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Académie de Nancy- Metz 02 février 2011

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Présentation au sujet: "Académie de Nancy- Metz 02 février 2011"— Transcription de la présentation:

1 Académie de Nancy- Metz 02 février 2011
THEME : ACCOMPAGNER , FACILITER L’ACCES DES ELEVES AUX PERIODES DE FORMATION EN MILIEU PROFESSIONNEL Académie de Nancy- Metz 02 février 2011 FORMATION PAF

2 Présentation des intervenants.
Mme BECKER Marie-Josèphe IEN Eco-Gestion Mme DELHAYE Odile Chef de travaux Mme MORANDINI Pascale CEE DAET M MULLER Christophe CEE DAET

3 Programme de la journée.
Matin Temps d’échanges « tour de table ». Analyse des besoins. Intervention du corps d’inspection. Réglementation et questions diverses. Étude et analyse d’une convention. Pause. Présentation globale du tableau d’organisation des PFMP. Définition d’une compétence professionnelle. Tutorat en entreprise. 3

4 Programme de la journée.
Repas Temps de pause : 11h45 à 13h15. Prix : 6 €. Mode de paiement : chèques, espèces. Remplir feuille d’émargement. Au plateau. 4

5 Programme de la journée.
Après-midi Présentation de la Banque de stages. Pratiques discriminatoires. Pause. Jeux de rôles. Construire un argumentaire. Synthèse « Qui fait quoi ? Avant, Pendant, Après ». Réponses aux questionnaires de satisfaction 5

6 Temps d’échanges « tour de table ».
Présentation. Noms – Prénoms, établissements, filières. Analyse des besoins. Dans quel(s) objectif(s) vous êtes vous inscrit à cette formation ? Définir 3 objectifs communs à atteindre. 6

7 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs principaux : Circulaire n° du 21 janvier 1993 sur le rôle du professeur principal dans les collèges et les lycées. En lien avec le chef de travaux, il assure : la coordination pédagogique, il participe, au suivi, à l’évaluation de ces périodes et à l’intégration des apports de ces périodes dans l’enseignement dispensé par chacun. 7

8 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : Encadrement de l’élève Circulaire n° du 26 juin 2000 sur l’encadrement des périodes en entreprise. Les activités d'encadrement concernent donc tous les enseignants. Un élève : 2h par semaine de service dans la limite de trois semaines par séquence de stage ou par séquence de formation en entreprise. L'encadrement pédagogique d'un élève est comptabilisé dans le service du professeur pour deux heures par semaine, dans la limite de trois semaines par séquence de stage ou par séquence de formation en entreprise.

9 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : Encadrement de l’élève L'équipe éducative participe au développement de la relation école-entreprise, laquelle constitue un préalable permettant de faciliter la recherche des entreprises d'accueil et l'organisation des périodes en entreprise. Il faut veiller à l’équité entre enseignants

10 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : Encadrement de l’élève Il appartient aux enseignants d'élaborer une stratégie pédagogique. Elle détermine la fonction et la place assignées aux périodes en entreprise pour atteindre les objectifs de la formation. En début d'année, et notamment lors de la pré-rentrée, l'équipe pédagogique de chaque division, sous l'autorité du chef d'établissement, répartit entre ses membres les tâches liées au suivi des élèves. Entrée par les compétences Lien par le conseil pédagogique

11 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : La recherche des entreprises d'accueil L'établissement doit trouver pour chaque élève un lieu d'accueil pour les périodes en entreprise. La recherche et le choix de l'entreprise relèvent de l'équipe pédagogique qui doit prendre en charge les contacts nécessaires. Sous la responsabilité des enseignants et avec leur accompagnement, les élèves peuvent contribuer à cette recherche. « il faut impliquer le jeune dans la recherche »

