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Publié parMarcelline Dutertre Modifié depuis plus de 11 années
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Politique Agricole Commune : mise en œuvre d’un programme de développement rural
Historique de la PAC Architecture actuelle du programme Les acteurs La démarche LEADER
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Le traité de Rome 25 mars 1957 Le contexte politique :
La reconstruction après la guerre Le souvenir des pénuries alimentaires Offre alimentaire insuffisante et inégalement répartie Dépendance aux exportations La PAC fait déjà partie intégrante du Traité. France = demandeuse car état le + agricole. Allemagne et Italie : grands importateurs de produits agricoles. Allemagne : exporte des produits industriels.
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Les objectifs de la PAC de 1957 (article 33 du TCE devenu l’article 39 du TFUE)
Accroître la productivité de l ’agriculture Assurer un revenu équitable à la population agricole Stabiliser les marchés Garantir la sécurité des approvisionnements Assurer des prix raisonnables dans les livraisons aux consommateurs Revenus : les aléas (climat, destruction de production …) caractérisent l’agriculture. La stabilité des revenus agricoles est un objectif partagé au niveau mondial.
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Les grands principes de la PAC:
L ’unité des marchés La préférence communautaire La solidarité financière Solidarité financière : explique l’importance de la part de la PAC dans le budget UE
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Augmenter l’offre pour satisfaire la demande Comment ?
Priorité de la PAC : Augmenter l’offre pour satisfaire la demande Comment ? Marché commun (dès la création de l’Europe) : zone de libre échange, harmonisation des normes techniques et sanitaires En maintenant des prix plus élevés que les cours mondiaux pour assurer un revenu correct aux agriculteurs européens et encourager la production (prix garantis : prix d’intervention, prix plancher, stockage public) Préférence communautaire : protection du marché européen par un système de barrières douanières (taxes) pour favoriser la consommation de produits européens Subventions favorisant les investissements (Office du Blé créé avant la PAC en 1936 car déjà un problème d’approvisionnement) = création des 21 Organisations communes de marché
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Mesures aux frontières
Marché intérieur Restitution (Subvention) Prélèvement (Taxe) Objectif : stabiliser les marchés intérieurs à un prix rémunérateur pour les producteurs Problématique spécifique chute des prix agricoles : n’entraîne pas l’augmentation de la demande, et si c’est le cas, c’est au détriment de la demande sur un autre produit. Soutien par les prix/le marché et non par les primes : modèle français et européen Marché mondial
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La gestion du marché intérieur
Accroître les débouchés: Aides à l ’exportation (restitutions) Aides à la consommation Promotion des produits Maîtriser la mise en marché: Intervention, stockage privé, retrait Maîtriser la production Quotas de production, de primes... Aides à la réduction ou à la réorientation de la production Objectif : équilibre offre/demande Aides à l’exportation : Europe de l’Est notamment Aides à la consommation : subvention pour l’utilisation du beurre en boulangerie Promotion : limite car encore une fois, la demande ne peut pas vraiment augmenter (on ne peut pas manger plus) Intervention : l’Office achète les excédents et les stocke en attendant de pouvoir les revendre Stockage privé : convention avec une industrie pour stocker les produits, l’Europe paie uniquement les frais de stockage Retrait / destruction : L’Europe finance la destruction (prob opinion public) Réduction, réorientation : aides à l’arrachage
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1962: adoption des premiers règlements:
Création des premières OCM Création du FEOGA (mis en place en 1964)
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Fin des années 1970, objectif atteint :
Agriculture européenne performante Autosuffisance alimentaire Exportations des produits européens Prix stables Progression des revenus des agriculteurs Aspects négatifs : l’agriculture est jugée suffisamment performante par les consommateurs elle est devenue excédentaire et l’exportation, le stockage voire la destruction des excédents sont coûteux les subventions à l’exportation sont critiquées par l’OMC son impact environnemental commence à être pris en considération (pollution des eaux, épuisement des sols, …) plusieurs Etats membres, notamment la Grande-Bretagne, remettent en cause l'importance du budget accordé à la PAC le marché n’est toujours pas unique (écarts de prix persistent entre les états membres) : le commissaire européen Mansholt alerte sur les risques de disfonctionnement de la PAC directive modernisation, retraites et formation Subvention à l’exportation : concurrence avec Afrique (dépendance à l’importation)
