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Recommandations Enquête Nationale sur le Handicap 2004

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Présentation au sujet: "Recommandations Enquête Nationale sur le Handicap 2004"— Transcription de la présentation:

1 Recommandations Enquête Nationale sur le Handicap 2004
Royaume du Maroc Secrétariat d’Etat chargé de la Famille, de l’Enfance et des Personnes Handicapées Enquête Nationale sur le Handicap 2004 Recommandations Pour l’élaboration de politiques, stratégies et programmes d’action dans le domaine du handicap Avec le soutien de l’Union Européenne

2 Les recommandations qui suivent sont une synthèse :
De l’analyse des causes des déficiences à l’origine des situations de handicap. Des constats effectués sur les barrières médicales, sociales, économiques, culturelles, environnementales, etc. qui freinent l’intégration des personnes en situation de handicap. Des principaux problèmes déclarés et besoins exprimés par les personnes en situation de handicap. Des propositions des acteurs rencontrés pour améliorer l’impact et la qualité des actions de prévention et d’appui à l’intégration de ces personnes.

3 Principes fondamentaux
1. Respect des droits comme fondement du développement personnel. 2. Priorité aux approches intégratives. 3. Liberté de choix pour les personnes en situation de handicap. 4. Le sens de la démarche compte autant que les résultats atteints à court et moyen termes. 5. Renforcement massif des financements. 6. Formation des personnels de prise en charge et d’appui : première priorité dans le domaine de la prise en charge. 7. Mise en place de cadres et de normes. 8. Prise en compte des facteurs personnels et environnementaux lors de l’élaboration des mesures d’appui. 9. Coordination, consolidation et mise en synergie de toutes les initiatives.

4 Prévention des troubles de santé à l’origine des situations de handicap
Cinq priorités

5 Pathologies périnatales et néonatales, congénitales ou acquises durant les cinq premières années de vie. Information / Education / Communication (IEC) auprès des couples, des femmes sur l’importance de l’encadrement médical de la grossesse et de l’accouchement. Vaccination / revaccination contre la rubéole des adolescentes. Systématisation chez les femmes enceintes des tests de dépistage précoce des anomalies congénitales anténatales. Identification des familles à risque : conseil génétique et diagnostic anténatal. Recherche des risques toxiques, infectieux, carentiels, nutritionnels. Maisons d’accouchements, à proximité des populations, dotées d’obstétriciens et de sages-femmes correctement formés et d’équipements adéquats. Augmentation des effectifs de pédiatres spécialisés en néonatalogie.

6 Pathologies de la petite enfance
Pathologies de la petite enfance. Tuberculose, maladies carencielles, diarrhées, traumatismes. Amélioration de la couverture vaccinale de la petite enfance. IEC auprès des mères sur l’amélioration de l’hygiène de vie et de la nutrition de leurs enfants. IEC auprès des parents pour les amener à utiliser les techniques de réhydratation orale en cas de déshydratation de leurs enfants. IEC auprès des parents pour ne pas tarder pas à utiliser les services de santé en cas de problème de santé chez leurs enfants. Formation de la population marocaine aux premiers secours et aux mesures de prévention des accidents, domestiques en particulier.

7 Maladies infectieuses et parasitaires
Maladies infectieuses et parasitaires. RAA, trachome, tuberculose et infections de la sphère ORL. Amélioration de la couverture vaccinale (vaccination et revaccination des maladies cibles du programme national de vaccination). Accès aux traitements des streptococcies (RAA en particulier), staphylococcies, méningococcies, des infections virales (SIDA) et bactériennes, de la tuberculose, etc. IEC auprès des populations à l’hygiène de vie et alimentaire (trachome, diarrhées et déshydratation), à la prévention des MST (syphilis, Sida). IEC auprès des populations pour une utilisation rapide des services de santé, même en cas d’infections bénignes (otites) et / ou courantes (diarrhées). Identification des communautés à risques et des mesures sociales et sanitaires appropriées pour la tuberculose, les hépatites B et C et les MST essentiellement.

