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Les techniques de transmission optique.

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1 Les techniques de transmission optique.
Les techniques de transmissions optiques. Les techniques de transmission optique. Projet bibliographique. Anthony REGIS / Romain VENOT

2 Anthony REGIS / Romain VENOT
Introduction Fin des années 1970 : possibilité de transmettre à la vitesse de la lumière? Centres de recherche permanent. Des débits actuels de l’ordre du To/s. Anthony REGIS / Romain VENOT

3 Plan de la présentation.
Définition d’une fibre (fabrication, différents types etc…) Les fibres dans les différentes zones réseau. Le multiplexage des données. La modulation, la détection et l’amplification des signaux. Les évolutions des systèmes optiques et la recherche actuelle. Anthony REGIS / Romain VENOT

4 1) Définition d’une fibre
Un guide d'onde optique de 2 ou plusieurs couches de diélectriques transparents (verre ou plastique) d'indices de réfraction différents. Anthony REGIS / Romain VENOT

5 1) Définition d’une fibre
Dans une fibre, la lumière est confinée dans le coeur et guidée grâce à la gaine optique. Deux types de fabrication: méthodes internes et externes: Consiste en la pose à l'intérieur d'un tube de silice d’un matériau vitreux et à rétreindre cette structure pour obtenir un barreau. Le matériau est déposé sur un mandrin en rotation. Le rétreint est effectué après retrait du mandrin en même temps que la vitrification du matériau. Anthony REGIS / Romain VENOT

6 1) Définition d’une fibre – 2 types.
Il est à noter qu'il existe deux types de fibres optiques définies de la façon suivante: La fibre monomode Si le cœur de la fibre est de l’ordre de quelques microns, la lumière s’y propage selon un seul mode, c’est une fibre dite monomode. Utilise un laser. La fibre multimode si par contre le coeur est de l'ordre de plusieurs dizaines de microns  fibre multimodale  propagation de la lumière plus complexe avec phénomènes de dispersion plus importants. Utilise une diode. Anthony REGIS / Romain VENOT

7 1) Définition d’une fibre – Transmission.
Nombreux atouts par rapport aux câbles en cuivre : Débits très élevés, Légèreté, Encombrement moindre, Insensibilité aux perturbations électromagnétiques, Résistance à la corrosion... Anthony REGIS / Romain VENOT

8 1) Définition d’une fibre – Transmission.
Un rayon guidé va subir une réflexion totale à l'interface des deux couches optiques. Un rayon hors du cône d'acceptance sera simplement réfracté à l'entrée dans la fibre puis à l'interface des deux couches, il passera alors dans la gaine et sera perdu. L'angle d'acceptance permet de définir ce qu'on appelle l'ouverture numérique de la fibre, ouverture qui dépend bien évidemment des indices respectifs des deux couches optiques. Anthony REGIS / Romain VENOT

9 1) Définition d’une fibre – Connexions.
 Une fibre ne peut pas mesurer plusieurs kilomètres pour relier un réseau de bout en bout. Exemple: pour relier Europe et USA, plusieurs fibres sous-marines ont été posées et ont du être soudées entre elles. On appelle les extrémités sectionnées des fibres des épissures. Anthony REGIS / Romain VENOT

10 Définition d’une fibre – Connexions.
Lors d'une connexion bout à bout on peut avoir au niveau des connexions: une séparation longitudinale , un désalignement radial , un désalignement angulaire , une excentricité des coeurs , voire une ellipticité des coeurs . Le positionnement idéal coïncide évidemment avec un maximum de lumière transmise. Anthony REGIS / Romain VENOT

11 1) Définition d’une fibre – Connexions.
Dès lors, on perçoit un problème important  L'affaiblissement du signal au passage dans ces épissures si celles-ci ne sont pas bien calées ou sont mal soudées. Plusieurs sources d’affaiblissement. Anthony REGIS / Romain VENOT

12 2) Les fibres dans les différentes zones réseaux.
Dans le monde de l'informatique et des télécommunications, 3 zones principales, ou types de réseaux, ont été définies: Les réseaux longues distances (WAN, Wide Area Network). Ce sont les réseaux déployés à l'échelle d'un pays ou d'un continent et dont les noeuds sont de très grands centres urbains. Les réseaux métropolitains (Metropolitan Area Network = MAN) qui correspondent aux réseaux mis en oeuvre dans une grande ville. Les réseaux locaux (Local Area Network = LAN). Ils représentent le dernier maillon et finissent d'acheminer les informations à l'abonné. Anthony REGIS / Romain VENOT

