Une approche globale du développement durable. Un constat Une pratique très ancienne mais tombée en désuétude : Le « solaire » mise en service à la fin.

Présentation au sujet: "Une approche globale du développement durable. Un constat Une pratique très ancienne mais tombée en désuétude : Le « solaire » mise en service à la fin."— Transcription de la présentation:

1 Une approche globale du développement durable

2 Un constat Une pratique très ancienne mais tombée en désuétude : Le « solaire » mise en service à la fin des années 1970 à Bourgoin-Jallieu, des résidences datant de la même époque avec des murs trombe, des pompes à chaleur air-air, etc…. Un défaut dimage de marque sur ce domaine :

3 Une démarche visant à créer une véritable culture dentreprise Un plan daction devant toucher tous les collaborateurs, quelle que soit leur activité La nécessité dune approche globale

4 Un plan daction en cinq axes Mobilisation de lensemble des collaborateurs: Formation – sensibilisation de lensemble du personnel aux enjeux du développement durable, formations « expert » des techniciens Sensibilisation des locataires: rubrique récurrente dans PLURIEL, Kit vert, fiches vertes lors de lentrée dans les lieux, fichez vertes spécifiques, etc … Implication de lentreprise : performance énergétique des locaux, éclairage, déchets, politique dachat, déplacements, etc… Amélioration du patrimoine : prise en compte du développement durable et tout particulièrement de lefficacité énergétique dans chacune de nos interventions (plan dentretien) Offre nouvelle aux standards du XXI ème siècle : Optimisation systématique de la performance (THPE, BBC, Passif, Bepos)

5 Des partenaires Partenaires opérationnels : A.L.E. & A.G.E.D.E.N (Agence locale de lEnergie – METRO & département) Partenaires financiers : A.D.E.M.E. et Région Rhône-Alpes principalement Et un engagement triennal

6 « La Petite Chartreuse » Un projet « phare » inscrit dans une démarche dentreprise : donner du sens et mobiliser tous les collaborateurs La volonté dune expérimentation : dépasser les a priori, identifier les difficultés, objectiver, etc… Un projet évolutif : le standard « passif » par « accident » : Un « architecte-militant », une approche par itération, des partenaires impliqués (CAUE, ALE, AGEDEN notamment) Une approche globale : Conception, réalisation, utilisation

7 Au stade de la conception Une maîtrise dœuvre « intégrée » : les aspects techniques doivent être intégrés en même temps que la conception. Un architecte « militant » : loptimisation du projet nécessite une conception par itération La question de létanchéité à lair ! ! ! Une révolution culturelle pour les concepteurs, les entreprises et les utilisateurs Une approche financière spécifique …

8 Au stade de la réalisation Le choix des entreprises est déterminant : leur volonté de sinscrire dans une expérimentation La disponibilité des équipements doit être prise en compte au plus tôt : disponibilité mais aussi la problématique de lentretien (qui, à quel coût) La formation des acteurs : un lot « formation »

9 Lutilisation Le choix des habitants doit intégrer la dimension expérimentale : quasi absence de chauffage, étanchéité à lair, etc.. Laccompagnement des habitants : fiches vertes spécifiques, sensibilisation, extention de la démarche aux équipements privés, etc… La spécificité de lentretien des équipements : puit canadien, pompe à chaleur triple action (solaire, air-air, puit à saumure) Une évaluation en continu indispensable :

10 A lheure du bilan Un retour dexpérience à mettre en forme : - rédaction dun document (en cours) Dès à présent, et pêle-mêle : –Implication de larchi => OK (primordial !) –Financements => des évolutions mais très insuffisant hors certains contextes –Entreprises => bien que très motivées, de vraies difficultés en particulier sur étanchéité à lair –Utilisateur => il est encore trop tôt

11 En conclusion (à ce stade) Limportance dune démarche transversale mobilisant toute lentreprise De nombreux points de vigilance : qualité de la maîtrise dœuvre, des entreprises, accompagnement des locataires, etc… Des questions en suspend : financement, responsabilité de la maîtrise dœuvre et des entreprises De (très) fortes inquiétudes : la qualité de la mise en œuvre et notamment la capacité à mettre en œuvre létanchéité à lair