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Publié parFiacre Guillot Modifié depuis plus de 11 années
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1 J O U R N E E D E T U D E S Jeudi 15 mars 2007 GIM Les mobilités sur le marché du travail en Ile-de-France
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2 J O U R N E E D E T U D E S Jeudi 15 mars 2007 GIM Les mobilités sur le marché du travail en Ile-de-France Michèle VALLADON Présidente du GIP CARIF Ile-de-France Jacques BERNHARDT Directeur de la Formation du Groupement des Industries Métallurgiques
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3 Mobilités en Ile-de-France : éléments de cadrage Christine BRUNIAUX Responsable de lOREF Ile-de-France J O U R N E E D E T U D E S Jeudi 15 mars 2007 GIM Les mobilités sur le marché du travail en Ile-de-France
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4 Mobilités géographiques et professionnelles en Ile-de-France : de quoi parle-t-on ? Mobilités professionnelles - Entre entreprises, métiers, secteurs, postes de travail - En début et/ou en cours de vie active - Voulues (promotion…) ou subies (licenciement, passage par le chômage…)
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5 Mobilités géographiques et professionnelles en Ile-de-France : de quoi parle-t-on ? (suite) Mobilités géographiques (pour se former ou travailler) - Internationales - Inter-régionales - Dans la région (migrations alternantes en particulier)
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6 Comprendre les mobilités, cest comprendre le fonctionnement du marché du travail 2 axes essentiels danalyse - Les trajectoires des individus, avec ou sans changement dentreprise, avec passage ou non par le chômage ou linactivité - Lalimentation des métiers, avec ou sans changement dentreprise, suivant des logiques de - marché interne - marché externe - marché professionnel
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7 Une mobilité très importante sur le marché du travail
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8 Le régime dalimentation et de mobilité dun métier FAP Etudiants Autres inactifs, chômeurs Autres métiers au sein de l entreprise = marché interne Autres métiers en changeant d entreprise Changement d entreprise dans le même métier = Marché externe marché professionnel
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9 Mieux connaître lalimentation des métiers pour agir efficacement sur le marché du travail Pour favoriser ladéquation offre/demande de travail et ne pas connaître la coexistence de difficultés de recrutement et dun chômage élevé Dautant que les difficultés de recrutement risquent de saccroître dans lavenir avec le « papy-boom »
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10 Résumé des épisodes précédents… Les jeunes primo-demandeurs demploi ne sinscrivent pas tous à lANPE dans le métier pour lequel ils ont été formés 1 jeune sur 2 travaille dans un métier qui ne correspond pas à sa formation dorigine ¼ des emplois franciliens vont, dici 2015, être touchés par le papy-boom Les métiers où les besoins de recrutement vont être les plus élevés : métiers tertiaires très qualifiés, certains ouvriers qualifiés, métiers des services aux personnes
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11 Des conséquences opérationnelles importantes pour lavenir Accompagner les demandeurs demploi pour ladaptation de leurs compétences sécurisation des parcours Accompagner les entreprises pour leur GRH et limiter les difficultés de recrutement anticipation des mutations économiques, en particulier par la prospective des métiers
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12 Des présentations qui intègrent lensemble de ces axes danalyse Les mobilités des jeunes Franciliens en début de vie active (D. Clément, P. Girard) Les multiples facettes des mobilités des Franciliens (F. Lainé) Besoins de recrutement à lhorizon 2015 et mobilités professionnelles (M.-A. Estrade)
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13 Les primo-sortants du système scolaire et leurs parcours professionnels en Ile-de-France, situation et mobilités David CLEMENT Rectorat de Versailles J O U R N E E D E T U D E S Jeudi 15 mars 2007 GIM Les mobilités sur le marché du travail en Ile-de-France
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14 Lenquête « Génération 1998 » du Céreq Une enquête auprès de jeunes : - sortis de formation initiale la même année en 1998 et interrogés 3 ans après la fin des études, - à tous les niveaux de formation, - avec une représentativité nationale et déclinaison régionale possible. Interrogés sur : - leur parcours scolaire et leurs expériences de travail en cours détudes, - leurs situations demploi et de non emploi durant leur trois premières années de vie active - leurs origines géographiques et sociales
