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LE SYNDICAT DES EAUX DE LA CHARENTE MARITIME

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Présentation au sujet: "LE SYNDICAT DES EAUX DE LA CHARENTE MARITIME"— Transcription de la présentation:

1 Le département de Charente-Maritime Gestion de l’alimentation en eau potable en situation de crise

2 LE SYNDICAT DES EAUX DE LA CHARENTE MARITIME
Service public de l’eau à l’échelle départementale 466 communes (sur 472) adhèrent au Syndicat pour l’alimentation en eau potable Patrimoine kms de réseau 230 réservoirs d’eau potable 63 captages

3 Les différents types de gisement
Fleuves et rivières : Alimentés par les nappes et par le ruissellement des pluies. Cette ressource est abondante mais nécessite des traitements coûteux.

4 Alimentation en eau potable du département Réseaux et eaux de surface
Apport des barrages de Vendée m3/j Volumes distribués (15 Millions de m3/an) Barrages de Vendée m3/j Usine Lucien Grand Usine Lucien Grand (traitement de l’eau du fleuve Charente) Retenue d’eau brute 1,5 Millions de m3 Retenue d’eau brute de St Hippolyte

5 Les différents types de gisement
Nappes captives: Entre 20 et 500 mètres de profondeur. Elles sont privilégiées pour l’alimentation en eau potable car leur localisation les isole des pollutions de surface grâce aux terrains imperméables qui les recouvrent. Nappes libres: Captées entre 20 et 50 m par des puits ou des forages, elles représentaient le point d’alimentation des communes à partir des années nappe libre nappe Captive Horizon imperméable

6 Les ressources en eaux souterraines (35 Millions de m3/an)
12 en nappe libre 15 captages en domaine Jurassique 3 en nappe captive AU TOTAL 63 captages 47 captages en domaine Crétacé 14 en nappe libre 11 en nappe semi-captive 22 en nappe captive 1 ouvrage intéressant l’Eocène captif

7 Potentiel des ressources souterraines
Leur capacité de stockage est supérieure aux nappes libres, elles se vidangent et se rechargent plus lentement (temps de séjour de quelques années à plus de ans). Peuvent supporter plusieurs étiages sévères consécutifs Les nappes libres : Les nappes captives : Leur potentiel n’est pas constant dans le temps. Le cycle de vidange et de recharge est d’une année Fragiles en étiage sévère

8 Littoral Intérieur CONSOMMATION D’EAU 2005 Moyenne journalière en m3
Les besoins en eau potable (50 Millions de m3/an) 81 000 48 000 Littoral 27 000 22 000 Ville de LA ROCHELLE 35 000 45 000 Intérieur 43 000 17 000 Presqu’île d’ARVERT Période estivale Période hivernale CONSOMMATION D’EAU 2005 Moyenne journalière en m3

9 le Schéma Départemental d’Alimentation en eau potable pour 2015
Evolution de la production en eau potable sur le réseau littoral Pics de consommation en Juillet et Août Les consommations en Juillet 2006 (> m3/j) ont dépassé les consommations estimées dans le Schéma Départemental d’Alimentation en eau potable pour 2015

10 L’irrigation en Charente-Maritime Influence des prélèvements agricoles
Consommation d’eau : 80 à 100 Millions de m3 en 3 mois Conséquence sur l’état des ressources en eau souterraine : abaissement généralisé du niveau pièzométrique Exemple du forage en nappe captive de La Chapelle des Pots prochainement exploité pour l’eau potable Courbe de vidange naturelle de la nappe Courbes de vidange Influencée par les prélèvements d’eau pour l’irrigation  Prise en compte de la gestion estivale depuis plus de 15 ans. Toutefois, cette problématique est encore présente sur quelques champs captants

11 Les ouvrages d’irrigation et l’eau potable
Plus de 3500 forages d’irrigation dans le département Près de 110 points de prélèvement pour l’eau potable dans le département Malgré le grand nombre de forages privés, la concurrence directe est principalement observée sur un seul champ captant d’eau potable.

