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Les machines asynchrones
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Mat de 1893, 7,5 kW 1700 tr/min, 50 V
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Mat 0,75 kW 1970-…
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Les machines asynchrones
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80% des moteurs électriques sont des moteurs asynchrones
Les machines asynchrones sont surtout utilisées comme moteurs. 80% des moteurs électriques sont des moteurs asynchrones Les moteurs asynchrones sont très robustes Leur gamme de puissance s’étale de quelques watts à une dizaine de mégawatts.
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Constitution de la machine asynchrone
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La machine asynchrone est constituée d ’un stator
semblable à celui d ’une machine synchrone. Ce stator, alimenté par des courants triphasés, produit un champ magnétique tournant (cf th de Ferraris).
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Le stator
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Plaque à bornes Plaque signalétique
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Carcasse usinée
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Stator avant bobinage
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Stator après bobinage
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Le rotor
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Rotor en cage d ’écureuil
Le rotor est constitué d ’un ensemble de conducteurs en court-circuit appelé « cage d ’écureuil »
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Cage d ’écureuil en aluminium moulé
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Rotor en cage d ’écureuil
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Rotor bobiné rhéostat
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les 3 bagues d ’un rotor bobiné
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La plaque signalétique
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Plaque signalétique Fréquence des courants statoriques puissance cos vitesse nominale rendement nombre de phases
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Plaque signalétique tension maximum aux bornes d ’un enroulement tension maximum entre l ’extrémité d ’un enroulement et le neutre
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Plaque signalétique intensité normale absorbée sur les lignes pour un couplage triangle intensité normale absorbée sur les lignes pour un couplage étoile Température maximale d ’utilisation
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Plaque signalétique classe de l ’isolement Service continu
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Plaque signalétique indice de protection IP
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Indice de protection IP
premier chiffre = degré de protection des personnes contre l’accès aux parties dangereuses et la protection des matériels contre la pénétration des corps étrangers deuxième chiffre =degré de protection contre les effets nuisibles de la pénétration de l’eau protection maximum = IP 66 IP 54 = protection contre la pénétration des poussières et protection contre les projections d ’eau
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Plaque signalétique
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Plaque signalétique IP 55 = protection contre la pénétration des poussières et protection contre les jets d ’eau
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Plaque signalétique
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Disposition des enroulements du stator à partir
de la plaque à bornes plaque à bornes lamelle de cuivre
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Couplage en étoile 1 2 3
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Couplage en triangle 1 2 3
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Principe de fonctionnement de la machine asynchrone
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Stator tétrapolaire par exemple
N S
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N S
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rotor N S
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N S
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N S S N
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N S S N
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Mise en rotation du rotor
stator Le pôle nord stator tire le pôle sud rotor N N Le pôle sud stator repousse le pôle sud rotor S S rotor
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Apparition des pôle dans le rotor
N Le flux diminue S S N
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S Apparition des pôle dans le rotor flux rotorique induit N
courant rotorique induit flux rotorique induit S N S S N
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Sur la périphérie du rotor, il y a nécessairement autant
de pôles que sur le stator; cela résulte de leur nature : ce sont des pôles induits Ces pôles tournent à la même vitesse de rotation que ceux du stator L ’attraction/répulsion mutuelle entre pôles statoriques et rotoriques développe le couple moteur; ce couple est le couple électromagnétique
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Le couple électromagnétique résulte des courants
induits, et donc des variations de flux. Si le rotor tourne à la même vitesse que le stator, il n ’y a plus de variation de flux. Donc le rotor ne peut tourner qu’à une vitesse inférieure à celle du champ statorique. La vitesse de synchronisme ne peut en aucun cas être atteinte (en fonctionnement moteur). D’où le nom de machine asynchrone.
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Le rotor tourne à une vitesse Nr<Ns inférieure à celle du
champ statorique. Le rotor glisse donc par rapport à ses propres pôles. Ce glissement provoque une perte d ’énergie qui lui est proportionnelle.