12 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : La recherche des entreprises d'accueil L'équipe pédagogique veillera particulièrement à protéger les élèves d'éventuelles pratiques discriminatoires à l'entrée des périodes en entreprise. La banque académique des stages a été créée dans le cadre de la mise en œuvre du volet éducation national du plan « Espoir Banlieues » de février 2008, et de la circulaire de rentrée de 2009 (B.O .n°36 du 1er octobre 2009). Elle vise à améliorer l’égalité des chances et donc à garantir une certaine équité entre les élèves et lutter contre toute discrimination. Il s'agit également de conjuguer les efforts avec les partenaires concernés dans la relation « École et Entreprise »y compris au sein des quartiers en difficultés Ne pas discriminer , c'est veiller à bien sélectionner sur les compétences et ne pas utiliser : l'âge, l'origine, le sexe, la religion, le physique,le patronyme,  l'état de santé,la situation familiale, l'orientation sexuelle....

13 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : La préparation de l’élève La présentation du milieu professionnel par des moyens variés (visites, exposés, témoignages de professionnels ou d'élèves plus avancés dans leur cursus de formation...), la familiarisation avec le fonctionnement de l'entreprise, sont des préalables à une intégration réussie dans le milieu professionnel.

14 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : La préparation de la convention de stage Un membre de l'équipe pédagogique informe l'entreprise des finalités des périodes en entreprise, du niveau de l'élève et des caractéristiques du diplôme qu'il prépare. Il fixe avec le responsable de l'entreprise les modalités de suivi de l'élève et de déroulement de la PFMP, à l'aide de fiches d'activités sur la base desquelles l'entreprise précise les activités ou les tâches qu'elle est susceptible de confier à l'élève. Le ministère insiste beaucoup sur l'explication des finalités des PFMP à destination des entreprises (en particulier expliquer qu'il s'agit de formation et non pas un stage au sens traditionnel du terme, et d'une façon générale toutes les lettres de PFMP ont leur importance). Normalement avec l'explication des finalités, le problème de l'âge des élèves doit tomber. On nous a par ailleurs cité le cas d'élèves ayant moins de 15 ans en 2nde bacpro : ces élèves ne devraient pas se trouver dans la voie pro (problème d'orientation vérifié par l'IGEN qui a consulté les dossiers scolaires des quelques élèves concernés, il s'agissait d'orientation "punition" pour des problèmes de comportement)

15 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : Les visites de suivi Elles concernent les professeurs de toutes les disciplines, y compris les professeurs des disciplines générales. En effet, l'implication des professeurs de ces disciplines dans le suivi en entreprise de leurs élèves agit fortement sur la motivation de ceux-ci. Ces professeurs portent en outre sur l'entreprise un regard différent de celui des disciplines professionnelles et ils perçoivent des éléments qui peuvent intéresser leurs champs disciplinaires.

16 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : Les visites de suivi Enfin, ils parlent de l'élève et de la formation d'un point de vue autre que strictement professionnel. Leur présence en entreprise est le signe de l'interaction voulue entre les différentes disciplines qui, ensemble, contribuent à la formation globale des élèves.

17 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : Les visites d’évaluation Toutes les séquences doivent faire l'objet d'une évaluation formative. Cette évaluation intéresse les professeurs de toutes les disciplines et peut prendre la forme d'un bilan réalisé avec le tuteur et avec l'élève, précédant l'exploitation pédagogique de la période au retour de l'élève au lycée.

18 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Professeurs d’enseignement général et professionnel : Les visites d’évaluation Lorsque le règlement du diplôme le prévoit, la période de formation en entreprise peut également faire l'objet d'une évaluation certificative. Les modalités et les objectifs de la visite réalisée dans l'objectif de procéder à l'évaluation certificative sont définis avec les corps d'inspection, notamment en ce qui concerne les documents supports de l'évaluation. Synergie : travail en collaboration avec les SBSSA sur les études de cas pour les évaluations CCF PSE.

