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systèmes d’information géographique
Les SIG systèmes d’information géographique Edith walbron-maes, Académie de Lille
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l'intérêt des SIG L’intérêt pédagogique
c’est un ensemble d’éléments numériques ou numérisés qui sont en relation et interaction les uns avec les autres. Depuis de les années 1980/90, les entreprises, les services publics, les chercheurs, recourent aux SIG : ce sont de véritables outils d'aide à la décision, ils fonctionnent comme un outil interactif, en aidant l'utilisateur à construire étape par étape sa démarche d'analyse. L’intérêt pédagogique l’espace géographique traité est pris dans toutes ses dimensions : localisation exacte, caractères physiques, transformations humaines… le fonctionnement du SIG par couches que l’on peut ajouter successivement, enlever, combiner... permet une approche hypothético-déductive. C’est donc une démarche qui se construit étape par étape en vérifiant chaque hypothèse par la prise en compte de tel ou tel niveau d’analyse spatiale.
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Les SIG : des apports appréciables
Quelle utilisation ? « Les systèmes d’information géographiques (SIG) sont désormais d’une utilisation courante (carte routière en ligne, systèmes de positionnement, images satellitaires…). Les élèves doivent en apprendre l’usage et en acquérir l’intelligence. Ils constituent des outils privilégiés tant au service de l’acquisition de connaissances que de la pratique de l’approche géographique. » (extrait des nouveaux programmes 2008). Les SIG : des apports appréciables Donnent une dimension concrète à des phénomènes théoriques (étude de cas). Permettent de réaliser facilement ses propres cartes Contribuent à la compréhension des différentes échelles géographiques (mondial, local). Facilitent la validation du B2i.
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LE PRINCIPE DES SIG C’est le croisement de données cartographiques pour caractériser un phénomène géographique. Couche zone inondable Couche habitat Couche cours d’eau Altitude Longitude Données référencées dans l’espace Latitude
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COMMENT CA MARCHE ? Le SIG est un ensemble d’informations réunies dans une base de données composées de classes d’entités: séries statistiques, cartes, images diverses, éléments ponctuels, surfaciques, linéaires. Pour que les différentes informations géographiques soient superposées et intégrables dans un SIG, il est important que leurs systèmes de projection et de coordonnées soient compatibles, par exemple l’IGN distribue ses produits projetés en « Lambert II étendu méridien de Paris ». Il est alors possible de superposer de l’information géographique en mode image (images satellites, cartes topographiques…) et en mode vecteur (routes, tronçons hydrographiques…).
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Les modes de représentation de l’information géographique
Techniquement, les modes de représentation de l’information géographique sont de deux natures : les données images et les données vectorielles. (et les métadonnées) Les données images dites "raster" sont une forme d’assemblage de pixels (objets primitifs) formant une vision régulière ou matricielle. A chaque pixel, sont attribuées d’une part, une valeur radiométrique lui donnant entre autres sa couleur et d’autre part, des coordonnées géographiques permettant l’intégration dans un SIG. Orthophotographie carte topographique Les données vectorielles sont une forme de décomposition de l’information géographique en objets élémentaires (points, polylignes, polygones) directement reliées à des attributs descriptifs. points, polylignes polygones Source site Ppige
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TYPES DE SIG Les SIG automatisés : Les SIG professionnels
Bases de données avec différents supports (cartes, images aériennes, images satellites…). Google earth geoportail « SIG nomade » Ppige en ligne Limites : Des supports verrouillés et peu exploitables en dehors du SIG. Des Bases de données constituées d’objets verrouillés impossibles à enrichir soi-même instantanément. Les SIG professionnels Limites : nécessite la maîtrise de logiciels spécifiques
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