13 Anthony REGIS / Romain VENOT
2) Les fibres dans les différentes zones réseaux - WAN Interconnecte deux réseaux séparés par une vaste distance géographique grâce à deux autocommutateurs à autonomie d'acheminement. La transmission des informations se fait désormais sur fibre optique à un débit élevé qui ne cesse d'augmenter (les débits 2,5 Gbits/s et 10 Gbits/s sont déjà installés) Les fibres ont permis de gagner en débit et en distance entre répéteurs par rapport aux systèmes existants, à savoir le câble coaxial (la distance passe de 2 à 100 km). Anthony REGIS / Romain VENOT

14 Anthony REGIS / Romain VENOT
2) Les fibres dans les différentes zones réseaux - MAN Le réseau métropolitain connaît un véritable essor. Il possède un environnement souvent très complexe et divers. On peut distinguer 2 types de réseaux métropolitains: Métropolitains structurants, Métropolitains d'accès. Anthony REGIS / Romain VENOT

15 2) Les fibres dans les différentes zones réseaux - LAN
C'est la dernière partie du réseau de télécommunication, celle qui relie l'abonné et le dernier autocommutateur. Il est toujours constitué par une partie en fibre optique entre l'autocommutateur et la terminaison de réseau optique suivie d'une partie en cuivre qui va jusque chez l'abonné.  Il est de plus en plus envisagé de réduire l'utilisation de circuits de transmission électrique  tout optique dans le but d'augmenter le débit disponible chez l'abonné. Anthony REGIS / Romain VENOT

16 2) Les fibres dans les différentes zones réseaux - LAN
Selon la localisation de la terminaison optique, différentes configurations sont envisageables : FTTH/FTTO (Fiber To The Home / Fiber To The Office) : la terminaison de réseau optique est implantée dans les locaux de l'abonné. La fibre va donc jusqu'à son domicile ou son bureau, et la partie circuit cuivré est très courte. FTTB (Fiber To The Building) : la terminaison de réseau optique est localisée soit au pied d'un immeuble, soit dans un local technique en sous-sol. Elle est partagée entre plusieurs abonnés qui lui sont raccordés par des liaisons en fil de cuivre. FTTC/FTTCab (Fiber To The Curb / Fiber To The Cabinet) : la terminaison de réseau optique est localisée dans une armoire sur la voie publique, dans un centre de télécommunications, ou encore sur un poteau. Anthony REGIS / Romain VENOT

17 2) Les fibres dans les différentes zones réseaux - LAN
Anthony REGIS / Romain VENOT

18 3) Le multiplexage des données.
Diverses solutions ont été proposées pour pouvoir bénéficier pleinement des capacités de la fibre. La technique de multiplexage a été choisie, elle consiste à partager le média de communication, pour y envoyer les données. Le multiplexage peut être temporel ou à longueur d'ondes. Anthony REGIS / Romain VENOT

19 3) Le multiplexage des données – Multiplexage temporel
Le multiplexage temporel (TDM=Time Division Multiplexing)  offrir à un utilisateur à la fois, la totalité de la bande passante pendant un court instant. L'allocation se fait en divisant l'axe du temps en intervalles de temps (IT), et chaque utilisateur ne pourra transmettre que pendant son intervalle de temps. Rq: Un atout majeur: on peut regrouper plusieurs canaux de communications à bas débits sur un seul canal à débit plus élevé. Anthony REGIS / Romain VENOT

20 3) Le multiplexage des données - Multiplexage temporel
Chaque intervalle de temps (IT) est affecté à une voie. Anthony REGIS / Romain VENOT

21 3) Le multiplexage des données - Multiplexage temporel - Optique
Le multiplexage temporel peut être réalisé de manière optique (OTDM= Optical Time Division Multiplexing). Anthony REGIS / Romain VENOT

22 3) Le multiplexage des données - Multiplexage temporel - Electronique
Dans le cas de l'ETDM, le codage RZ et " l'assemblage " des données se font électriquement . Le haut débit obtenu est ensuite utilisé pour la modulation du courant de polarisation d'une diode laser et il n'y a qu'un seul signal lumineux émis. On retrouve ce type de multiplexage temporel sur les canaux E1 en Europe qui regroupent 30 voies analogiques en une voie à 2,048 Mbits/s.    Anthony REGIS / Romain VENOT