19 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Entreprises : Mise en cohérence le code du travail et la nécessité de la formation professionnelle Circulaire DGT- DEGESCO-DGFAR-DGER N°2007 du 25 octobre 2007 Article 7 de la convention type – Sécurité – travaux interdits aux mineurs . La circulaire DGT-DGESCO-DGFAR-DGER n° du 25 octobre 2007 fixe à 15 ans à l'âge minimum de la dérogation pour les élèves inscrits dans une formation qui conduit à la délivrance d'un diplôme professionnel ou technologique (CAP, BEP, baccalauréat professionnel, BMA…). Cette circulaire modifie la circulaire DGT n°04 du 1er février 2007 qui fixait à 16 ans l'âge minimal des élèves pouvant bénéficier de cette dérogation. L'article 7 de la convention type relative à la formation en milieu professionnel des élèves de lycée professionnel (note de service n° du parue au BOEN du 08 janvier 2009, en ligne sur ÉduSCOL) intègre cette évolution. Extrait : Article 7 - Sécurité - travaux interdits aux mineurs : En application des articles D à D et D du code du travail, l'élève mineur de quinze ans au moins, autorisé par l'inspecteur du travail à utiliser des machines ou produits ou à effectuer des travaux qui lui sont normalement interdits, ne doit utiliser ces machines, produits ou effectuer ces travaux en entreprise qu'avec l'autorisation et sous le contrôle permanent du tuteur. La demande de dérogation, où figure la liste des machines, produits ou travaux dangereux, est signée par le chef d'entreprise et adressée à l'inspecteur du travail.

20 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Inspecteurs de l’Education Nationale : l’exploitation pédagogique des périodes de formation en entreprise. Les aspects organisationnels de cet encadrement amènent également les membres des équipes pédagogiques à travailler ensemble et contribuent de fait à renforcer la notion de solidarité d'équipe au bénéfice de l'élève.

21 Préparation, suivi et exploitation des PFMP.
Inspecteurs de l’Education Nationale : l’exploitation pédagogique des périodes de formations en entreprise. . Animation et conseil auprès des enseignants, pour une harmonisation académique des méthodes et outils pédagogiques à utiliser. Pour la meilleure mise en œuvre possible de l'encadrement des périodes en entreprise, il importe notamment d'aider au maximum les équipes pédagogiques dans la réalisation de supports d'information et d'évaluation qui soient les plus aisément compréhensibles par les entreprises, et, dans la mesure du possible, harmonisés au niveau académique. Il revient aux corps d'inspection d'exercer dans ce domaine leur indispensable rôle d'animation et de conseil auprès des enseignants, en étudiant avec eux la meilleure harmonisation possible des méthodes et outils pédagogiques à utiliser.

22 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 22

23 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 23

24 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 24

25 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 25

26 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits 26

27 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 27

28 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 28

29 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 29

30 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 30

31 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 31

32 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 32

33 Lecture et analyse d’une convention.
Extraits Commentaires 33

34 Accompagnement des élèves en PFMP.
Groupe de travail académique. Création du groupe en 2000. Composition : Inspecteurs, Proviseurs, Chefs de travaux, Enseignants, Ingénieurs pour l’Ecole Objectifs : Etablir la procédure de placement en stage. « Qui fait quoi en fonction des textes réglementaires » Production : Tableau d’organisation globale des PFMP « Avant, Pendant, Après ». 34

35 Accompagnement des élèves en PFMP.
Tableau d’organisation globale des PFMP « Avant, Pendant, Après ». 35

36 Définition de la notion de compétence professionnelle.
Au-delà de toute théorie pédagogique, c’est bien autour de la notion de compétences que convergent tous les acteurs de l’alternance. 36

37 Définition de la notion de compétence professionnelle.
La compétence professionnelle s’appuie sur trois notions. La première considère que la compétence est proche d’un système intégré de savoirs au sens large (savoir, savoir-faire, savoir-être,…). Cette notion se retrouve en partie dans la définition de R.Wittorski : « La compétence correspond à la mobilisation dans l’action d’un certain nombre de savoirs combinés de façon spécifique. 37

38 Définition de la notion de compétence professionnelle.
La seconde notion considère que la compétence permet d’aboutir à une performance, laquelle pour certains auteurs ne représente que sa part observable voire mesurable. De plus, cette compétence est mobilisable dans plusieurs contextes professionnels ou familles de situations. 38

