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Publié parMarion Bardin Modifié depuis plus de 11 années
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Les Répercussions de la Première Guerre mondiale
L’Histoire du Canada M. Bridgeo
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Le Canada; une colonie de la Grande-Bretagne
Aujourd’hui, le Canada est connu partout au monde comme un pays fort et indépendent. Nous avons notre propre identité …mais ce n’était pas toujours le cas. En 1914, le Canada était encore une colonie de la Grande-Bretagne, toujours prêt a l’appel de l’Angleterre. Nous avons répondu a l’appel la première fois pour la Guerre de Boer en Afrique du Sud quand nous avons envoyé des volontaires, et ensuite au début de la Première Guerre mondiale quand des milliers d’hommes et de femmes volontaires sont allés en Europe. M. Bridgeo
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Toute a changé en 1916 David Lloyd George et Le diable lui-même, (Adolph Hitler) Notre Premier Ministre, Robert Borden, n’était pas content qu’il ne recevait pas toute l’information de ses égaux eux-même, mais de l’information fournie par des journaux!!! Il voulait que le Canada ait son mot à dire dans les affaires de la guerre…et en 1916, avec un revirement du gouvernement en Angleterre, l’opportunité se présentait. Le nouveau Premier Ministre, David Lloyd George, pensait que les colonies « ne battent pas pour nous, mais avec nous », et a invité les premiers ministres des colonies aux rendez-vous du Cabinet de la guerre à « discuter les meilleurs moyen de coopérer » dans la guerre. M. Bridgeo
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L’ évolution de notre identité
Cabinet impérial de guerre, Londres, Sir Robert Borden est assis au premier rang, troisième à partir de la droite. Alors, pour la première fois, le Canada était considéré comme un « égal » avec des autres pays du monde, des puissances mondiales. Le Canada commence à gagner une identité comme un pays indépendant! Mais, ce n’était pas assez pour Borden. Il voulait l’avoir en écriture et il l’a recu avec Article IX du Cabinet de la guerre. Article IX était rédigée par Robert Borden (mais contribuée à Jan Smuts d’Afrique du Sud) et stipulait que le Canada et les autres colonies obtenaient « une reconnaissance complète en tant qu’États autonomes »… Le Canada est maintenant un partenaire à part entière dans l’Empire britannique. M. Bridgeo
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La conférence de paix de Paris
Avec ce grand pas en avant vers l’indépendance, à la fin de la guerre, le Canada et Borden en particulier, est invité à Paris par Lloyd George pour redessiner la carte de l’Europe…mais il refusait. Il voulait que le Canada ait sa propre siège…le Canada a payé son autonomie au prix du sang…et le Canada a gagné deux sièges à la conférence La participation à la conférence de paix garantissait au Canada un siège (et un droit de vote) à la Société des Nations, une nouvelle création du Traité de Versailles. Ce traité « visait à garantir que la Première Guerre mondiale serait véritablement la dernière des guerres et que l’Europe jouirait d’une paix durable. Sir Robert Borden est assis au deuxième siège à droite du bout de la table. M. Bridgeo
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Le Traité de Versailles et Article 231
L’Europe, 1919 Le Traité de Versailles, aux yeux du monde entier, montrait que le Canada est arrivé comme un pays indépendant. Les conditions du Traité exigait de lourdes réparations aux pays d’Europe par l’Allemagne et aussi que l’Allemange cède contrôle des terres gagnés pendant la guerre aux pays européens (l’indépendance de l’Autriche et de la Tchécoslovaquie, parmi des autres). L’article 231 du Traité a forcé l’Allemagne à se reconnaître responsable de la Première Guerre mondiale…ce traité à mécontenté l’Allemagne et a créé une paix fragile…qui durerait moins que 20 ans. M. Bridgeo
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L’armistice et la paix L’Armistice, ou l’accord qui a mis fin à la guerre était signé le 11 novembre, 1918. Cette paix a changé le paysage canadien et la vie des soldats qui luttaient outre-mer depuis 1914. Le retour au Canada pour les soldats n’était pas facile, ni bien organiser. Le processus de l’immobilisation était repoussé et les soldats blessés ou avec la traumatisme ne recevait pas beaucoup de sympathie ni soutien. Ils ont recu des prêtes à faible taux d’intérêts mais la plupart de ces hommes n’ont pas eu beaucoup de succès dans ses tentatives. M. Bridgeo
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Des soldats frustrés M. Bridgeo
Les soldats canadiens étaient frustrés à l’armistice parce qu’ils pensaient, avec raison, qu’ils iraient chez eux tout de suite. Mais, c’était l’hiver et le plus grand port du Canada était détruit par l’explosion du Halifax, et les possibilités d’emplois sont diminuées Alors ils étaient frustrés, et voici quelques raisons pour leur mécontentement… il y avait des milliers de soldats canadiens qui étaient envoyés en Russie à lutter contre les forces communistes avant de retourner au Canada. ils devaient tous aller en Angleterre pour les examens médicaux. ils devaient tous remplir des questionnaires (en quatre exemplaires) il y avait une grippe dans les camps militaires pendant un hiver exceptionnellement rigoreux M. Bridgeo
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Promis de réintégration et des prestations
Voulant gagner l’élection de 1917, Borden a fait plusieurs promis aux canadiens. Un promis aux soldats et à leurs familles était l’aide avec la réintégration des anciens combattants. Mais, en réalité, est-ce que c’était réalisé ? Les soldats ont recu des prestations pour le service outre-mer, mais ce n’était pas assez. Il y en avait qui ont perdu un bras, une jambe, qui était aveugle ou sourd. Les veuves étaient vraiment maltraitées par le gouvernement. À recevoir une pension pour le sacrifice de leurs maries, une femme devait : démontrer qu’elle en avait besoin ne pas se remarier, et faire la preuve de sa bonne conduite. M. Bridgeo
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Les syndicats et les grèves
Les soldats qui sont retournés au Canada, et les autres citoyens n’ont pas mené une vie facile après la guerre. Il y avait une mini-dépression économique et il n’y avait pas beaucoup de travail et le traitement des travailleurs n’étaient pas bien. Les hommes et les femmes ont commencé à s’organiser en syndicats et ont demandé des droits des employeurs. À ce temps au Canada, il y avait des émeutes et des grèves…les citoyens luttaient pour leurs droits comme travailleurs, essentielle à l’économie. M. Bridgeo
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La vie des femmes On sait bien que les femmes ont travaillé fort sur le front intérieur pendant la guerre. Elles ont donné leurs fils et leurs maries pour la paix du monde. Elles ont forcé la prohibition. Elles ont recu le droit de voté dans des élections. Par 1921 elles formaient 15% de la main-d’œuvre (work force) au Canada. Les jeunes filles gagnaient peu-à-peu accès à la formation scolaire supérieure, aussi. M. Bridgeo
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