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LA PSYCHOSE HALLUCINATOIRE CHRONIQUE

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Présentation au sujet: "LA PSYCHOSE HALLUCINATOIRE CHRONIQUE"— Transcription de la présentation:

1 LA PSYCHOSE HALLUCINATOIRE CHRONIQUE
Docteur FEUILLEBOIS

2 PLAN EPIDEMIOLOGIE DIAGNOSTIC CLINIQUE EVOLUTION TRAITEMENT

3 EPIDEMIOLOGIE 7 femmes / 1 homme. Après 35 ans.
Célibataire ou veuve, isolée socialement et affectivement. Fréquence des traits de personnalité paranoïaque.

4 DIAGNOSTIC CLINIQUE 1. Mode de début. 2. Facteurs déclenchants.
Accès psychotique aigu d’apparition brutale ou début progressif où le caractère pathologique n’est pas évident pour le patient. 2. Facteurs déclenchants. Le patient exagère la valeur causale des possibles facteurs déclenchants: séparation, décès, déménagement, perte d’emploi, maladie, rupture avec le milieu familial ou amical dans les 3 années précédentes.

5 DIAGNOSTIC CLINIQUE 3. Le délire. 3.1. Début. 3.2. Thèmes.
Brutal ou progressif. 3.2. Thèmes. Persécution, possession, grandeur, influence. Les voisins ou des inconnus sont mis en cause pour des motifs banals, sans rien d’extraordinaire. 3.3. Mécanismes. Hallucinations multiples, auditives surtout, olfactives, gustatives, visuelles ou cénesthésiques. Automatisme mental. Parfois interprétations.

6 DIAGNOSTIC CLINIQUE 3.4. Systématisation. 3.5. Adhésion.
En secteur puis en réseau. Le délire envahit progressivement les domaines socio-affectifs et professionnels. 3.5. Adhésion. Totale.

7 DIAGNOSTIC CLINIQUE 3.6. Réaction.
Participation affective, vécu sur un mode passif ou dépressif. Les patients discutent avec leurs voix, prennent des précautions, d’où des comportements pathologiques (fugues, protection des oreilles, du sexe, de leur domicile, plaintes à la police). Les réactions agressives sont rares. Possible suicide secondaire aux hallucinations.

8 EVOLUTION On retrouve un enkystement du délire.
L’évolution est chronique et d’aggravation progressive. Il peut y avoir des phases de rémission alternant avec des phases d’efflorescence du délire. Le suivi clinique et social est de mauvaise qualité.

9 TRAITEMENT 1. Hospitalisation. 2. Chimiothérapie. 3. Psychothérapie.
Selon l’état clinique. 2. Chimiothérapie. Antipsychotique atypique (ex: risperdal ou zyprexa)ou neuroleptique antiproductif (ex: haldol). Anxiolytique si besoin (benzodiazépines). 3. Psychothérapie. De soutien essentiellement pour surveiller l’enkystement du délire et prévenir les rechutes.


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