39 Définition de la notion de compétence professionnelle.
Cependant, pour que les deux notions précédentes prennent effet, il est important d’y adjoindre une troisième. Une compétence requiert pour son acquisition et sa mise en œuvre que le professionnel soit en mesure de mener une activité réflexive au cours même de sa réalisation ou après celle- ci. 39

40 Définition de la notion de compétence professionnelle.
40

41 Le tutorat en entreprise.
Constat Le tuteur en entreprise est avant tout un professionnel et sa préoccupation prioritaire n'est pas la formation même s'il s'y implique volontiers. Ses disponibilités sont limitées et il vaut mieux s'attendre à ce que ce soit l’établissement scolaire qui aille au-devant de l'entreprise que le contraire. Sources GREP De plus, le tuteur a tendance à privilégier la relation entre lui et le jeune, entre formateur et formé, et à ne pas prendre en compte le tiers, c'est-à-dire l’enseignant de l’établissement. Or ce dernier, en tant que tiers justement, a un rôle important à jouer. 41

42 Le tutorat en entreprise.
Constat Enfin le tuteur a un langage de professionnel qui n'est pas nécessairement celui du formateur. Il est donc important de se mettre d'accord sur le sens des termes employés ou du moins de repérer les écarts. Sources GREP Dans le cadre de la mission, ce langage s'impose à l'élève en formation. Le professeur devra en tenir compte dans son suivi et avertir l'élève du décalage qui peut le pénaliser dans ses évaluations futures. 42

43 Le tutorat en entreprise.
Constat Dans l'entreprise, le tuteur reste l'interlocuteur privilégié de l’établissement. Son rôle auprès du jeune au cours de sa formation en entreprise est essentiel. Il contribue de manière évidente au succès de cette formation et permet de rendre le jeune plus rapidement opérationnel. Sources GREP Dans le cadre de la mission, ce langage s'impose à l'élève en formation. Le professeur devra en tenir compte dans son suivi et avertir l'élève du décalage qui peut le pénaliser dans ses évaluations futures. 43

44 Le tutorat en entreprise.
Positionnement du tuteur. Le tuteur a tendance à lui confier systématiquement les tâches les moins qualifiées, estimant qu'il doit en passer par là. Le dernier arrivé et le plus jeune ont les tâches les moins intéressantes. Les quatre positionnements du tuteur de stage : Cette attitude n'est évidemment pas formatrice, mais elle caractérise bien certains professionnels qui ont eux-mêmes connu cette situation avant d'obtenir leur poste. 44

45 Le tutorat en entreprise.
Positionnement du tuteur. Le tuteur doit veiller à mettre le jeune en relation avec d’autres professionnels pouvant lui divulguer un autre savoir. Les quatre positionnements du tuteur de stage : Le tuteur se limite à transmettre au jeune ce qu’il sait lui-même. Cette attitude en soi positive, a ses limites. 45

46 Le tutorat en entreprise.
Positionnement du tuteur. Le tuteur estime que le jeune doit participer pleinement à l'activité du service. Ainsi, selon les moments, son travail consiste à faire ce qu'il y a à faire. Il est important que le tuteur suive le plan de formation prévu en collaboration avec l’école. Les quatre positionnements du tuteur de stage : Dans certains cas ce fonctionnement peut pénaliser le jeune. Il peut en effet se retrouver à effectuer des tâches pour lesquelles il n’est pas encore prêt ou qu’il devrait effectuer plus tard par rapport à sa formation. 46

47 Le tutorat en entreprise.
Positionnement du tuteur. Le tuteur considère que le jeune est déjà "qualifié" et il le traite comme un professionnel. L'avantage pour le jeune est qu'il va apprendre plus vite et gagner en maturité, mais il peut tout aussi bien être "bloqué" par cette trop grande et trop nouvelle responsabilité. Les quatre positionnements du tuteur de stage : 47

