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Chapitre 13 La décolonisation
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Les empires coloniaux en 1945
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Les causes de l’ébranlement des empires coloniaux
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Les états membres de l’ONU en 1946
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La conférence de Bandoeng du 24 avril 1955
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Jawaharlal Nehru ( ) Premier ministre et ministre des Affaires étrangères en septembre 1947, il garde ces fonctions quand l'Inde devient une république (26 janvier 1950). Dès lors, il s'affirme comme le leader du non-alignement. Son prestige lui permet de jouer un rôle important à l'ONU et dans les rencontres internationales (pacte de Colombo, 1950 ; conférences de Bandung, 1955, et de Belgrade, 1961) ; en même temps, il s'efforce de moderniser son pays.Après les élections de 1962, Nehru est réélu Premier ministre : son prestige est atteint par la défaite indienne devant la Chine en 1962 et par le conflit toujours latent du Cachemire. Se débarrassant du leader de l'aile gauche de son parti, V. K. K. Menon, il évince aussi le leader de la droite, Morarji Ranchhodji Desai, frayant ainsi le chemin du pouvoir à sa fille Indira Gandhi.
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Ahmed Soekarno ( ) Homme politique indonésien, il milite dès sa jeunesse pour le mouvement nationaliste contre les Hollandais.Il fonde en le parti national indonésien. Plusieurs fois emprisonné et exilé, il est libéré au moment de l'invasion japonaise de 1942.Les Japonais l'installent comme président du Conseil. En 1945, il reste au pouvoir et proclame l'indépendance de l'Indonésie. Il en est le premier président à partir de Il met en place un régime autoritaire dont il devient le président à vie à partir de 1963.Il est cependant forcé de se retirer de la vie politique en 1967 à la suite d'un coup d'état militaire.
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Le rôle de la Chine communiste pendant la conférence
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Les répercussions dans le monde arabe
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L’antériorité de l’effondrement des Empires en Asie
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La partition de l’Inde en 1947
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Les conséquences de la partition de l’Inde en 1947
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Lord Mountbatten ( ) Il fut le dernier vice-roi de l'Inde britannique et premier gouverneur général de l'Inde indépendante. Il est mort assassiné par l'IRA provisoire. Il était l'oncle maternel du prince Philippe, duc d’Édimbourg, époux de la reine Élisabeth II du Royaume-Uni.
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Mahatma Gandhi ( ) Leader non-violent de l’indépendance de l’Inde. Il ne peut empêcher la partition de l’Inde. Il est assassiné par un nationaliste hindou le 30 janvier 1948.
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Carte de l’Indonésie
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Ho Chi Minh ( ) Hô Chi Minh conduit, de 1946 à 1954, la guerre d’indépendance qui aboutit, aux accords de Genève, à la partition du pays le long du 17e parallèle. Resté président du seul Nord-Viêt Nam, il semble s’effacer derrière d’autres personnalités politiques, comme ses anciens lieutenants Vo Nguyên Giap et Pham Van Dong, puis Lê Duc Tho. Mais l’autorité morale de « l’oncle Hô » reste inentamée.À partir de 1959, il appuie activement la guérilla du Viêt-cong, qui combat le régime pro- américain du Sud-Viêt Nam, ce qui entraîne finalement l’intervention directe des États-Unis en Pour lui, la réunification du pays a autant d’importance que la construction du socialisme au Nord. Leader charismatique, symbole de tous les mouvements de libération nationale, il meurt en 1969, trop tôt pour voir la fin de la guerre et l’entrée des Nordistes dans Saigon, rebaptisée Hô Chi Minh- Ville en 1975.
