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Laboratoire dInformatique Appliquée IUT Informatique de Bayonne Ré-Ingénierie dApplications pour la mise en oeuvre de la Coopération : Méthodologie et.

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1 Laboratoire dInformatique Appliquée IUT Informatique de Bayonne Ré-Ingénierie dApplications pour la mise en oeuvre de la Coopération : Méthodologie et Architecture

2 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 2 Objectifs Nous proposons une méthode et une architecture pour permettre la ré-ingénierie d applications basées sur des modules opératifs distribués afin de les organiser en groupes de travail et permettre une mise en coopération En fait nous voulons ajouter la coopération dans des applications qui ne sont pas coopératives et ceci sans modifier limplémentation des modules.

3 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 3 Travaux connexes n Nous travaillons à la croisée de plusieurs domaines de recherche : –Les Bases de Données Actives avec leurs règles ÉCA –Les Applications Distribuées Avec des événements distribués –La Modélisation avec des éléments de coopération Nous modélisons des événements, des messages et des données –Le travail Coopératif avec la notion de groupes de travail avec la notion de dynamique.

4 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 4 Plan n Comment réaliser la coopération n Élements de Coopération n La Méthode n Le Langage de Spécifications n LArchitecture Coopérative n Résultats n Bibliographie n Le Futur

5 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 5 Les coopérations actuelles Pourquoi : parce que la plupart du temps, la coopération est réalisée à laide dopérateurs externes ou de programmes dédiés, nous voulons automatiser ceci.

6 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 6 Automatisation de la coopération Comment : nous automatisons la circulation des informations. Nous les capturons lorsquelles sont produites par le module dans son environnement et nous les incorporons dans l environnement du module destinataire. Nous créons les éléments de coopération manquants à partir des informations déjà existantes.

7 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 7 Comment réaliser la coopération (1) n Des applications composées de modules distribués opératoires n Il existe un besoin de coopération exprimé par les sociétés

8 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 8 Comment réaliser la coopération (2) n La coopération entre modules est généralement fournie à laide dopérateurs externes (humains, programmes dédiés, …) Ceci est synonyme de : –Perte et duplication dinformations –Perte de temps (certains travaux sont réalisés plusieurs fois comme des ré-entrées par exemple). n Notre objectif est de réaliser la coopération par capture délément de lactivité sans modifier les modules. n Nous faisons circuler linformation et créons les éléments manquants.

9 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 9 Le Module Module C est une entité opératoire, éventuellement complexe, qui peut réaliser une tâche et communiquer avec l extérieur.

10 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 10 Coopération Externe (Applications Actuelles)

11 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 11 Réalisation de la Coopération (Application mise à jour) Nous capturons linformation à sa source. Nous fournissons cette information aux entités concernées. Nous intervenons sur lIHM des modules pour modifier leur comportement.

12 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 12 Groupes de Travail Dynamiques (1) n Définition Cest un ensemble de modules éventuellement distants sur un réseau et réalisant un ou plusieurs tâches bien déterminées. Leur composition (modules composants le groupe de travail) peut évoluer dynamiquement dans le temps pour sadapter ux besoins du système et ainsi répondre de la manière la plus satisfaisante possible (critères temporels et qualitatifs). n Gestion La composition du groupe est réalisée par la couche coopérative.

13 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 13 Groupes de Travail Dynamiques (2) Nous pouvons maintenant obtenir des informations de groupes qui sont plus expressives et qui reflètent plus l état de lapplication.