48 Le tutorat en entreprise.
Référentiel des compétences du tuteur. 48

49 Le tutorat en entreprise.
Référentiel des compétences du tuteur. 49

50 Le tutorat en entreprise.
Référentiel des compétences du tuteur. 50

51 Le tutorat en entreprise.
Référentiel des compétences du tuteur. 51

52 Le tutorat en entreprise.
Référentiel des compétences du tuteur. 52

53 Evaluation des compétences acquises en PFMP.
Le partage de l’acte éducatif : Construire une progression pédagogique en relation avec l’entreprise d’accueil du jeune. Reconnaître à l’entreprise une capacité formatrice. Partager la pratique de l’évaluation et le statut d’évaluateur. Nous pouvons mesurer l’importance du changement culturel que représente encore aujourd’hui la seule idée de construire une progression pédagogique en relation avec des exigences autre que celles des programmes, c’est-à-dire avec l’entreprise d’accueil du jeune, à laquelle on reconnaît désormais une capacité formatrice. Entreprise avec laquelle, de surcroît, il faut partager la pratique de l’évaluation et le statut d’évaluateur. 53

54 BANQUE ACADEMIQUE DE STAGES
Académie de Nancy- Metz Suite au lancement officiel effectué lors de la réunion de rentrée, vous avez été destinataire pour la plupart de vous de plaquettes (hors collège, établissement privé)

55 MISE EN PLACE DE LA BANQUE DE STAGES :
Contexte national : volet E.N. du plan « Espoir banlieues » février 2008. : Phase d’expérimentation. : généralisation des banques de stages (B.O.E.N. N° 36 du 1er octobre 2009) Choix porté sur l’application d’Aix Marseille Transfert de l’application (DSI) Printemps 2010: phase expérimentale des établissements et entreprises ajustement / évolutions Septembre 2010: lancement officiel

56 Objectif: http://stages.ac-nancy-metz.fr
Assurer une plus grande équité dans l’accès de l’ensemble des élèves aux PFE et lutter contre toute discrimination Élèves de 3ème de collèges, de Lycées professionnel ou technologique Étudiants Contexte national : volet E.N. du plan « Espoir banlieues » février 2008. : Phase d’expérimentation : généralisation des banques de stage (B.O.E.N. N° 36 du 1er octobre 2009) Choix porté sur l’application d’Aix Marseille mai –juin 2010: phase expérimentale établissements et entreprises Cible de la 4ème au BTS

57 Un espace de communication :
Établissements scolaires : Collèges, LP- LT en formation professionnalisante, en alternance sous statut scolaire Entreprises : Acteur externe, l'entreprise Partenaires: Les branches professionnelles et les grandes entreprises qui ont signé une convention de partenariat avec l'académie de Nancy - Metz. . Permettant d'échanger des offres et des demandes de stage Le but est de renforcer les partenariats entre les établissements scolaires, les entreprises et les partenaires.

58 Inscription au dispositif :
Délégation de droits : SCONET Guide des établissements et des entreprises disponibles sur le portail de la DAET.

59 Exemple de Fiche Établissement

60 Certains établissements comme le LP Cassin à Metz, le lycée Georges de la Tour ou le LP du bâtiment ont pris contact avec la cellule Education Economie de la DAET et ont commencé à remplir leur fiche descriptive.

61 Calendrier des stages 61

62 Calendrier des stages 62

63 Formation établissement/académie
63

64 Fiche diplômes 64

65 Exemple de fiche Entreprise

66 Exemple d’offre de stages
66

67 Exemple d’offre de stages
67

68 Pour en Savoir plus : http://www.ac-nancy-metz.fr/DAET/
Portail ressources

69 Perspectives …. Travailler au niveau local dans les BEF
Vers la création d’une banque de stages formation nationale… afin d’impulser une dynamique d’exploitation de l’outil et associer les partenaires économiques locaux. avec comme forte hypothèse, la prise en compte à cet effet de l'application créée par l'académie d’Aix Marseille et utilisée par notre réseau. à destination des académies, ….

