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Publié parAntoinette Lamarche Modifié depuis plus de 9 années
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Il se croyait indispensable
Il se croyait indispensable. Il fallait qu’il soit partout, qu’il vérifie tout, qu’il travaille tout. Il avait l’impression d’être une bête de somme, un bourreau de travail, même un petit martyr. Sans s’en rendre compte, il était presque rendu à penser que la terre ne tournerait pas rond s’il n’était pas là pour s’en occuper…
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On l’entendait souvent se plaindre: « Il faut que je m’occupe de tout ici… Ah! que j’ai de l’ouvrage! » Mais personne ne lui demandait d’en faire autant. Comme il avait tout pris, il ne restait plus rien à faire pour les autres.
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Fatigué, il était devenu fatigant; énervé, il était devenu énervant; essoufflé, il était essoufflant. Se supportant à peine, il était devenu insupportable. Il ne fallait pas grand-chose pour le voir « grimper dans tous les rideaux » de la maison. Dire son fait à qui « se mettait dans ses jambes » et crier que « tout le monde le persécutait ».
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Du coup, sa pression montait et faisait monter celle des autres
Du coup, sa pression montait et faisait monter celle des autres. À force de vouloir tout faire, tout voir, tout savoir, tout pouvoir, il n’était plus capable de distinguer les choses essentielles des secondaires: les souris étaient aussi importantes que les montagnes, il s’enfargeait dans les fleurs du tapis et se morfondait pour des chiures de mouches. Il ne connaissait pas la douceur d’une bonne chaise berçante pour se détendre, la tendresse d’une bonne veillée avec des amis pour se reposer, le calme de bonnes vacances pour se refaire.
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Il n’avait pas le temps… Il ne prenait pas le temps de penser à lui pour ensuite mieux penser aux autres. Il ne tarda pas à avoir des crampes à l’estomac, à ressentir des serrements au cœur et à entendre des coups de marteau dans sa tête. Le médecin le mit au repose pour six mois.
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Ce fut dur à accepter: réduit à l’inaction subite
Ce fut dur à accepter: réduit à l’inaction subite. Il ne savait plus « quoi faire » comment occuper ses loisirs, lui qui n’en avait jamais pris. Il avait réellement l’impression de perdre son temps. Mais petit à petit, la mousse sur le verre de bière de son âme se mit à descendre, la vague sur son lac intérieur se calma.
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Alors, il se surprit à découvrir la beauté de la prière gratuite, la saveur du calme de la nuit, la valeur du temps « perdu ». Bien plus, quand il revint au travail, il s’aperçut que le monde avait continué de marcher sans lui, que la terre tournait toujours, même s’il n’avait pas été là. Alors, il commença à vivre: il découvrit à sa grande surprise, que les gens et lui-même avaient un cœur pour aimer et pas seulement deux bras pour travailler.
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Et la vie fut tellement plus belle pour lui et les autres…
Seul Dieu est indispensable!!!
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