14 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 14 Avantages de la Dynamique des Groupes de Travail Les groupes de travail dynamiques permettent de : Filtrer les informations. Le module ne reçoivent que les informations nécessaires à leur activité courante. Nous essayons ainsi déviter que trop dinformations soient reçues par un module à un mauvais moment. Création dinformations synthétiques. En capturant linformation produite par certains modules dun groupe de travail, il est possible den créer de nouvelles qui reflètent mieux lactivité du groupe de travail et non plus uniquement létat dun seul module. La spécialisation de modules. En modifiant les informations reçues, en filtrant celles envoyées, ou en faisant réagir lopérateur sur lIHM, il est possible de modifier le rôle dun module

15 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 15 Plan n Comment réaliser la coopération n Élements de Coopération n La Méthode n Le Langage de Spécifications n LArchitecture Coopérative n Résultats n Bibliographie n Le Futur

16 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 16 Eléments de Coopération n Événements –La sémantique est contenue dans leur propre occurrence. –Ce sont des informations non-persistantes. n Messages –La sémantique est encapsulée dans le message. –Ce sont des informations non-persistantes. n Données du Système d Information –Ce sont des informations persistantes.

17 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 17 Plan n Comment réaliser la coopération n Élements de Coopération n La Méthode n Le Langage de Spécifications n LArchitecture Coopérative n Résultats n Bibliographie n Le Futur

18 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 18 La méthode (1) n Définition des groupes de travail

19 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 19 La méthode (2) n Identification des éléments de coopération (événements, messages, données).

20 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 20 La méthode (3) n Inventaire des modules présents dans le système. n Pour chaque groupe, nous réalisons une liste de membres potentiels.

21 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 21 La méthode (4) n Identification des éléments de coopération (événements, messages, données) nécessaires et produits par chaque module.

22 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 22 La méthode (5) n Les conditions d E/S dans un groupe de travail dynamique pour une règle sont évaluées par une règle ÉCA (règle de gestion de groupe). n Sil n existe pas d information produite suffisamment précise, il sera nécessaire de la créer.

23 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 23 La méthode (6) n Liens directs entre informations –groupe groupe –module module –module groupe –groupe règle de gestion de groupe –module règle de gestion de groupe n …avec l utilisation de règles de mise en forme concernant les messages.

24 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 24 La méthode (7) n Création des éléments manquants n Utilisation des règles : –Événements Composés –Messages Synthétiques –Données de Groupe Synthétiques n Retour en arrière possible

25 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 25 La méthode (8) n La méthode permet dobtenir un ensemble de règles permettant de : –Transformer et diffuser linformation. –Détecter les événements, messages et données et de réagir en fonction de leur sémantique (création déléments manquants, mise à jour dIHM). –Gérer la dynamique des groupes. n La méthode termine avec la production dun langage de spécification. n Il permet sa dérivation en règles (en Java) avec lesquelles des rendez-vous seront pris. n L homogénéité de la méthode est permise grâce à luniformisation de la méthode : lanalyse aux deux niveaux dabstraction - inter et intra groupes - est identique.

26 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 26 Plan n Comment réaliser la coopération n Élements de Coopération n La Méthode n Le Langage de Spécifications n LArchitecture Coopérative n Résultats n Bibliographie n Le Futur

27 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 27 Le langage de spécification Quelques exemples de primitives du langage de spécification : n DéfinirÉvénement [De origine] [Pour destination] n DéfinirRègle Comme n Déclencher Quand n Envoyer Pourquoi un langage de specification ? Afin de faciliter la dérivation et donc limplémentation. De vérifier formellement la validation des liens.

28 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 28 Points forts de notre méthode n Elle est : –Particulièrement adaptée à la ré-ingénierie. –Fonctionne à la fois avec des modules logiques et physiques. –Associée à un langage de spécification permettant une vérification formelle et une dérivation en règles. –Homogène (représentation, règles)

29 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 29 Plan n Comment réaliser la coopération n Élements de Coopération n La Méthode n Le Langage de Spécifications n LArchitecture Coopérative n Résultats n Bibliographie n Le Futur

30 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 30 Larchitecture Coopérative n C est une extension d ADACTIF à : –La distribution, –La gestion des groupes de travail dynamiques, –Aux différents éléments de coopération, –Différents types dinformation (événements, messages & données) n Le langage de spécification permet d être facilement et automatiquement dérivé en règles détectrices (création d éléments de coopération) et ÉCA (gestion des groupes dynamiques).