70 Handicap Handicap Handicap Handicap visuel mental auditif moteur
Accueillir en stage un élève en situation de handicap 70

71 Un stage d’au moins 40h en entreprise, dans le cadre de la formation professionnelle initiale du 2nd degré présente des avantages pour : le jeune en situation de handicap ►démontrer et acquérir des compétences professionnelles en vue d’une qualification ou d’un diplôme. l’entreprise qui l’accueille ►faire évoluer les représentations du handicap. ►contribuer à s’acquitter de l’Obligation d’Emploi de Travailleurs Handicapés (6%). (décret n° du 09/06/09 et circulaire DGEFP n° du 21/10/09 relative au calcul de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés) Le but est de renforcer les partenariats entre les établissements scolaires, les entreprises et les partenaires. 71

72 Pratiques discriminatoires.
LA DISCRIMINATION : PARLONS EN ! 72

73 Discrimination : de quoi parle t’on ?
Définition et textes. Articles et du code pénal 2004 Acte de sélection ou de traitement préférentiel sur des critères illégaux (explicites ou non). 73

74 Discrimination : de quoi parle t’on ?
Critères illégaux (explicites ou non) : - origine, - sexe, - situation familiale, - apparence physique… Critères : origine, sexe, situation familiale, apparence physique, patronyme, état de santé, grossesse, handicap, caractéristiques génétiques, mœurs, orientation sexuelle, âge, opinions politiques, activités syndicales, appartenance ou non-appartenance vraie ou supposée à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. 74

75 Discrimination : de quoi parle t’on ?
Dans des contextes ou des registres déterminés : - accès à un bien, - à un service, - accès à l'emploi ou à un stage. . 75

76 Les formes de discrimination.
La loi : la discrimination est un délit. Toute sélection n'est pas discrimination. En situation de choix, les décisions sont justes lorsqu'elles se fondent sur des critères objectifs (compétences et qualifications pour le travail, revenus pour le logement...). 76

77 Les formes de discrimination.
Discrimination directe. Exemple : choix d’un stagiaire en fonction de son nom, de la couleur de sa peau, de son lieu d’habitation… Discrimination indirecte. Exemple : un hôpital qui n’embauche que les enfants du personnel. 77

78 Les formes de discrimination.
La discrimination est dite systémique. Exemple : le professeur qui ne propose pas un stage à un jeune car il soupçonne l’employeur de faire des sélections discriminatoires. Certaines discriminations sont légales. Il agit dans l’intention de protéger le jeune mais contribue à alimenter une situation discriminatoire. 6,5 millions d'emplois sont interdits partiellement ou totalement aux étrangers, soit environ 30% de l'emploi, dont 1,3 million dans le secteur privé 78

79 La discrimination, ce n’est pas :
Une injure raciale. Un problème de valeur. Une situation culturelle. La discrimination au sens légal ne peut pas concerner les actes des élèves entre eux. Une injure raciale « travail d’arabe » Un problème de valeur « les asiatiques sont des travailleurs » Une situation culturelle : «  Ceux qui viennent d’Afrique se retrouvent, ils se sentent proches, ils ont la même culture, les mêmes fêtes »…. La discrimination au sens légal ne peut pas concerner les actes des élèves entre eux. 79

80 Stéréotypes et préjugés.
Le stéréotype. Il renvoie à faire d’une chose, d’un objet compliqué, une chose, un objet simple. C’est la simplification et l’exagération. Le préjugé. « c’est juger avant » , c’est une croyance ou une attitude adoptée à l’égard d’une personne ou d’un groupe en particulier. 80

81 Racisme et discrimination.
Le racisme La discrimination. - Idéologie, - Acte/fait, - Registre moral, - Registre légal, - Principe du bien et du mal. - Principe commun, « vivre ensemble ». Changer les mentalités. Changer les pratiques. 81

82 Le stage. Un moment de sélection.
La discrimination dans l’entreprise reconnue : Rapport annuel de la Halde, Rapport du BIT (Bureau International du travail) 2007. (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité des chances), 89% des entreprises françaises sont discriminatoires). 82