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Nouveaux objectifs : limiter l’offre, augmenter la demande
Comment ? quotas laitiers (1984) limitent la quantité de lait produite sur les exploitations plafond de production céréalière (1987) subvention aux exportations
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Une nouvelle vision de la PAC:
Mesures insuffisantes réforme de la PAC nécessaire (1992) Une nouvelle vision de la PAC: Un soutien par des primes plus que par des prix Principales mesures : diminution du prix garanti aides directes: versement d’aides compensatoires (baisse des revenus des agriculteurs) « gel des terres » : réduction de 10% des surfaces cultivées
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Quelques chiffres pour la France ( En Mds de Francs)
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Des mesures d ’accompagnement:
Instauration de la jachère obligatoire (10%) Boisement des terres agricoles ; Aides au départ (préretraite) Mesures agroenvironnementales
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1999 (Agenda 2000): l’Europe commence à soutenir les initiatives de développement rural (« modulation ») 2003 (Accord de Luxembourg) : les aides ne sont plus liées aux quantités produites (« découplage ») mais deviennent forfaitaires, et conditionnées aux bonnes pratiques environnement, qualité, et bien-être animal (« conditionnalité »)
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Deux stratégies structurantes :
Stratégie de Lisbonne (2000) Préparer la transition vers une société et une économie fondées sur la connaissance: - au moyen de politiques répondant mieux aux besoins de la société de l'information et de la R&D; - par l'accélération des réformes structurelles pour renforcer la compétitivité et l'innovation; - par l'achèvement du marché intérieur. - moderniser le modèle social européen en investissant dans les ressources humaines et en luttant contre l'exclusion sociale; - entretenir les conditions d'une évolution saine de l'économie et les perspectives de croissance favorables en dosant judicieusement les politiques macro-économiques.
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Stratégie de Göteborg (2001)
La stratégie s’attaque aux menaces les plus graves pour le développement durable en Europe et dans le monde, les tendances dites non durables. les changements climatiques, la santé publique, les transports et l’utilisation des sols, la gestion des ressources naturelles, les enjeux d’une société vieillissante, la pauvreté et l’exclusion sociale.
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Le financement de la PAC :
Début des années 1980 : 70% du budget de l’UE Aujourd’hui : moins de 40 % Principe de solidarité financière : contribution des états-membres calculée selon le PIB Élargissement de l’UE : tendance à la baisse du taux de retour.
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Création d’un fonds spécifique pour le développement rural
L’architecture actuelle de la PAC ( ) : Création d’un fonds spécifique pour le développement rural 1er PILIER : Politique de soutien au marché et aux revenus FEAGA 60 Mds € Non cofinancé 2ème PILIER : Développement rural FEADER 6,4 Mds € Cofinancé MODULATION
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Objectifs stratégiques : Le Fonds contribue à améliorer:
Réforme de la politique agricole commune (PAC) 2003 – : met l’accent sur le développement rural en introduisant un instrument de financement et de programmation unique: le Fonds européen agricole pour le développement rural FEADER institué par le règlement (CE) 1290/2005 Objectif : renforcer la politique de développement rural de l’Union et en simplifier la mise en œuvre. Il améliore notamment la gestion et le contrôle de la nouvelle politique de développement rural pour la période Objectifs stratégiques : Le Fonds contribue à améliorer: la compétitivité des secteurs agricole et forestier; l'environnement et du paysage; la qualité de vie dans les zones rurales et encouragement de la diversification de l'économie rurale. Chaque État membre élabore un plan stratégique national conformément aux orientations stratégiques qui ont été adoptées par la Communauté. Chaque État membre transmet ensuite son PSN à la Commission avant de présenter ses programmes de développement rural. Le PSN