8 Traumatismes et accidents.
IEC auprès des populations sur les risques mortels et morbides liés aux accidents, de la route et domestiques en premier lieu. Répression accrue des infractions au code de la route, aménagement du réseau routier, renforcement de la formation à la conduite automobile. Renforcement de la législation du travail et surtout de son application dans le domaine des accidents du travail. Amélioration des moyens de gestion des blessés (évacuation, rapidité de prise en charge en urgence et/ou conditionnement sur site). Formation des citoyens marocains au secourisme. Renforcement de la médecine du travail et de la prévention des maladies professionnelles.

9 Maladies cardiovasculaires et métaboliques
Maladies cardiovasculaires et métaboliques. Hypertension, très souvent associée au diabète et au surpoids. Prévention du RAA : diagnostic précoce et traitement des angines et infections buccodentaires à streptocoques, accès des patients à la pénicilline. Prévention, chez les adultes jeunes, voire chez les enfants, des pathologies aggravées par le mode de vie, le tabagisme et la sédentarité : HTA, diabète, obésité, etc. : IEC auprès des populations sur les facteurs de risques : sédentarité, régimes riches en graisse et en sucre, tabagisme, alcoolisme, antécédents familiaux, etc. Amélioration des dépistages précoces de ces maladies. Amélioration de l’acces des patients aux examens de surveillance et aux traitements chroniques. Education des patients à l’auto prise en charge de ces maladies. Formation des personnels médicaux / paramédicaux à ces démarches avec les patients.

10 Accès aux soins et aux médicaments
Renforcement des mécanismes d’exonération. Intégration des PSH dans le RAMED pour les personnes non affiliées à l’AMO. Facilitation des démarches d’obtention de certificats d’indigence / carte d’invalidité. Exonération partielle ou totale des coûts des soins médicaux / paramédicaux, des médicaments et des aides techniques pour les personnes à faibles revenus. Renforcement des mécanismes de financement des soins des PSH. Mise en place d’une nomenclature des actes de rééducation / réadaptation pour permettre leur remboursement par l’assurance maladie. Renforcement des formations des personnels. Amélioration de l’accessibilité générale (architecturale, organisationnelle, sociale, etc.) des services de santé aux besoins spécifiques des PSH. Education à la santé et renforcement de l’accompagnement des familles pour favoriser / faciliter leur accès aux soins.

11 Accès à la rééducation Des systèmes homologués de formations médicales et paramédicales, répondant à l’ensemble des besoins : Médecins spécialistes en médecine physique et réadaptation. Kinésithérapeutes, ergothérapeutes, psychomotriciens. Orthophonistes, orthoptistes. Orthoprothésistes, podo-orthésistes. Psychologues cliniciens, éducateurs spécialisés, infirmiers spécialisés. Spécialistes handisports. Des centres de référence au niveau provincial pour : Garantir l’exactitude des diagnostics initiaux pour une meilleure référence. Assurer une prise en charge multidisciplinaire des patients. Assurer la prise en charge des cas les plus compliqués. Assurer le lien et la coordination avec l’environnement des PSH (familles, associations, autres services publics), pour l’accompagnement de ces personnes et de leurs familles dans la prise en charge du handicap.

12 Accès aux aides techniques
Appareillages orthopédiques : Coordination, harmonisation et encadrement des multiples initiatives. Elaboration d’une nomenclature nationale des appareillages orthopédiques et des actes de rééducation. Mise en place de normes à respecter par tout centre orthopédique et de systèmes de contrôle et cadrage. Extension et harmonisation de la couverture géographiques des centres orthopédiques. Développement de la formation initiale et continue des techniciens. Renforcement de l’accompagnement des patients pour faciliter l’accès à l’appareillage. Renforcement des systèmes de financement des centres orthopédiques. Développement de la production locale de composants. Autres types d’aides techniques : Renforcement de l’accès aux diagnostics et appui financier pour l’acquisition.