23 3) Le multiplexage des données - Multiplexage temporel - Electronique
Anthony REGIS / Romain VENOT

24 3) Le multiplexage des données - Multiplexage en longueur d’ondes(WDM)
WDM (Wavelength Division Multiplexing): N porteuses optiques à différentes longueurs d'onde transmettant chacune un débit D. La bande passante est découpé en périodes. Chaque sous-bande est affectée à un canal. Appelé aussi multiplexage frequentiel (Frequency Division Multiplexing). Anthony REGIS / Romain VENOT

25 3) Le multiplexage des données - Multiplexage en longueur d’ondes(WDM)
L'utilisation nécessite: Un ensemble de diodes laser émettant à des longueurs d'ondes différentes. Des multiplexeurs/démultiplexeurs optiques pour combiner/séparer l'ensemble des signaux optiques dans/de la fibre. Anthony REGIS / Romain VENOT

26 3) Le multiplexage des données - Multiplexage en longueur d’ondes(WDM)
Pour éviter le chevauchement des ondes, il faut déterminer un espacement minimum qui dépend de plusieurs facteurs : Qualité de la fibre Qualité des multiplexeurs/démultiplexeurs, Longueur de transmission, Qualité des sources, Débit des données de chaque source ... La capacité du système est un débit numérique égal à N * D. Une autre application du WDM concerne les LAN. Chaque abonné se voit attribuer une longueur d'onde, ce qui équivaut à une "couleur". Permet une évolution continue du réseau par l'ajout de nouveaux services ou de nouveaux abonnés simplement par insertion d'une nouvelle longueur d'onde. Anthony REGIS / Romain VENOT

27 3) Le multiplexage des données – WDM Combiné à TDM
Chaque signal modulé issu d'une étape de multiplexage temporel, peut être ensuite multiplexé avec d'autres signaux à d'autres longueurs d'onde. Associer TDM et WDM est la situation la plus fréquente. Dans ce cas, après démultiplexage optique, une étape de démultiplexage temporel permet la restitution des signaux d'origines " bas débit ". Anthony REGIS / Romain VENOT

28 Anthony REGIS / Romain VENOT
3) Le multiplexage des données – Accès multiple à répartition de code - CDMA CDMA (Code Division Multiple Access)  affectation d'un code à chaque station ou utilisateur. Chaque bit=1 est remplacé par une séquence différente pour chaque utilisateur et définie comme la signature (le code). Un nombre important de messages peut être envoyé sur une même ligne de transmission. Le destinataire possédant la bonne " clé " pourra décoder son signal. Anthony REGIS / Romain VENOT

29 4) La modulation, la détection et l’amplification des signaux.
Pour transmettre des informations dans les medias optiques, il faut les imprimer sur le signal à envoyer, c'est ce que l'on appelle modulation. Pour cela, il est nécessaire de réaliser une conversion des données électriques en données optiques. Il existe principalement 2 techniques : la modulation directe et la modulation externe. Anthony REGIS / Romain VENOT

30 Anthony REGIS / Romain VENOT
4) La modulation, la détection, l’amplification … Modulation directe – modulation d’amplitude Modulation facile : la modulation du courant qui les traverse entraîne directement la modulation en intensité de la lumière émise. Peu de composant : en dehors du laser, seuls un générateur de courant et un driver sont nécessaires. Anthony REGIS / Romain VENOT

31 4) La modulation, la détection, l’amplification … Modulation externe
La modulation externe consiste à écrire les données électriques sur un signal optique continu. Elle est obtenue en modulant directement le faisceau lumineux en sortie du laser et non plus le courant d'alimentation à l'entrée du laser. Un driver est souvent présent entre les données et le modulateur afin de fixer les niveaux de la tension de contrôle et choisir les modifications du facteur de transmission. Anthony REGIS / Romain VENOT

32 4) La modulation, la détection, l’amplification … La détection
Plusieurs méthodes pour envoyer l'information sur le media lumineux  différentes techniques pour la récupérer. Le photodétecteur (photodiode PIN ou avalanche) est toujours nécessaire pour convertir le signal optique en électrique. Deux types de détection: Directes, Cohérentes (hétérodyne, homodynes). Anthony REGIS / Romain VENOT