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15 Situation 3 ans après sortie de formation initiale (hors service national)
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16 Situation 3 ans après sortie de formation initiale (hors service national)
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17 Des mobilités de précarité pour les peu diplômés Une succession de séquences demplois pour les Bac Mobilité sur le marché du travail (%) Peu de mobilitéMobilité emploi – chômage Toujours en emploi Toujours au chômage Une seule transition emploi/ chômage Mobiles en emploi Très mobiles en emploi Chômage récurrent Alternance emploi / chômage Non qualifiés161114341096 CAP ou BEP non Dipl, 2 nd 1 re 1841639976 CAP ou BEP tert2331640936 CAP ou BEP indus2521243935 Bac non dipl28111411234 Bac tert2521445923 Bac indus31211391143 Bac Gen, Bac+1, Bac+2 non dipl 2718471223
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18 Accès direct à lemploi ou succession demplois pour une mobilité ascensionnelle des plus qualifiés Mobilité sur le marché du travail (%) Peu de mobilitéMobilité emploi – chômage Toujours en emploi Toujours au chômage Une seule transition emploi/ chômage Mobil es en empl oi Très mobiles en emploi Chômage récurrent Alternance emploi / chômage Bac+2 de la santé et du social 500631903 DEUG, DEUST3011146426 BTS, DUT tert351944713 BTS, DUT indus2301051925 2 nd cycle LSH, gestion3011148623 2 nd cycle maths, sc tech 3411738441 3eme cycle LSH, gestion 4411232327 Ecoles commerce362453213 3eme cycle maths, sc, tech 3601835731 Ecoles ingénieur4402134001
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19 Jusquau Bac, peu de mobilité géographique Mobilité géographique (%) Entre la 6 ème et la fin des étudesEntre la fin des études et trois ans après Mobilité Province/etr Idf Mobilité au sein de lIle-de-France Mobilité Idf Province/etr Non qualifiés2532 CAP ou BEP non Dipl, 2 nd 1 re 4453 CAP ou BEP tert4794 CAP ou BEP indus3654 Bac non dipl6682 Bac tert108115 Bac indus37106 Bac Gen, Bac+1, Bac+2 n dipl 98117
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20 Des sortants du supérieur plus mobiles au sein et en sortie de la région Mobilité géographique (%) Entre la 6 ème et la fin des étudesEntre la fin des études et trois ans après Mobilité Prov/etr Idf Mobilité au sein de lIle-de- France Mobilité Idf Prov/etr Bac+2 santé social37121929 DEUG, DEUST138178 BTS, DUT tert138176 BTS, DUT indus128167 2 nd cycle LSH, gestion2214187 2 nd cycle maths, sc tech20132114 3eme cycle LSH, gestion3119188 Ecoles commerce3517186 3eme cycle maths, sc, tech 30182016 Ecoles ingénieur49102924
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21 En dehors du niveau de diplôme, dautres facteurs déterminent la mobilité géographique La mobilité géographique est plus élevée pour : - les femmes - les apprentis - les jeunes qui ont un père en emploi. Cette mobilité est plus faible pour : - les jeunes nés de parents immigrés (Maghreb, Turquie, Europe du sud).
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22 Variables liées à linsertion 3 ans après la sortie Variables liées à lobtention dun emploi3 ans après la sortie Sexe du sortantPas deffet Niveau de sortie / scolarité VI, Vbis et CAP-BEP tert--- Niveau III santé social, BTS-DUT indus, 2/3 cycle math, sciences et tech ingénieur +++ Apprentissage+++ Origine des parents Maghreb, Afrique noire--- Situation des parents Père en emploi+++ Petits boulots ou jobs vacances+++ Mobilité géographique Mobilité au sein de la régionPas deffet Sortie de la région--- Mobilité « professionnelle » Peu de séquences demploi ou de chômage auparavant+++ Accumulation de séquences demploi/chômage auparavant---
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23 Conclusion Confirme le rôle protecteur du niveau de formation En soulignant limportance de la spécialité et de lobtention du diplôme. Autre facteur important : le mode de formation (voie scolaire ou apprentissage) La multiplication des séquences emploi/chômage recouvre deux réalités : une mobilité professionnelle touchant à la précarité ou une mobilité visant une ascension professionnelle pour les plus diplômés On note une prédominance des mouvements géographiques pour les sortants du supérieur et, a contrario, le peu de mobilité pour les sortants du secondaire.