13 Accès aux aides humaines
Développer, via les programmes RBC et le réseau des associations, la formation des aidants familiaux (parents, enfants, conjoints, frères et sœurs, etc.), pour : Accompagner les personnes en situation de handicap au quotidien. Suivre l’évolution des troubles de santé à l’origine des situations de handicap, anticiper et la prévenir les complications. Favoriser au domicile et par l’utilisation des services extérieurs les démarches de rééducation / réadaptation. Favoriser l’autonomie, l’intégration sociale, professionnelle si possible, la participation sociale des personnes en situation de handicap. Mieux utiliser les services de l’environnement (d’Etat, associatifs, privés, etc.). Développer l’aménagement des espaces, l’adaptation de l’organisation familiale en fonction des besoins des personnes en situation de handicap. Avec ces deux réseaux, développer également la formation d’auxiliaires de vie sociale.

14 Aides sociales Allocations, calculées en fonction des revenus et des besoins des personnes, pour les aider à : Acccéder aux soins, aux produits de première nécessité, au logement digne, à l’éducation, la formation supérieure / professionnelle, aux loisirs, à la culture, etc. Acquérir des aides techniques. Rémunérer des aides humaines, des centres d’accueils. Aménager les espaces familiaux. Gratuité, réduction des coûts des soins généraux / spécialisés, des aides techniques. Droits spécifiques : transport gratuit, accès facilité à certaines professions, réduction des tarifs, etc. Facilités pour l’obtention d’autorisations administratives de fonctionnement, de licences d’exploitation, etc.

15 Accès à l’éducation Renforcement de la santé scolaire par une amélioration des capacités : De dépistage précoce, des troubles de santé et des maladies à l’origine des situations de handicap et des retards de développement, des troubles du comportement, des perturbations fortes de scolarité, nécessitant une prise en charge spécifique.        D’évaluation précise des capacités et limitations, des besoins en rééducation, en adaptations des pédagogies et des modes d’organisation de la scolarité De suivi et traitement des complications des troubles de santé de façon générale. Renforcement des mécanismes d’orientation des enfants par l’appui en formation et technique aux commissions en charge de ce travail pour : Solliciter les services compétents de la Santé pour établir des diagnostics précis et complets, des troubles de santé des enfants, de leurs besoins en rééducation, réadaptation, mesures éducatives spéciales, accompagnement, traitement. Construire avec les familles des projets éducatifs définissant clairement les objectifs à atteindre et les actions à mettre en œuvre pour les réaliser. Proposer aux familles des choix d’orientation vers des structures ordinaires ou spécialisées pour la mise en œuvre de ces projets personnalisés, avec des évaluations conjointes régulières, pour d’éventuelles réorientations .

16 Accès à l’éducation Renforcement de l’accessibilité des écoles ordinaires : IEC auprès des familles pour favoriser la scolarisation des enfants et informer sur les capacités des écoles ordinaires à l’assurer ou à trouver des voies alternatives.        IEC au sein des écoles (responsables, enseignants, élèves, parents) sur l’intégration des enfants handicapés, pour réduire les attitudes négativesà l’égard de ces enfants.        Renforcement global des accessibilités architecturales, organisationnelles, pédagogiques, sociales, des modes de communication, etc. au sein des écoles.        Cahier des charges précis de cette accessibilité globale, à respecter progressivement pour les écoles déjà existantes et dès leur ouverture pour les nouvelles.        Développement des effectifs d’auxiliaires de vie scolaire.        Institutionnalisation des projets éducatifs personnalisés, avec mesures d’accompagnement médical, paramédical, social, éducatif pour garantir le bon déroulement de la scolarité. Renforcement des liens des écoles avec les familles, les services de santé, les associations, pour accompagner la scolarité des enfants.        Former les professeurs et personnels encadrants à ces démarches.       