couvre la période allant du 1er janvier 2007 au 31 décembre 2013 et comprend: une évaluation de la situation économique, sociale et environnementales, et des possibilités de développement; la stratégie adoptée pour l’action conjointe de la Communauté et de l’État membre, conformément aux orientations stratégiques de la Communauté; les priorités thématiques et territoriales; une liste des programmes de développement rural mettant en œuvre le plan stratégique national et la répartition des ressources du FEADER entre les programmes; les moyens visant à assurer la coordination avec les autres instruments de la politique agricole commune, le FEDER, le FSE, le FEP et la Banque européenne d’investissement; la description des modalités et le montant réservé pour la mise en place du réseau rural national qui regroupe les organisations et les administrations travaillant dans le domaine du développement rural. La mise en œuvre des plans stratégiques nationaux s’effectue par des programmes de développement rural présentant un ensemble de mesures regroupées autour de 4 axes:
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Objectifs et Priorités
Politique de DR : Objectifs et Priorités « Axe LEADER » : développement local / gouvernance - Axe 3: Diversification et qualité de vie - Création d’emplois - Diversification - Qualité de vie Axe 1: Compétitivité - Capital humain et physique Innovation Transfert de connaissances / NTIC R&D nouveaux produits Axe 2: Environnement et espace rural - Biodiversité - Sol, Eau - Changement Climatique FEADER: Fonds Européen Agricole pour le Développement Rural
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Le financement FEADER du PDRH par axe
AT TOTAL Axe 4** FEADER (millions d’euros) 1 755 3 293 624 52 5 724 307 En pourcentage de l'enveloppe FEADER 31% 57% 11% 1% 100% 5% Axe 3 AT* 11% 1% Axe 1 31% Axe 2 57%
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Architecture du programme en France
Deux niveaux de gestion: Ensemble de dispositifs s’appliquant de manière uniforme sur l’ensemble du territoire: Installation JA, ICHN, PHAE, desserte forestière, plan chablis… Socle national 3.6 milliards € Volet régional 2.1 milliards € Ensemble de dispositifs déclinables en région + Stocks restant à programmer 1.1 milliard €
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LE DOCUMENT REGIONAL DE DEVELOPPEMENT RURAL
Volet régional lorrain = 70 M€
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Les acteurs Le préfet de région est le représentant de l’AG en région implication des collectivités dans le pilotage et la mise en oeuvre des PDR au niveau national au niveau régional (rédaction du DRDR, comités de suivi,…) Les principaux financeurs : MAAP, MEEDDM, FNADT, collectivités, agences de l’eau, établissements publics, syndicats mixtes… - Un vecteur avancé de partenariat : la délégation des fonctions de l’autorité de gestion
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La comitologie Le préfet de région et le président du conseil régional président les comités de suivi des fonds européens en région (FEADER et/ou plurifonds) Comité de suivi des PDR : MAAP pour le PDRH, préfecture dans les DOM - Comité de suivi national (stratégie et coordination entre les 6 programmes)
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Nouveauté du Règlement de développement rural
Autorité de gestion Nouveauté du Règlement de développement rural Désignée par l’État-membre (CIACT du 06 mars 2006) Fonctions définies dans le règlement (article 75): Pilotage du programme « responsable de la gestion et de la mise en œuvre efficaces, effectives et correctes » Ses tâches peuvent être déléguées sous l’entière responsabilité de l’autorité de gestion CIACT = Comité Interministériel à l’Aménagement et à la Compétitivité des territoires
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Les fonctions principales de l’Autorité de gestion
Veiller à ce que les opérations soient sélectionnées conformément aux critères applicables du programme ( anime et coordonne l’instruction) Garantir le stockage des données de suivi dans un système informatisé Veiller à ce que les bénéficiaires soient informés de leurs obligations
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Les fonctions principales de l’Autorité de gestion
Veiller à ce que les évaluations soient réalisées Diriger les travaux du Comité de suivi et établir le rapport annuel d’exécution Veiller au respect des obligations en matière de publicité Garantir que l’OP reçoit toutes les informations nécessaires
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Désigné par l’État-membre
