relative à l'assurance maladie) Le texte tel qu’il est rédigé ne permet pas de savoir si le courriel est adressé à un patient ou aux professionnels de santé concernés, médecin spécialistes, auxiliaires médicaux ou pharmaciens. C’est cette dernière hypothèse qu’il faut privilégier afin d’éviter tout abus et dérive. Enfin, dans l’hypothèse de l’urgence, le médecin ne peut de contenter d’une prescription électronique mais doit inscrire cet acte qui ne peut rester isolé dans une stratégie plus globale de suivi du patient pris en charge dans l’urgence. Le Conseil national de l’Ordre des médecins mène une réflexion sur les conditions de la prescription à distance et devra déterminer les modalités de cette prescription conforme à la déontologie, les situations dans lesquelles elle sera envisageable ainsi que les responsabilités de ses auteurs. Dr. MOUSTAFA Farès
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PRESCRIPTION THERAPEUTIQUE
Cours 06/02/08 Dr. MOUSTAFA Farès
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PRESCRIPTION THERAPEUTIQUE
Dr. MOUSTAFA Farès
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Dr. MOUSTAFA Farès
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LE VIDAL OUVRAGE INDISPENSABLE DANS LA PRATIQUE DES PROFESSIONNELS DE SANTE INFO ISSUE DE L’AFSSAPS 7 SECTIONS : BLEUE JAUNE ROUGE BLANCHE SAUMON VERTE GRISE La monographie reprend l’information officielle des Résumés des Caractéristiques du Produit (RCP), issue de l’AFSSAPS. Section bleue : classement alphabétique des médicaments par principe actif (DCI, DCF ou dénomination usuelle). Section jaune : classification des médicaments par famille pharmaceutique. Section rouge : index général des spécialités Section blanche : classement alphabétique des monographies de médicaments regroupant : 5000 médicaments et 3300 monographies, pouvant être composées de 19 rubriques selon le plan européen du RCP Section saumon : index général alphabétique des monographies des produits de parapharmacie avec 4900 produits classés par ordre alphabétique dans 6 catégories spécifiques (accessoires, désinfection, diététique, hygiène et cosmétologie, réactifs et tests, thermalisme) représentant 1250 monographies. Section verte : répertoire alphabétique des établissements (laboratoires pharmaceutiques, parapharmaceutiques, stations thermales…..) Section grise : liste des génériques issus du répertoire officiel de l’AFSSAPS. Dr. MOUSTAFA Farès
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LE VIDAL PLAN DES MONOGRAPHIES TOUJOURS IDENTIQUE PLAN EUROPEEN
A LA FIN : LISTE DU MEDICAMENT N° D’AMM TAUX DE REMBOURSEMENT LABO Il comprend, dans l’ordre, la dénomination du produit comme titre de la monographie, les formes et présentations, la composition, les indications, la posologie et le mode d’administration, les contre-indications, les mises en garde et précaution d’emploi, les interactions, l’utilisation en cas de grossesse ou d’allaitement, le risque en cas de conduite ou d’utilisation de machines, les effets indésirables, le risque de surdosage et ses manifestations, la pharmacodynamie, la pharmacocinétique, la sécurité préclinique, les incompatibilité possibles, les conditions de conservation et les modalités de manipulation. Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N°1 Mme F , 25 ANS ENTORSE DE CHEVILLE DROITE