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24 Les mobilités en début de carrière Pierre GIRARD Direction régionale de lInsee J O U R N E E D E T U D E S Jeudi 15 mars 2007 GIM Les mobilités sur le marché du travail en Ile-de-France
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Le premier emploi des jeunes franciliens facilité par la diversité des offres
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Particularités franciliennes Région jeune Formations élevées Concentration du tissu productif Réactivité à la conjoncture
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Méthode et définition Déclarations Annuelles de Données Sociales (DADS) Premier emploi Mobilité professionnelle Privé EtatTerr.H Emplois non salariés Emplois salariés Chômeurs
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Premier emploi facilité en Ile-de-France Entrée tardive, 23 ans et 2 mois Stabilité relative, 16 mois Tertiaire, tertiaire et tertiaire, 89% Nombreux postes de cadres, 13%
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Forte mobilité professionnelle 25% des jeunes en début de carrière connaissent une mobilité sociale 39% changent de secteur dactivité
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Dualité francilienne Social Economique, tissu productif Emploi, début de carrière
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31 La mobilité professionnelle des Franciliens : une mobilité à multiples facettes J O U R N E E D E T U D E S Jeudi 15 mars 2007 GIM Les mobilités sur le marché du travail en Ile-de-France Frédéric LAINÉ OREF Ile-de-France
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32 Les dimensions de la mobilité professionnelle analysées Changement de fonction ou de poste dans lentreprise Le changement dentreprise pour les personnes en emploi en 1998 et 2003, et les périodes de non emploi Le changement de métier (nomenclature des familles professionnelles) Le changement de secteur dactivité La promotion au travers des changements de groupes socioprofessionnels Le mode dalimentation des métiers Le risque de perte demploi
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33 Les questions posées La mobilité professionnelle est-elle plus importante en Ile-de-France quen province ? Quels sont les déterminants de cette mobilité professionnelle? –facteurs « classiques » (niveau de qualification, type dentreprise, niveau de diplôme, âge, genre) –les autres facteurs : origine géographique, mobilité géographique (infrarégionale, en dehors de la région), lieu dhabitat (ZUS), utilisation des NTIC Les déterminants sont-ils les mêmes en Ile-de-France et en province? Quels sont les régimes dalimentation des métiers (mobilité interne, passage par le chômage, mobilité dentreprise) ?
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34 Questions de méthode Enquête FQP (Formation Qualification Professionnelle), qui permet de suivre les trajectoires professionnelles des individus de 1998 à 2003 Champ : habitants de lIle-de-France en 2003 (6700 enquêtés), quel que soit le lieu dhabitat en 1998 Analyse descriptive + modèles « toutes choses égales par ailleurs » Six niveaux de qualification étudiés : cadres, professions intermédiaires, ouvriers qualifiés, ouvriers non qualifiés, employés qualifiés, employés non ou peu qualifiés
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35 Changement de fonction ou de poste Changement de fonction ou de poste un peu plus élevé quen province Concerne davantage les cadres et professions intermédiaires, les jeunes, les salariés des grandes entreprises, les salariés utilisant les NTIC
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36 La mobilité entre entreprises : de forts contrastes selon les âges Au sein de lIle-de-France, les plus mobiles sont les jeunes avec des écarts élevés entre les tranches dâge
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37 Pour les ouvriers et employés non qualifiés, les CDD, et les jeunes, un changement dentreprise sur deux saccompagne dune période de chômage ou dinactivité (un sur cinq chez les cadres)
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38 Une mobilité entre entreprises plus importante en Ile-de-France, surtout chez les cadres
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39 Les changements de métiers (familles professionnelles) Un peu plus de changements de métiers en Ile-de-France Les facteurs favorisant une mobilité de métier plus élevée : jeunes, utilisation des NTIC, grandes entreprises, mais aussi ouvriers et employés non qualifiés La mobilité de métiers est donc au centre de plusieurs logiques : carrière professionnelle, marché interne et organisation de lentreprise, technologie, précarité de lemploi, niveau de qualification Les Franciliens ont quitté davantage les métiers industriels et du bâtiment
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40 Les promotions Davantage de chances de promotion en Ile-de-France, lavantage francilien satténue cependant pour les plus de 45 ans Les facteurs qui favorisent la promotion : début de carrière, niveau de diplôme, mobilité dentreprise, grande entreprise, NTIC, mobilité géographique Les femmes, les seniors et les immigrés sont pénalisés Lascendance sociale na pas dimpact en Ile-de-France : moindre influence des réseaux ?