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4) La modulation, la détection, l’amplification … La détection - directe Pour extraire le signal qui module en amplitude une onde, on peut le redresser. Le signal modulant et des harmoniques sont alors émis. Les harmoniques peuvent être éliminées par filtrage, dans la mesure où la fréquence de l'onde porteuse est très grande devant la fréquence maximale du spectre du signal modulant. Le détecteur peut être réalisé soit par une diode PIN, soit une photodiode à avalanche (PDA). Anthony REGIS / Romain VENOT

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4) La modulation, la détection, l’amplification … La détection – hétérodyne/homodyne Réception hétérodyne : Le signal reçu ainsi qu'un signal issu d'un oscillateur local sont couplés pour réaliser une combinaison linéaire des signaux présents sur ses deux entrées. Une des deux sorties attaque le photomélangeur. Le signal détecté est filtré autour de la fréquence intermédiaire. Réception homodyne : utilisation d’un oscillateur local à la même fréquence que le signal reçu et synchronisé en phase avec la porteuse de celui-ci. réception homodyne  cas particulier de la réception hétérodyne. Anthony REGIS / Romain VENOT

35 4) La modulation, la détection, l’amplification … L’amplification
Pour minimiser les perturbations (bruit et distorsion) sur les signaux, préamplificateur et photodétecteur sont souvent réunis dans un même boîtier. On rencontre deux types de préamplificateurs. L'amplificateur à haute impédance d'entrée  Jusqu'à quelques MHz,  Structures très sensibles et de faible bruit.        L'amplificateur transimpédance  freq. > 50 Mhz, moins de bruit que Haute Impédance. Limites : Au-delà de 500 MHz, cette solution est limitée par des problèmes de stabilité et on utilise des transistors à effet de champ. Anthony REGIS / Romain VENOT

36 5) Les évolutions et la recherche actuelle – Le pont Laser
Interconnexion de deux bâtiments grâce à une liaison laser et donc sans fils. Les avantages offerts par ces solutions sont nombreux et méritent d’être examinés : Pas de licence d’utilisation  Bande passante élargie Sécurité des transmissions de données Installation rapide Rapport Prix/performance Souplesse et adaptabilité Anthony REGIS / Romain VENOT

37 5) Les évolutions et la recherche actuelle – La recherche
Les progrès dans ce domaine sont encore plus rapides que pour les microprocesseurs. Aujourd'hui: 10 Gigabit/s sur le terrain pour une paire de fibre et 2,6 térabit/s en laboratoire (Fujitsu). Le point clé se trouve aujourd'hui au niveau des "routeurs" tout optiques qui doivent orienter les paquets de donnée à ce débit . Atrium, projet financé par l'Europe. Mise en place en laboratoire permettant de tester des "routeurs terabits" – (Avril 2001) Anthony REGIS / Romain VENOT

38 5) Les évolutions et la recherche actuelle – La recherche
Le WDM (Wavelength Division Multiplexing), permet de multiplier par 32 la capacité de la fibre (10 gigabit/s par canal) soit 320 Gigabit/s par paire de fibre. Nortel travaille depuis 1999 sur la technologie "OPTera" qui gère 160 couleurs: 1,6 térabit/s Le DWDM (Dense WDM) avec 300 longueurs d'onde puis l'UDWDM (Ultra DWDM) avec 1022 ont déjà fonctionné en 1999 aux Bell Labs Début 2001 Cable & Wireless annonçait le projet Apollo d'une capacité de 26 térabit/s. Anthony REGIS / Romain VENOT

39 Anthony REGIS / Romain VENOT
Conclusion Développement de la piste tout optique. Problèmes actuels: Routeurs pouvant supporter les débits énormes des fibres ? Recâbler chaque habitation en remplaçant la paire de cuivre, par un média optique. Les grands constructeurs se penchent très sérieusement sur la conception du meilleur routeur. Anthony REGIS / Romain VENOT

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Sources Propagation, dispersion, équations mathématiques… Techniques avancées de communications numériques optiques Rapports divers sur les transmissions optiques, le multiplexage etc… Rapport sur les transmissions optiques et les conversions opto-électriques et electro-optiques. Les réseaux : fondements, topologies, évolutions, fonctionnement. Les fibres : caractéristiques, calculs mathématiques, épissures … Anthony REGIS / Romain VENOT

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QUESTIONS ? ? ? ? Anthony REGIS / Romain VENOT


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