A LA RADIO : ARRACHEMENT DE LA MALLEOLE EXTERNE DROITE MISE EN PLACE D’UNE ATTELLE PLATREE POSTERIEURE DROITE QUELS SONT LES DIFFERENTS POINTS DE VOTRE INTERROGATOIRE? QUE LUI PRESCRIVEZ VOUS EN PREMIERE INTENTION? QUEL SURVEILLANCE? Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N°1 INTERROGATOIRE : ANTECEDENTS, ALLERGIE, GROSSESSE,
MOYEN DE CONTRACEPTION, TRAITEMENT EN COURS Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N°1 PRESCRIPTION :
ANTALGIQUE (DOLIPRANE®, DI-ANTALVIC®, ZALDIAR®) ANTI-INFLAMMATOIRE (PROFENID®) HBPM DOSE PREVENTIVE (LOVENOX®, FRAGMINE®) REPOS, JAMBE SURELEVEE 1 PAIRE CANNE BEQUILLE IDE A DOMICILE POUR INJECTION ET BILAN Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N°1 SURVEILLANCE : IDE A DOMICILE POUR BILAN SANGUIN
PLAQUETTES BI-HEBDOMADAIRE ORDONNANCE SEPAREE + Conseil de surveillance du membre sous plâtre Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N°2 Mr. G , 45 ANS , CHAUFFEUR ROUTIER
SCIATALGIE DROITE EVOLUANT DEPUIS 1 SEMAINE MALGRE UN TRAITEMENT PAR DI-ANTALVIC® ET PROFENID® BIEN MENE EVA A 7 IL VOUS DIT QU’IL EST SUIVI PAR UN RHUMATOLOGUE ET QUE SON TDM DATANT DE 2 MOIS REVELE UNE HERNIE L5-S1 QUE LUI PRESCRIVEZ-VOUS? SUR QUEL TYPE D’ORDONNANCE? QUEL MESURE DEVEZ VOUS PRENDRE, COMPTE-TENU DE VOTRE ORDONNANCE? Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N°2 PRESCRIPTION : MOPHINIQUE (SKENAN LP®+ ACTI-SKENAN®)+
ANTI EMETIQUE + LAXATIF EN CAS DE CONSTIPATION ORDONNANCE : Ordonnance sécurisée + Ordonnance normale PRECAUTION : Chauffeur routier donc risque de somnolence donc ARRET DE TRAVAIL Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N° 3 Mme F , 70 ANS, 70 KG ENTORSE DE CHEVILLE DROITE
A LA RADIO : ARRACHEMENT DE LA MALLEOLE EXTERNE DROITE MISE EN PLACE D’UNE ATTELLE PLATREE POSTERIEURE DROITE ATCDT : HTA, IDM. TTT : KARDEGIC, TAHOR, TRIATEC, SELOKEN, LASILIX FAITES VOUS UN BILAN? SI OUI, PKOI? Dr. MOUSTAFA Farès
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MODIFICATION DE LA PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE
CAS CLINIQUE N° 3 BILAN ? OUI PATIENTE AGEE TRAITEMENT PAR LASILIX ET IEC ET KARDEGIC DONC RISQUE D’ IREN MODIFICATION DE LA PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N° 3 IONO : Na = 144 mmol/l K = 3.3 mmol/l
HCO3 = 18 mmol/l Cl = 112 mmol/l Creat = 140 µmol/l Urée = 15.3 mmol/l Protide = 69 g/l Ca = 2.06 mmol/l 2. QUEL PRESCRIPTION FAITES VOUS ? 3. QUEL SURVEILLANCE ? Clcreat selon Cockcroft (ml / min) = {(140 - âge) x Poids } x K / créatininémie K = 1,24 (homme) ou 1,04 (femme) Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N° 3 2. ORDONNANCE :
ANTALGIQUE (DOLIPRANE®, DI-ANTALVIC®) ANTI-INFLAMMATOIRE (PROFENID®) EN DIMINUANT LA DOSE HBPM DOSE PREVENTIVE (LOVENOX®, FRAGMINE®) OU CALCIPARINE® REPOS, JAMBE SURELEVEE 1 PAIRE CANNE BEQUILLE IDE A DOMICILE POUR INJECTION ET BILAN Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N° 3 3. SURVEILLANCE : IDE A DOMICILE POUR BILAN SANGUIN
PLAQUETTES BI-HEBDOMADAIRE ET SURVEILLANCE DE LA FONCTION RENALE Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N° 4 Mme C , 45 ans
ATCDT: OH, S dépressif, hernie discale non opérée SCIATALGIE DROITE EVOLUANT DEPUIS 1 SEMAINE MALGRE UN TRAITEMENT PAR DI-ANTALVIC® ET PROFENID® BIEN MENE EVA A 7 QUE RECHERCHEZ VOUS A L’INTERROGATOIRE? Dr. MOUSTAFA Farès
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SERESTA + NORSET + STILNOX