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41 Lien entre promotion et accès à la formation continue
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42 Les enchaînements de mobilité Réponse à la question : comment avez-vous accédé au poste ? Les Franciliens enchaînent plus souvent mobilité dentreprise et promotion interne. Le marché du travail en Ile-de-France = conjugaison du marché professionnel et du marché interne
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43 Lalimentation des métiers Réponse à la question : comment avez-vous accédé au poste ? métiers à mobilité interne forte : métiers des banques et assurances, administration publique, certains métiers de cadres métiers alimentés par danciens inactifs ou chômeurs : employés de service (assistants maternels, employés de maison et agents dentretien, vendeurs) et ouvriers non qualifiés métiers alimentés par des salariés en provenance dautres entreprises : métiers douvriers qualifiés, professions de santé, professionnels des arts et spectacles, communication
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44 Les risques de perte demploi Risque de non – emploi : ouvriers et employés non qualifiés plus concernés, cadres touchés aussi. Jeunes, seniors, immigrés non européens, parents immigrés, habitant de ZUS
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45 Besoins de recrutement à lhorizon 2015 et mobilités professionnelles J O U R N E E D E T U D E S Jeudi 15 mars 2007 GIM Les mobilités sur le marché du travail en Ile-de-France Marc-Antoine ESTRADE Centre dAnalyse Stratégique
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PREMIER MINISTRE Recrutements à lhorizon 2015 et mobilités professionnelles Colloque OREF Ile de France Les mobilités professionnelles Marc-Antoine ESTRADE Prospective des Métiers et Qualifications
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PREMIER MINISTRE Lexercice de prospective « Les Métiers en 2015 » Des projections tendancielles de la demande de travail par métiers et des départs en fin de carrière à lhorizon 2015 Confrontés à des dires dexperts (notamment observatoires de branche) … … et aux modes dorganisation (notamment recrutement) des métiers observés
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PREMIER MINISTRE La fin de « labondance » de la main dœuvre
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PREMIER MINISTRE Toujours plus de cadres et demployés peu qualifiés Créations nettes demploi entre 2005 et 2015 (en milliers) Créations nettes en % de lemploi en 2005 Cadres65414 % Professions intermédiaires3679 % Indépendants-133-12 % Employés qualifiés281 % Employés peu qualifiés46215 % Ouvriers qualifiés3157 % Ouvriers non qualifiés-180-13 % Ensemble1 5136 %
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PREMIER MINISTRE Tertiarisation des activités, polarisation des qualifications, féminisation des emplois Créations nettes demploi entre 2005 et 2015 (en milliers) Créations nettes en % de lemploi en 2005 % de femmes en 2002 T2 Assistants maternels, aides à domicile 21128 %99 % M0 Informaticiens 14933 %20 % V0 Aides soignants 14932 %91 % L5L6 Cadres administratifs et dirigeants 13120 %36 % L2 Employés administratifs 10016 %76 % R4 Cadres commerciaux 9724 %25 % J1 OQ manutention 9222 %11 % T1 Employés de maison 8027 %98 % V1 Infirmiers, sages-femmes 7817 %87 % E1 OQ industries de process 7717 %23 % Total des 10 FAP 1 16423 %57 % Ensemble des 80 FAP 1 5136 %45 %
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PREMIER MINISTRE Les mobilités professionnelles de demain Différentes selon les métiers, les niveaux de qualification, le genre et lâge, Elles dépendront des pratiques de recrutement et de gestion des ressources humaines des entreprises Elles pourraient rester très inégalitaires, choisies et qualifiantes pour les plus diplômés, subies pour les autres
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PREMIER MINISTRE Les profils de recrutement Pour pourvoir leurs postes les entreprises peuvent recourir : à une personne déjà en place (40%) : « marchés internes » à une personne en emploi dans une autre entreprise (30%, dont une majorité en provenance du même métier) : « marchés professionnels » à une personne au chômage ou inactive (20%) : « marchés externes » à un débutant sortant du système éducatif (10%)
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PREMIER MINISTRE Pour les emplois qualifiés des grandes entreprises et de la fonction publique Le retour des carrières internes par reconstitution de viviers pour pourvoir aux postes de cadres La limitation des pratiques de déclassement à lembauche ?