31 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 31 LArchitecture Coopérative (sites)

32 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 32 LArchitecture Coopérative (sur chaque site)

33 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 33 Plan n Comment réaliser la coopération n Élements de Coopération n La Méthode n Le Langage de Spécifications n LArchitecture Coopérative n Résultats n Bibliographie n Le Futur

34 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 34 Résultats (1) - L Architecture Coopérative n Extension d une architecture locale active (ADACTIF) une architecture distribuée et adaptée au travail coopératif (ELKAR) –Groupes de Travail Dynamiques, –Types d Informations Différents (événements, messages, données) –Règles implémentées en tâches Java avec la notion de rendez-vous. n Un langage de spécification formel permettant de facilement dériver les résultats de la méthodes en règles ÉCA et détectrices.

35 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 35 Résultats (2) - La méthode n La méthode –Coopérative –Particulièrement adaptée à la ré- ingénierie –Fonctionne indifféremment avec des modules physiques et/ou logiciels. –Associée à un langage de spécification afin de réaliser les vérifications nécessaires et de facilement implémenter les résultats. –Homogène

36 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 36 Résultats (3) Nous avons une approche globale démarrant avec une méthode et terminant avec limplémentation, le tout avec une totale homogénéité. Méthode Language de Specification Règles Architecture Coopérative Distribuée (Java) }

37 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 37 Plan n Comment réaliser la coopération n Élements de Coopération n La Méthode n Le Langage de Spécifications n LArchitecture Coopérative n Résultats n Bibliographie n Le Futur

38 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 38 Bibliographie (1) Publications Internationales avec Comité de Lecture Supporting Collaborative Work in Intranet Using an Active DBMS implemented with Java - Proc. WebNet'97 - Toronto - Canada - Novembre 1997. Using Active Database Mechanisms to Build Cooperative Applications - Proc. Integrated Design on Process Technology (IDPT) 98 - Berlin - Allemagne - Juillet 1998. Mechanisms for Synchronous and Asynchronous Communication in Distributed Cooperative Work – Proc. 6 th Intl Conference on Information Systems Methodologies (ISM) 98 – Salford – Angleterre – Springer Edition – ISBN 1-85233-079-1 - Septembre 1998. How to achieve synchronous and asynchronous communication in distributed cooperative systems using ECA mechanisms - Simposio Español de Informatica Distribuida (SEID) 99 – Santiago de Compostela – Espagne – Février 1999.

39 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 39 Bibliographie (2) Publications Internationales avec Comité de Lecture Using Active Database Mechanisms to Build Cooperative Applications – Transaction of the SDPS Journal – Vol. 3, N° 1 – pp. 1-14 - Mars 1999. A method for designing cooperative distributed applications - Coop2000 – 4 th Intl Conference on the Design of Cooperative Systems – Sophia Antipolis – France – Mai 2000. Turning non-cooperative applications into cooperative ones by adding dynamics to the information system - 5 th Annual Conference of the UKAIS (UK Academy for Information Systems) – Cardiff – U.K. - Avril 2000. A method for re-engineering/redesigning cooperatively distributed applications 5th Intl conf. On Integrated Design & Process Science (IDPT/IDEATE) - Dallas - USA - Juin 2000.

40 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 40 Plan n Comment réaliser la coopération n Élements de Coopération n La Méthode n Le Langage de Spécifications n LArchitecture Coopérative n Résultats n Bibliographie n Le Futur

41 ELKAR - Soutenance de Thèse - Roose Philippe - 2000 41 Le Futur n La méthode peut être améliorée en amont en réalisant une première partie plus proche des aspects de rétro- conception. n Étendre la méthode à des domaines plus généraux que la ré-ingénierie. Nous voulons généraliser notre approche. n Nous pensons que notre approche peut être utilisée pour résoudre des problèmes de re-configuration dynamique ou des problèmes de traçabilité. n Nous désirons développer notre propre outil de modélisation visuelle.


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