17 Accès à l’éducation Renforcement des systèmes de formation des enseignants : Systèmes homologués et décentralisés Information Sensibilisation pour les personnels encadrants Formation Initiale de base pour tous les enseignants Formation en Spécialité pour les enseignants des classes intégrées Problématique du handicap. Pratiques rééducatives.  Besoins éducatifs spécifiques / Pédagogies différenciées / Projets individualisés. Utilisation du matériel éducatif spécialisé / Adaptation du matériel classique. Connaissance des aides techniques existantes. Travail en équipe pluridisciplinaire. Socio psychologie de l’éducation des enfants en situation de handicap. Autonomisation et la socialisation. Accompagnement des parents.

18 Accès à l’éducation Multiplication et extension de la couverture géographique des classes intégrées Renforcement de l’organisation des classes intégrées : Meilleure homogénéité des effectifs d’enfants, en termes de classes d’âges et de types de handicap.        Allègement des effectifs, variables, selon le type et la gravité du handicap des enfants. Amélioration des équipements. Renforcement des liens entre classes spécialisées et classes ordinaires : enseignements partagés, moments récréatifs communs. Extension des enseignements des classes intégrées jusqu’à la fin du secondaire

19 Accès à l’éducation Multiplication des structures de scolarisation spécialisées Soutien financier et technique pour le développement de nouvelles structures et le renforcement de celles existantes.        Contrôle technique et administratif, accréditation de ces structures, pour renforcer leurs standards de qualité et mieux les insérer dans des dispositifs d’appui de l’Etat.      Développement des mécanismes de formation continue des personnels.        Augmentation des mises à disposition de personnels des administrations.        Soutien institutionnel à ces structures pour en renforcer la viabilité : formation en administration, finances, financement des coûts de fonctionnement, etc.         Renforcement et multiplication des écoles de formations d’éducateurs.        Renforcement des mécanismes d’accompagnement et de soutien aux familles IEC auprès des parents pour qu’ils entreprennent les démarches de scolarisation de leurs enfants en situation de handicap.        Réduire les barrières matérielles, financières qui freinent cette scolarisation.        Impliquer les parents dans le suivi et le soutien à la scolarité de leurs enfants.       

20 Accès à l’emploi Renforcement de l’accessibilité aux systèmes ordinaires de formation supérieure et professionnelle Développement de l’accessibilité générale des universités et centres de formation.        Cahier des charges précis de cette accessibilité globale, à respecter progressivement pour les écoles déjà existantes et dès leur ouverture pour les nouvelles.        Mesures d’accompagnement pour permettre aux étudiants en situation de handicap et à besoins spécifiques de suivre correctement leurs études.        IEC sur le handicap au sein des universités et des centres de formation.        Former les personnels enseignants et encadrants, des services d’accueils et sociaux à ces démarches et au travail de formation avec des personnes en situation de handicap. Diversification des filières de formation professionnelle ouvertes aux PSH Développer l’adaptation des formations et des postes de travail et les mécanismes de réadaptation professionnelle pour élargir le champ des métiers accessibles aux PSH. Mettre en place de nouvelles filières de formation pour répondre à des créneaux identifiés comme viables.        Renverser la logique qui demande aux PSH de s’adapter au marché du travail et construire avec ces personnes des projets professionnels, basés sur leurs souhaits d’orientation professionnelle, de choix de métiers.       

21 Accès à l’emploi Appui institutionnel aux associations travaillant en faveur de l’intégration professionnelle Soutien financier et technique aux centres associatifs spécialisés de formation professionnelle et pour le développement de nouvelles structures, pour des jeunes ne pouvant pas être intégrés dans des centres de formation ordinaires . Encadrement administratif et technique de ces centres, pour renforcer la qualité de leur fonctionnement et les intégrer dans des dispositifs d’appui de l’Etat : mise à disposition de personnels, accès à des formations, à des financements, etc. Renforcer l’inclusion des personnels de ces structures associatives dans les systèmes de formation initiale et continue en formation professionnelle disponibles dans le pays. Développer des mécanismes de soutien institutionnel à ces associations, pour renforcer la viabilité de leurs structures. Encourager ces associations à se structurer en réseau, pour favoriser les échanges d’expériences, les collaborations, les synergies, etc.