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Comparaison mécanique
N S rotor S N
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Comparaison mécanique
Entraînement par friction, (embrayage) N S N S ’ rotor S N
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Bilan de puissance du moteur asynchrone
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Puissance absorbée Pa=3.V1.J1.cos1 Puissance utile Pu= Cu.(2.Nr)
Pertes magnétiques stator Pertes Joule stator Puissance transmise au rotor Pe= Ce.(2.Ns) Pertes magnétiques rotor0 Pertes Joule rotor Puissance mécanique Pm= Ce.(2.Nr) Pertes mécaniques Puissance utile Pu= Cu.(2.Nr)
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stator rotor Puissance absorbée Pa=3.V1.J1.cos1 Puissance utile
Pertes Joule stator Pertes magnétiques stator Puissance transmise au rotor Pe= Ce.(2.Ns) Pertes Joule rotor Pertes magnétiques rotor0 Puissance mécanique Pm= Ce.(2.Nr) Pertes mécaniques Puissance utile Pu= Cu.(2.Nr) stator rotor
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Puissance absorbée Pa=3.V1.J1.cos1
Pertes Joule stator Pertes magnétiques stator Puissance transmise au rotor Pe= Ce.(2.Ns) Pertes Joule rotor Pertes magnétiques rotor0 Puissance mécanique Pm= Ce.(2.Nr) Pertes mécaniques Puissance utile Pu= Cu.(2.Nr) La transmission de puissance au rotor se fait avec perte de vitesse mais à couple constant
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Pjr = Ce.2.Ns-Ce. 2.Nr = C. 2.(Ns-Nr)
Puissance transmise au rotor Pe= Ce.(2.Ns) Pertes Joule rotor Pertes magnétiques rotor0 Puissance mécanique Pm= Ce.(2.Nr) La différence de puissance est perdue par effet Joule dans le rotor Pjr = Ce.2.Ns-Ce. 2.Nr = C. 2.(Ns-Nr) Introduisons le glissement : g = Ns - Nr Ns
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pjr = g. 2.Ce.Ns = g.Pe = Pu Pa Pu Pm Pe Pa < = Pm Pe = N Ns
Rendement : = Pu Pa Pu Pm Pe Pa < = . Pm Pe = N Ns 1 - g < N Ns = 1 - g
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Modélisation de la machine asynchrone
Etablissement du modèle électrique d ’une phase de la machine asynchrone
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La machine asynchrone est un transformateur à
champ tournant. Soit I1 le courant d ’une phase statorique, soit I2 le courant d ’une phase rotorique. Ces courants engendrent des forces magnétomotrices tournantes de vitesse Ns : n’1I1 et n’2I2, n’1et n’2 étant les nombres de spires de chaque enroulement corrigés par les coefficients de Kapp.
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R1 I1F I10 n’1 I1 l1 stator = primaire R2 n’2 l2 rotor = secondaire
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Quelle est la fréquence des courants rotorique ?
La vitesse relative de l ’induction statorique / au rotor est : Ns - Nr = g . Ns Le rotor ayant p paires de pôles, la fréquence des f.é.m. rotoriques est donc : = (2.f)/p fr = p. (g.Ns) Or Ns = f/p Donc fr = g.f
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V2 = 0 = j n ’2(g) - j (g) l2 I2 - R2 I2
V1 = j n ’1 + j l1 I1 + R1 I1 Pour une phase du stator : V2 = 0 = j n ’2(g) - j (g) l2 I2 - R2 I2 Pour une phase du rotor : 0 = j n ’2 - j l2 I2 - R2 I2 g
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g l1 l2 n’1 n’2 R1 I1F I10 I1 stator = primaire R2
rotor = secondaire g
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l1 l2 n’1 n’2 R1 I1F I10 I1 stator = primaire R2/g
rotor = secondaire I2
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ls n’2 n’1 Pertes fer R1(n ’2/n ’1)2 I1 I2 I1F I10 R2/g Pe
Pertes Joule stator n’2 n’1 rotor = secondaire stator = primaire
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Couple et courant à glissement faible
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n’2 n’1 On suppose : R2/g >> ls et on néglige R1(n ’2/n ’1)2
Le schéma équivalent devient : I1F I10 n’1 I1 R2/g n’2 I2
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I1 I2 I1F I10 R2/g n 2’ g V1 I2 = n 1’ R2 Soit : n 2’ g I1 = I1v + V1
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V1 I10 I1V I1 1 I1F 2 n 2’ n 1’ V1 g R2
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Si N augmente : g diminue
V1 I10 I1V I1 1 I1F 2 n 2’ n 1’ V1 g R2
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Si N diminue, g augmente V1 I10 I1V I1 1 I1F 2 n 2’ n 1’ V1 g R2
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n 2’ R2 R2 V1 I22 = Ce Pe = 3 = 3 n 1’ g g Soit : n 2’ g 3 g V1 Ce =
= k V12 g R2 Ce N Ns g=1 g=0
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3 MAT de 0,18 kW à 45 kW
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Couple et courant à fort glissement
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I2 = I2 = n 2’ 1 V1 n 1’ R2 R1 + j ls g j ls Considérant que
R1(n ’2/n ’1)2 ls I1 I2 I1F I10 R2/g n’2 n’1 I2 = n 2’ n 1’ V1 g R2 1 R1 2 + j ls Considérant que R1 n 2’ n 1’ 2 << j ls I2 = n 2’ n 1’ V1 g R2 1 + j ls
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n 2’ 1 3 V1 Ce = s n 1’ R2 + 2 ls2 g n 2’ 1 3 Ce = V1 s ls n 1’
g ls R2 1 + ls