83 Intégration anticipée dans les pratiques
Intégration de la discrimination dans les pratiques de l’école. Intégration anticipée dans les pratiques La passivité Peurs Résistances Conflits Réponse ethnicisée à la discrimination Conditionnement des élèves 83

84 Les objectifs du plan de lutte contre les discriminations.
Comprendre les enjeux de la discrimination par les personnels concernés. Connaître les dispositifs de prévention, de signalement, d’accompagnement. Faire évoluer les représentations et les pratiques afin de faciliter l’insertion professionnelle des jeunes. 84

85 Logique d’action : inverser la logique
La discrimination est : * Cachée, tue * Réduite à quelques individus racistes, xénophobes, sexistes * Le problème des victimes et des témoins * Occultée en tant que délit * Réduite à un problème d’entreprise. Il faut qu’elle soit : Rendue visible, parlée Comprise comme un processus systémique Accueillie collectivement, travaillée politiquement Le lieu d’une régulation Révélatrice des difficultés de l’école et de ses acteurs 85

86 Comment agir contre la discrimination ? (pour le personnel éducatif)
Rendre visible la discrimination. Prendre en compte la souffrance des jeunes en pratiquant l’écoute. Apprendre à qualifier les faits selon la loi (acte de sélection sur des critères illégaux). Le rappel à la loi comme garantie « du vivre ensemble ». 86

87 Comment agir contre la discrimination ? (pour le personnel éducatif)
Aider au placement en stage de qualité pour tous les élèves, avoir une exigence de formation plutôt qu’une logique de placement. Valoriser les compétences des jeunes. 87

88 Exemples d’actions dans un LP : projet d’établissement
Un projet pour faciliter l’accès aux stages à tous. Construire un partenariat de qualité avec les entreprises. Formation de profs à travailler un argumentaire. Valoriser l’entrée compétences. Une écoute individualisée. Une écoute individualisée (ex : SAS de remédiation des jeunes qui le souhaitent) 88

89 Des enjeux …. MIEUX VIVRE ENSEMBLE.
FAVORISER UN ACCES PLUS EGAL AUX STAGES (égalité réelle et non formelle). TENDRE VERS UNE EGALITE DE TRAITEMENT A L’ECOLE. 89

90 Jeux de rôles : développer un argumentaire.
Déroulement. Un(e) enseignant(e) devra se mettre en situation de négociation d’une PFMP avec un tuteur. Commentaires. Les autres participants élaboreront de leur côté leur argumentaire et apporteront à la fin de l’intervention leurs précisions et leurs commentaires. Synthèse. A partir des éléments de chacun, nous dégagerons les idées fortes qui permettent de développer un argumentaire dans l’accompagnement des élèves dans la recherche des PFMP. 90

91 Exploitation des compétences acquises en PFMP « APRES ».
Pistes de réflexion : Quels sont les éléments à prendre en compte pour aider l’élève à transférer dans la classe les comportements qu’il adopte en entreprise ? Quelles sont les différences de milieu, de méthodes entre les deux environnements qui font obstacle à ce transfert ? 91

92 Exploitation des compétences acquises en PFMP « APRES ».
L'exploitation pédagogique Le milieu professionnel, s'il est un lieu de production, est aussi un lieu de vie et une source d'information sur des thèmes qui concernent la formation générale et la citoyenneté. L'exploitation pédagogique de l'expérience professionnelle acquise en entreprise par les élèves, ainsi que celle des découvertes sociales et culturelles qu'ils y ont effectuées, sont des éléments essentiels de l'enseignement des lycées professionnels. Cette utilisation pédagogique des découvertes et des acquis des élèves est l'affaire de toutes les disciplines. 92

93 Exploitation des compétences acquises en PFMP « APRES ».
L'exploitation pédagogique Travailler à l'acquisition d'une véritable culture professionnelle. Les élèves doivent échanger, comparer, s'enrichir réciproquement de l'expérience des autres. Ce partage contribue au développement de leurs compétences générales (par exemple en matière de communication orale, d'analyse et de synthèse des expériences). 93

