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Pendant ses deux ans de front, il en avait vu bien des ruines, de l’Artois à Verdun, mais il était stupéfait que cela ressemblât si peu aux photographies.

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Présentation au sujet: "Pendant ses deux ans de front, il en avait vu bien des ruines, de l’Artois à Verdun, mais il était stupéfait que cela ressemblât si peu aux photographies."— Transcription de la présentation:

1 Les conséquences économiques de la Grande Guerre dans « un pays aplati »: l’exemple de l’Aisne

2 Pendant ses deux ans de front, il en avait vu bien des ruines, de l’Artois à Verdun, mais il était stupéfait que cela ressemblât si peu aux photographies qu’il en connaissait. Jusqu’au paysage qui n’était plus le même, les coteaux mis à nu, sans vignes, sans arbres, sans maisons. « Vous venez dans les pays aplatis, lui avait dit un employé de gare à Soissons ». C’était bien cela : aplatis. Le village, la contrée n’avaient plus de hauteur, le pilon de la guerre avait tout enfoncé dans le sol. Roland Dorgelès, Le Réveil des Morts, Albin Michel, Pages 12-13

3 Carte comparative des zones dévastées dans les différents départements libérés D’après Emile Roussel, Le département de l’Aisne après cinq ans de reconstitution, Paris, Berger-Levrault,1923

4 Quelques chiffres 1 035 usines dévastées, soit 84% des usines existant avant la guerre. 2496 industriels sinistrés Montant des dommages industriels du département: plus de 700 millions de francs 1914 hectares de terres endommagées hectares déclarés « zone rouge »

5 D’après E. Michel, les dommages de guerre et leur réparation, Paris, 1932.

6 Page de couverture du Monde Illustré, janvier 1922

7 Ruines du château de Coucy (autochrome de 1918)

8 Carte postale de 1917, coll. part.Carte postale

9 Carte postale 1900, Coll. Part.

10 Carte postale de 1917, coll. part.

11 « Les Allemands s’acharnèrent sur notre industrie dont ils voulaient détruire pour longtemps la concurrence. Dans l’Aisne, ils ne laissèrent que des amoncellements de décombres et de ferraille inutilisable. » Le Monde illustré, janvier 1922

12 Carte postale de 1917; Archives départementales de l’Aisne

13 Zone de repli allemand de mars 1917, extraite de "la France héroïque est ses alliés« , tome II, édition Larousse  

14 Aulnois I Aulnois II Crépy Chambry Mesbrecourt Chevresis Faucouzy
Avant-guerre: 7 sociétés sucrières Capital social moyen: 1 million de francs Aulnois I Aulnois II Crépy Chambry Mesbrecourt Chevresis Faucouzy Après-guerre: Union Sucrière de l’Aisne Capital: 40 millions de francs

15 Avant-guerre: 7 sucreries
Capacité de production moyenne: 400 tonnes de betteraves par jour Après-guerre: une sucrerie (Aulnois) Capacité de production moyenne: tonnes de betteraves par jour

16 Carte postale 1900, coll. part.

17 La sucrerie d’Aulnois en 1927, Archives départementales de l’Aisne

18 Usine textile de Roëvre (banlieue de Saint-Quentin) en 1918
Le Monde illustré, janvier 1922

19 Métiers à tisser de l’usine « Picardie », Le Monde illustré, janvier 1922

20 Vue arrière de l’usine « Picardie », Le Monde illustré, janvier 1922

21 Louis Beauchamp pendant la guerre (autochrome )


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