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PREMIER MINISTRE Une hausse des opportunités de changement dentreprise Concurrence des entreprises et politique dattractivité Essentiellement dans les marchés du travail de type « professionnel » où les compétences sont identifiables et transférables
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PREMIER MINISTRE Des emplois peu qualifiés de lindustrie, du bâtiment et de la logistique durablement parcellisés Des besoins des entreprises qui continueront à se porter sur des emplois de courte durée et qui ne permettent pas la construction de trajectoires qualifiantes Un volume global demploi peu qualifié insuffisant pour accueillir les jeunes hommes peu formés
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PREMIER MINISTRE Des emplois (actuellement) peu qualifiés dans les services en forte expansion Professionnalisation des activités et trajectoires qualifiantes vont de pair Des métiers trop exclusivement féminins
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PREMIER MINISTRE Pour les jeunes, une montée des inégalités devant le chômage Plus haut niveau de diplôme atteint Taux de chômage (en moyenne sur les 2 ans après la sortie du système éducatif) 2003-20052015 Diplôme Bac + 3 et plus16 %2 % Diplôme Bac + 214 %2 % Diplôme Bac19 %21 % Diplôme CAP-BEP25 % Sans diplôme ou brevet des collèges41 %56 % Ensemble22 %18 %
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PREMIER MINISTRE Des possibilités de travailler plus longtemps pour les seniors ? Les métiers où les postes à pourvoir sont faibles - Les entreprises ont peu dintérêt à les garder plus longtemps - Problèmes de reconversion Les métiers où les problèmes de santé sont fréquents - Les personnes ne sont pas en mesure de rester plus longtemps sur le même poste - Amélioration des conditions de travail à tout âge, postes de fin de carrière Les métiers où lemploi des seniors peut progresser - Essentiellement des emplois de cadres et de professions intermédiaires
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PREMIER MINISTRE Des marges de manœuvre différentes dune entreprise à lautre Les grandes entreprises et la fonction publique seront capables de construire ou de reconstruire des marchés internes promotionnels pour pourvoir leurs postes qualifiés Les TPE et les PME fortement contraintes, notamment du fait de la concurrence des plus grandes, ce qui peut mettre en péril leur pérennité et leur croissance
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PREMIER MINISTRE Les spécificités de lÎle-de-France Une concurrence avec la province pour attirer les jeunes actifs ? Une concurrence exacerbée entre entreprises pour les marchés professionnels de cadres et douvriers qualifiés ? Un décalage persistant entre lieu de travail et domicile pour les emplois de services les moins qualifiés ?
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PREMIER MINISTRE Une double démarche daccompagnement Accompagner les entreprises afin quelles se dotent des outils nécessaires à leur croissance Accompagner les individus pour une meilleure circulation entre les emplois au sein dun territoire
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62 J O U R N E E D E T U D E S Jeudi 15 mars 2007 GIM Les mobilités sur le marché du travail en Ile-de-France Sylvie MARCHAND Directrice régionale de lINSEE Marc BIEHLER Vice-président du GIP CARIF Ile-de-France Directeur régional du Travail, de lEmploi et de la Formation Professionnelle
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63 Pour leur précieuse collaboration à cette Journée détudes consacrée aux Mobilités sur le marché du travail en Ile-de-France lOREF Ile-de-France remercie ses partenaires :
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64 Toutes les publications de lOREF Ile-de-France www.oref-idf.org www.oref-idf.org et de ses partenaires sont téléchargeables sur : www.oref-idf.org www.oref-idf.org
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65 Toutes les publications de lINSEE Ile-de-France sont téléchargeables sur : http://www.insee.fr
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