94 Exploitation des compétences acquises en PFMP « APRES ».
L'exploitation pédagogique Fixer des objectifs précis avant le départ en entreprise. Construire des outils simples d'observation et de recherche. Travailler dans un cadre pluridisciplinaire. Travailler dans un cadre disciplinaire. La prise en compte dans les enseignements des expériences acquises par les élèves, qui n'est possible que si des objectifs précis leur ont été fixés avant le départ en entreprise et si des outils simples d'observation et de recherche leur ont été remis, s'effectue : - dans un cadre pluridisciplinaire, lors de séances animées par des enseignants de plusieurs disciplines, en particulier lorsque les objectifs visés s'intègrent à la réalisation du projet pluridisciplinaire à caractère professionnel ; - et dans un cadre disciplinaire, lorsque des professeurs ont fixé aux élèves la réalisation de travaux précis relatifs à leur discipline et faisant appel soit à l'expérience directement professionnelle soit à l'expérience culturelle et humaine (concernant par exemple la communication, l'environnement, les rapports humains) qui peuvent s'acquérir pendant le séjour en entreprise. 94

95 Exploitation des compétences acquises en PFMP « APRES ».
L'exploitation pédagogique Les aspects organisationnels de cet encadrement amènent également les membres des équipes pédagogiques à travailler ensemble et contribuent de fait à renforcer la notion de solidarité d'équipe au bénéfice de l'élève. Pour la meilleure mise en œuvre possible de l'encadrement des périodes en entreprise, il importe notamment d'aider au maximum les équipes pédagogiques dans la réalisation de supports d'information et d'évaluation qui soient les plus aisément compréhensibles par les entreprises, et, dans la mesure du possible, harmonisés au niveau académique. Il revient aux corps d'inspection d'exercer dans ce domaine leur indispensable rôle d'animation et de conseil auprès des enseignants, en étudiant avec eux la meilleure harmonisation possible des méthodes et outils pédagogiques à utiliser. . 95

96 Accompagnement des élèves en PFMP.
Groupe de travail académique. Création du groupe en 2000. Composition : Inspecteurs, Proviseurs, Chefs de travaux, Enseignants, Ingénieurs pour l’Ecole Objectifs : Etablir la procédure de placement en stage. « Qui fait quoi en fonction des textes réglementaires » Production : Tableau d’organisation globale des PFMP « Avant, Pendant, Après ». 96

97 Accompagnement des élèves en PFMP « AVANT ».
Calendrier des stages : mars-avril n-1 Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 97

98 Accompagnement des élèves en PFMP « AVANT ».
Base de données et assurance n-1 Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 98

99 Accompagnement des élèves en PFMP « AVANT ».
Organisation pédagogique : pré-rentrée. Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 99

100 Accompagnement des élèves en PFMP « AVANT ».
Préparation des élèves : dès la rentrée. Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 100

101 Accompagnement des élèves en PFMP « AVANT ».
Sécurité et conformité. Le chef de travaux doit contrôler que les horaires et mesures de sécurité sont respectés dans l’entreprise et prendre toutes les dispositions pour les élèves mineurs. 101

102 Accompagnement des élèves en PFMP « AVANT ».
Validation et contractualisation. Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 102

103 Accompagnement des élèves en PFMP « AVANT ».
Préparation des élèves : dès la rentrée. Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 103

104 Suivi des élèves en PFMP « PENDANT ».
Arrivée du stagiaire et prise de rendez-vous. Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 104

105 Suivi des élèves en PFMP « PENDANT ».
Evaluation. Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 105

106 Suivi des élèves en PFMP « PENDANT ».
Gestion des absences et des déplacements. Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 106

107 Exploitation des compétences acquises en PFMP « APRES ».
Bilan individuel au lycée. Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 107

108 Exploitation des compétences acquises en PFMP « APRES ».
Remerciements et sollicitation. Extrait du tableau d’organisation globale des PFMP. 108


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