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La guerre d’Indochine 1946-1954
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Les indépendances en Afrique du Nord
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Le Maghreb
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Habib Bourguiba ( ) Leader de l’indépendance de la Tunisie. Après ses études d’avocat en France dans les années 20, il fonde en 1934 le Néo-Destour, fer de lance de l’indépendance. Plusieurs fois arrêté par les autorités françaises, il obtient par négociation l’indépendance le 20 mars Président de la République de 1957 à
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Sidi Mohammed ben Youssef (1909-1961)
Sultan du Maroc pendant le mandat français, il soutient l’Istiqlal, principal mouvement d’indépendance du Maroc depuis Déposé par les Français en 1953 et contraint à l’exil, il devient roi du Maroc après l’indépendance de son pays, sous le nom de Mohammed V.
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Pierre Mendès-France (1907-1982)
Radical socialiste et membre du second gouvernement Blum pendant le Front Populaire, il s’engage dans la Résistance. Président du Conseil et plusieurs fois ministre sous la 4ème République, il négocie les accords de Genève puis ouvre les négociations qui amènent l’indépendance de la Tunisie et du Maroc.
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Messali Hadj ( ) Né dans une famille de notables appauvris par la colonisation il devient en 1926 le leader de l’Etoile africaine. Il fonde en le PPA. Placé en résidence surveillé, il fonde en 1946 le MTLD. Il est la principale figure du nationalisme algérien dans les années 50. Mais il est progressivement évincé au profit du FLN. Il meurt en France en
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Fehrat Abbas ( ) Fils de caïd né dans le Constantinois, il effectue des études de pharmacie. Proche des Jeunes Algériens, il milite d’abord pour l’assimilation. Mais l’échec du projet Blum- Violette l’éloigne de ces positions. Il rédige en le Manifeste du Peuple algérien et défend l’idée d’une Algérie autonome associé à la France. Arrêté après les émeutes de Sétif, il fonde l’UDMA puis il rallie le FLN à la fin de Président du GPRA, il est exclut du FLN en et placé en résidence surveillée.
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Mohamed Boudiaf ( ) Chef fondateur du FLN en 1954, il est membre du GPRF mais entre en opposition avec les premiers régimes qui suivent l’indépendance. Il s’exile au Maroc pendant 28 ans. Il revient au pouvoir dans le contexte de la guerre civile de 1992 où il est placé à la tête du Haut Comité de l’Etat. Il est alors assassiné après six mois de fonctions.
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Ahmed Ben Bella ( ) Un des neuf chefs du CRUA, futur FLN, il devient le premier président de la République algérienne jusqu’en Le coup d’état du colonel Houari Boumédiène met fin à ses fonctions.
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Les chefs historiques du FLN
Organisateurs de la « Toussaint Rouge » pour la plupart et originaires de la moitié orientale du pays (Alger, Kabylie, Constantinois) ils entendent diriger collectivement le FLN- ALN. L’interception de l’avion marocain qui transportaient 5 d’entre eux vers Le Caire entraîne l’aggravation des luttes entre eux.
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Putsch des généraux du 21 au 22 avril 1961
Edmond Jouhaud – Raoul Salan – Maurice Challe – André Zeller
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Les indépendances en Afrique noire
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Empires coloniaux en Afrique en 1920
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Carte actuelle de l’Afrique
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Félix Houphoïet Boigny (1905-1993)
Député à l’ANC en octobre 1945, il participe à l’élaboration de la constitution de la 4ème République. Il est l’auteur de la loi qui abolit le travail forcé. Il reste ensuite député à l’Assemblée nationale et est plusieurs fois ministre. Dans le contexte de la loi-cadre Deferre de 1956, il prépare l’accession de la Côte d’Ivoire à l’indépendance. Il en est le président jusqu’à sa mort.
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Leopold Sédar Senghor (1906-2001)
Agrégé de grammaire puis académicien, il côtoie Georges Pompidou au lycée Louis le Grand dans les années 30. Partisan d’un système fédéraliste africain uni avec l’ancienne métropole, il voit ce projet s’effondrer et devient le premier président de la République du Sénégal de 1960 à 1980.
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Un monde décolonisé aux multiples visages
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Les regroupements régionaux
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L’Union africaine
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Les interventions militaires françaises en Afrique depuis 1960
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