12 Gestion préventive de la ressource Fleuve Charente en crue
Dès le mois de Février, évaluation des ressources : Eau de surface : taux de remplissage des barrages vendéens et de la retenue d’eau brute de St Hippolyte, débit du fleuve Charente Fleuve Charente en crue (ville de Saintes) Même si en février la Charente est en crue, l’estimation des débits du fleuve à l’étiage dépendra du taux de recharge des nappes en amont. Une crue du fleuve Charente en hiver n’est donc pas forcément synonyme d’un débit important en période estivale. Retenue d’eau brute Vue aérienne de la retenue d’eau brute de St Hippolyte (capacité de stockage : 1,5 Millions de m3) Usine de traitement de l’eau

13 Gestion préventive de la ressource
Dès le mois de Février, évaluation des ressources : Eau souterraine : niveaux piézométriques à comparer avec les chroniques des années antérieures Niveau maximum de la nappe (année 2000) Niveau année 2003 Niveau année 2004 Niveau année 2005 Niveau année 2006

14 Analyse de la vulnérabilité
Exemple des derniers étiages sévères : 2003 : canicule entraînant une très forte consommation durant le mois d’Août. Impossibilité de stocker la nuit toute l’eau nécessaire pour la journée suivante (difficulté d’approvisionnement de l’Ile de Ré) 2005/2006 : travaux de stockage réalisés mais difficulté d’appréhender la demande estivale en eau potable qui varie en fonction des facteurs climatiques (température, pluviométrie) et la date de la pointe de consommation La gestion de l’alimentation en eau potable est tributaire de facteurs extérieurs et ne laisse aucune marge de manœuvre. Une gestion d’alerte est donc nécessaire.

15 Gestion d’alerte de la ressource
Communication de la situation : notes du Syndicat des Eaux au Préfet (Février, Avril …) Organisation multi-ressources : Privilégier l’utilisation des eaux de surface par rapport aux forages avant les jours de pointe : consignes aux exploitants de mise en réserve des eaux souterraines et d’optimisation des eaux de surface via les interconnexions Utilisation optimale des interconnexions grâce à la télégestion : gestion des stocks d’eau et optimisation en fonction du transit, du stockage et de la qualité à maintenir

16 Complexe des « Evières »
Import des Barrages de Vendée Complexe de «Marsilly » Complexe des « Evières » Complexe du Thou Complexe de St-Pierre-d’oléron « L’Aubier » Usine « Sud-Charente » Complexe de «L’éguille » Trizay « Le Bouil de Chambon » Usine de « Coulonge » Ecurat « Pelouse de Réveiloux » Nieul-les-Saintes « La Métairie » Bâche au sol de « Mongré » Saintes « Lucérat »

17 Gestion d’alerte de la ressource
Communication de la situation : notes du Syndicat des Eaux au Préfet (Février, Avril …) Organisation multi-ressources : Privilégier l’utilisation des eaux de surface par rapport aux forages avant les jours de pointe : consignes aux exploitants de mise en réserve des eaux souterraines et d’optimisation des eaux de surface via les interconnexions Utilisation optimale des interconnexions grâce à la télégestion : gestion des stocks d’eau et optimisation en fonction du transit, du stockage et de la qualité à maintenir Renforcement de la surveillance (qualité et quantité) sur les ouvrages stratégiques : Note quotidienne (niveaux, débits, qualité) et note hebdomadaire (63 captages) diffusées aux acteurs de l’eau. Mise à disposition des données via une plate forme internet sécurisée.

18 Gestion de crise de la ressource
Evaluation hebdomadaire de la marge de manœuvre en eau potable avec les services de la DDASS, par secteurs et en fonction des entités (en référence au Schéma Départemental) graphique Notes au Préfet sur la nécessité de mettre en place des restrictions d’usage et des incitations aux économies d’eau Communiqués de presse : presse écrite, radio, télévision Mutualisation des ressources : dépannage avec d’autres collectivités (CDA La Rochelle, ville de Saintes) et réciprocité en hiver Etiage 2005 : problème général de disponibilité de ressources pour la façade littorale  dépannage par la CDA La Rochelle Hiver 2005 : problème de qualité de la ressource la ville de Saintes  dépannage par le Syndicat des Eaux Etiage 2006 : pic de consommation record de m3/j sur la façade littorale  dépannage par la CDA La Rochelle

19 Bilan de la gestion de la ressource
Afin de garantir une gestion cohérente de l’eau potable, il est impératif : de maintenir des réseaux de surveillance (qualité et quantité) en partenariat avec les autres producteurs d’eau de se doter de marges de sécurité conséquentes (doublement de l’usine de traitement d’eau de surface, nouveaux forages en eau souterraine, amélioration constante des transits et des stockages)


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