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R2 g0 = ls Ce = V1 g 1 + g0 K . Ce est max pour g = g0 soit Ce max =
K V12 2 k V12 f 2. 2 = = k ’. V12 f2
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g << g0 Ce = K V12 g g0 g g0 g >> g0 Ce = K V12 g Ce Ns g0
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zone de fonctionnement
en moteur Ce zone de fonctionnement en générateur Cmax N Ns g =1 g = 0
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Influence d ’une variation de la tension d ’alimentation statorique sur la caractéristique mécanique
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Ce Cmax (V1=U) Cmax (V1=V) Ns N
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Ce couple au démarrage en couple au démarrage en Y Ns N
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Démarreur étoile/triangle
KM2 KM3 KM1 KM1 M 3 ~
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Influence d ’une variation de la fréquence des tensions statoriques
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Ce V/f = cte Cmax = cte 25 50 75 100 N
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Influence d ’une variation de la résistance rotorique sur la caractéristique mécanique
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Ce R2 R ’’2> R ’2 R ’2> R2 Cmax=cte N
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R ’’’2 R2 Ce R ’’’2 + R2 couple au démarrage N
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R ’’2 R2 Ce R ’’2 + R2 N
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R ’2 R2 Ce R ’2 + R2
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R2 Ce R2
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R ’’’2 R2 Ce R ’’’2 + R2 couple au démarrage couple résistant N
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d Cmot - Crésist = J Vitesse atteinte = 0 dt Ce couple résistant N
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R ’’2 R2 Ce R ’’2 + R2 couple résistant N
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d Cmot - Crésist = J = 0 dt Vitesse atteinte R ’’2 + R2
Ce R ’’2 + R2 couple résistant N
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R ’2 R2 Ce R ’2 + R2
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Cmot - Crésist = J d dt >0 Cmot - Crésist = J d dt >0
Ce R ’2 + R2 couple résistant N
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R2 Ce R2 couple résistant
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d Cmot - Crésist = J = 0 dt Ce R2 R ’2 + R2 couple résistant N
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Freinage du moteur asynchrone
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Lors de l ’arrêt d ’une machine, il est souvent nécessaire de
réduire le temps de décélération dû à la seule inertie des parties tournantes. Le freinage électrique offre l ’avantage de ne mettre en œuvre aucune pièce d ’usure. Dans certains cas, l ’énergie mécanique récupérée peut être réinjectée sur le réseau électrique.
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Freinage du moteur asynchrone
Freinage par injection de courant continu
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~ ~ Freinage par injection de courant continu d ’un moteur
à cage d ’écureuil : M 3 ~ freinage M 3 ~ fonctionnement
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Freinage par injection de courant continu
Ce N couple de freinage
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Réglage du freinage par injection de courant continu
d ’un moteur à cage d ’écureuil : Ce N couple de freinage couple de freinage
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~ ~ ~ ~ Freinage par injection de courant continu d ’un moteur
à rotor bobiné M 3 ~ freinage M 3 ~ démarrage M 3 ~ M 3 ~ fonctionnement
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Réglage du freinage par injection de courant continu d ’un moteur à rotor bobiné :
Ce N couple de freinage
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Freinage du moteur asynchrone
Freinage par contre courant
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~ ~ ~ ~ Freinage par contre-courant d ’un moteur à rotor bobiné
3 ~ freinage M 3 ~ démarrage M 3 ~ M 3 ~ fonctionnement
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~ ~ Freinage en contre courant d ’un moteur à cage freinage
3 ~ freinage M 3 ~ fonctionnement
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Freinage par contre-courant
Ce couple de freinage N
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Freinage du moteur asynchrone
Freinage hyper synchrone
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Freinage hyper synchrone ou « naturel »
zone de fonctionnement en moteur Ce zone de fonctionnement en générateur Cmax N Ns g =1 couple de freinage g = 0
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De l ’utilité de réduire la résistance insérée au rotor lors du freinage hyper synchrone :
N couple de freinage
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That’s all Folks !
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