L’organisme payeur Désigné par l’État-membre Article 6 du règlement financier (1290/2005) + règlement d’application 885 / 2006 Le paiement communautaire ne peut être délégué Une autorité compétente supervise l’OP, renouvellement de l’agrément tous les 3 ans Le 1290/2005 a été consolidé au 20/02/2006 et est relatif au financement de la PAC
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Le métier d’organisme payeur
Les critères d’agrément portent sur 4 grands domaines : L’environnement interne : structure organisationnelle, normes en matière de ressources humaines, formalisation des délégations L’activité de contrôles Information et communication : sécurité des systèmes d’information Suivi : évaluations menées par un service d’audit interne indépendant
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Le métier d’organisme payeur
Les 3 grandes fonctions : L’ordonnancement et le contrôle des paiements : établir que les montants à payer sont conformes à la réglementation L’exécution des paiements L’enregistrement comptable des paiements et l’établissement des demandes trimestrielles de remboursement La 1ère fonction se vérifie au travers des contrôles administratifs et sur place Pour les contrôles, possibilité de préciser la mise en œuvre des contrôles par l’OP : - contrôle avant mise en paiement - contrôle de conformité des dossiers d’aide - contrôle sur place
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Le métier d’organisme payeur
Etre organisme payeur de fonds européens, c’est être responsable devant la Commission : du contrôle avant paiement de l’éligibilité des demandes et procédure d’attribution des aides et de leur conformité avec les dispositions communautaires de la comptabilisation exacte et exhaustive des paiements de la mise en œuvre des contrôles prévus par la législation communautaire de la transmission de toutes les informations demandées par les textes communautaires (déclaration de dépenses, …)
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Principe de la gestion partagée : la Commission est en charge de la gestion des 1er et 2ème piliers mais n’effectue pas elle-même de paiements aux bénéficiaires. Le paiement des aides revient aux états-membres par l’intermédiaire d’un organisme payeur. L’organisme payeur doit au préalable contrôler l’admissibilité des demandes d’aides. Remboursements trimestriels des dépenses effectuées par les organismes payeurs (Commission : contrôles, apurements).
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Une gestion en «dépenses publiques»
Le bénéficiaire réalise son opération et justifie sa dépense éligible L’État membre calcule et lui verse l’aide correspondante Versement de la part des financeurs nationaux Versement de la part FEADER soit en même temps (paiement associé) soit après (paiement dissocié) La Commission, sur justificatif de versement de la dépense publique, rembourse une part de cette dépense sur la base du taux de l ’axe
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Modalités de paiement du FEADER :
ASP Commission Européenne Déclaration de Dépenses Trimestrielle : Montants FEADER payés Part communautaire +¨Part nationale Deux modalités sont possibles : - paiement associé : le financeur confie ses fonds à l’ASP qui peut procéder au paiement en une seule fois de la part FEADER et de la contrepartie nationale. - paiement dissocié : le financeur assure le paiement de son aide directement auprès du bénéficiaire. Afin de sécuriser le système, le versement du FEADER n’intervient qu’après le versement de la contrepartie nationale.
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Caractéristiques de l’axe IV LEADER
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Les objectifs de LEADER
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Les caractéristiques de LEADER
Stratégies locales de développement par zones Mise en réseau Innovation LEADER Approche ascendante Partenariats public-privé Actions intégrées et multi-sectorielles Coopération
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Mise en œuvre du programme
: la sélection : le conventionnement À partir de 2009 : la programmation
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Les acteurs : Porteur de projet Service référent, Préfet de Région
Autorité de gestion Service référent, de proximité Expertise réglementaire Groupe d’Action Locale : - Comité de programmation Équipe technique Cellule d’animation Réseau Rural Appui coopération Organisme payeur : ASP Paiement, contrôle Service coordonnateur : DRAAF Suivi global
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Maquette financière de l’axe 4 / PDRH
Mesures du PDRH : 76 % de l’axe 4 (9.5 M€) Coopération (421) : 5 % de l’axe 4 ( €) Animation/fonctionnement (431) : 19 % (2.5 M€)
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