22 Accès à l’emploi Aide à l’auto emploi
Renforcement de l’accès des PSH aux crédits et subventions : Facilités d’accès dans les institutions publiques / Aides spécifiques de l’Etat Sensibilisation des systèmes de crédits classiques pour intégration des PSH Soutien aux associations d’appui aux activités économiques des PSH.         Renforcement des mécanismes directement gérés par l’Etat d’information, de conseil, de formation des PSH pour créer des activités génératrices de revenus. Développement des facilités pour organiser des activités économiques : facilités administratives, exonération, défiscalisation, priorité, etc. Facilitation de l’accès aux formations professionnelles d’Etat qui peuvent appuyer cette démarche d’auto emploi : assouplissement des critères, classes préparatoires, etc. Application et renforcement des quotas d’emplois réservés Effectivité des quotas d’emplois réservés aux PSH dans les secteurs publics et privés. Mesures de contrôle et de pression, couplées à des mesures incitatives. IEC au sein des secteurs publics et privés pour inciter à l’application de la loi. Développement des services de formation et conseil en intégration professionnelle des PSH, pour les entreprises souhaitant développer cette démarche.

23 Accès à l’emploi Développement des centres de travail protégé
Renforcement des financements aux coopératives, centres de travail, organisées par les associations pour assurer leur développement et leur fonctionnement. Positionner l’Etat comme le premier client de ces centres de production. Encadrement administratif et technique de ces centres de travail, pour renforcer la qualité de leur fonctionnement et les intégrer dans des dispositifs d’appui de l’Etat : mise à disposition de personnels, accès à des formations, à des financements, etc. Développer avec ces centres des campagnes IEC auprès des entreprises publiques et privées pour favoriser le passage des PSH du milieu protégé au milieu ouvert du travail. Développement des mécanismes d’orientation vers les différentes modalités d’appui à l’intégration professionnelle Renforcement des appuis techniques et financiers aux associations, aux programmes RBC et au SEFEP H pour développer les mécanismes d’information et conseil en orientation auprès des PS H pour les aider : A définir leur projet d’intégration sociale / professionnelle. A choisir la modalité la plus adéquate pour réaliser ce projet. Dans leurs démarches de mise en œuvre de ce projet.

24 Information / Education / Communication
Au sein de la société civile Des adultes, mais aussi des enfants et des adolescents, sur le droit des PSH à la différence et à l’intégration sociale, à la culture, aux loisirs, à l’éducation, à l’emploi, etc. Des personnels des administrations publiques Pour améliorer l’accueil et le traitement des PSH dans les services et institution d’Etat. Des chefs d’entreprise, des acteurs économiques Sur le droit au travail des personnes en situation de handicap, la loi relative à leur intégration professionnelle et les mesures incitatives qui l’accompagnent. Des acteurs sociaux et de développement Pour qu’ils rendent accessibles aux PSH leurs programmes d’appui. Des médias Pour changer les regards et discours à l’égard des PSH, en valorisant leurs compétences, leurs droits, leurs réussites et pas seulement leurs difficultés et limitations. Des gouvernants et des bailleurs de fonds Pour qu’ils exigent que tout programme financé prenne en compte l’accès des PSH aux services / appuis mis en œuvre par ces programmes.

25 Conclusion Les quatre points cardinaux de l’intégration des personnes en situation de handicap Sensibiliser Pour changer les regards, les représentations et les attitudes, à tous les niveaux de la société et sur le long terme. Investir Massivement pour renforcer les mécanismes de prévention du handicap et d’appui à l’intégration des personnes en situation de handicap. Former Dans tous les secteurs (santé, éducation, prise en charge, etc.) pour améliorer la qualité des services et s’attaquer à l’ensemble de la problématique d’intégration des PSH. Cadrer La multiplication souhaitable des initiatives en faveur des PSH : normes de qualité, mesures de contrôle, recherche de synergies et complémentarités, orientation du développement de ces initiatives sur le plan territorial.


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