CAS CLINIQUE N° 4 INTERROGATOIRE : ALLERGIE TRAITEMENT EN COURS SERESTA + NORSET + STILNOX LA PATIENTE DIT NE PLUS POUVOIR SUPPORTER LA DOULEUR AVEC SON TRAITEMENT ACTUEL. VOUS PRESCRIVEZ DONC UN MORPHINIQUE (SKENAN LP). Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N° 4 1 SEMAINE Mme C REVIENT AUX URGENCES AMENEES PAR LE SAMU CAR ELLE A ETE RETROUVE A TERRE CHEZ ELLE LES FENETRES OUVERTES, INCONSCIENTE, HYPOTHERME A L’EXAMEN GLASGOW A 7, MYOSIS A REACTIF BILATERALE, HYPOTHERMIE A 32°C, HYPOTENSION ARTERIELLE QUE VOUS EVOQUE CES SYMPTOMES? QUEL PEUT EN ETRE LA CAUSE? QUE FAITES VOUS POUR CONFIRMER VOTRE DIAGNOSTIC ET TRAITER LA PATIENTE? Dr. MOUSTAFA Farès
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CAS CLINIQUE N° 4 HYPOTHESE : SURDOSAGE EN MORPHINE ETIOLOGIE :
ASSOCIATION MORPHINE+BENZO+HYPNOTIQUE AYANT ENTRAINE DES INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES AVEC PROBABLE DETRESSE RESPIRATOIRE DIAGNOSTIC + TRAITEMENT : ANTIDOTE = NARCAN (NALOXONE) Dr. MOUSTAFA Farès
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LE VIDAL OU TROUVER LES RENSEIGNEMENTS DANS LES 3 MONOGRAPHIES ?
PROFENID® LOVENOX® SKENAN LP® Dr. MOUSTAFA Farès
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LE VIDAL PROFENID® Cas clinique 1 :
Dans posologies : « 3 cp de 100 /j au cours des repas » Dans contre-indications : « au-delà de 24 SA » Dans grossesse et allaitement : « foetotoxicité au 2ème et 3ème trimestres » Dans interactions : « a prendre en compte : DIU » Dr. MOUSTAFA Farès
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LE VIDAL Cas clinique 3 : Dans contre indications : « insuffisance rénale sévère » Dans mises en garde et précautions d ’emploi : « surveillance de diurèse et de la fonction rénale chez les patients avec facteurs de risques : sujets âgés » Dans interactions : « IEC, ARA II, AINS, HBPM » Dans pharmacocinétique : « excrétion : urinaire / chez le sujets âgés demi-vie d’élimination est allongée » Dr. MOUSTAFA Farès
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LE VIDAL 2. LOVENOX® Cas clinique 1 :
Dans posologie et mode d’administration : «voie sous cutanée-ceinture abdominale » « traitement prophylactique : 1 injection / j » Dans mises en garde et précautions d’emploi : « avant, évaluer la fonction rénale par la formule de Cockcroft » « surveillance biologique : plaquettaire deux fois par semaine » Dr. MOUSTAFA Farès
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LE VIDAL Cas clinique 3 : Dans contre-indication : « relatives : IRenSévère Clcréat selon Cockcroft à 30 ml/min » Dans mise en garde et précaution d’emploi : « risque hémorragique : chez le sujet âgé, en cas d’IRen » Dans interactions : « IEC, ARA II, AINS » Dans surdosage : « neutralisation par injection lente de protamine » Dr. MOUSTAFA Farès
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LE VIDAL 3. SKENAN LP® Cas clinique 2 :
Dans posologie et mode d’administration : 2 prises par jours Dans effets indésirables : «nausées, constipation » Dans conduite et utilisation de machines : « risques liés à la conduite d’un véhicule » Dans prescription/delivrance/prise en charge : « stupéfiants » Dr. MOUSTAFA Farès
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LE VIDAL Cas clinique 4 : Dans interactions : « benzodiazépines, anxiolytiques, antidépresseurs sédatifs » Dans surdosage : « somnolence, myosis extrême, hypotension, hypothermie, coma » « traitement spécifique par naloxone » Dr. MOUSTAFA Farès
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