Télécharger la présentation
1
Promotion Septembre 2010 – Juillet 2011
IFAS Salpêtrière Promotion Septembre 2010 – Juillet 2011 Marie Claude RAOUX LES ORGANES DES SENS Septembre 2010
2
LES CINQ SENS DANS LA VIE RELATIONNELLE
3
LES CINQ SENS Il existe cinq sens : La vue L’audition L’odorat Le goût Le toucher (le tact) Le sens : Faculté par laquelle un organisme est renseigné sur certains éléments du milieu extérieur de nature physique (vue, audition, sensibilité de la pesanteur, toucher) ou de nature chimique (goût, odorat). La vie relationnelle est au centre de nos préoccupations et les cinq sens sont les outils innés de la communication.
4
LES CINQ SENS C’est grâce à nos cinq sens que nous nous rendons compte : de notre existence physique de l’environnement dans lequel nous vivons des êtres de notre entourage des choses de notre entourage Nous décodons les informations reçues selon une grille qui nous est propre. Chacun de nous agit et réagit avec ses sens et voit les choses à sa manière. Nos cinq sens sont les seuls outils dont nous disposons pour communiquer avec notre environnement et avec les autres. Les organes des cinq sens captent des informations venant de deux sources : l’une intérieure, l’autre extérieure qui arrivent au cerveau par des circuits nerveux spécifiques pour chaque sens et y sont décodées et interprétées.
5
LA FONCTION DES CINQ SENS
Le toucher est un sens généralisé : sensibilité de la peau aussi sensation de soi : détermine où je suis, comment je suis, dans quelle position, dans quel environnement orientation correcte dans le temps et l’espace perception viscérale : mon corps existe intérieurement. Le toucher proprement dit réagit à des : - Facteurs mécaniques - Facteurs thermiques
6
LA FONCTION DES CINQ SENS
Les quatre autres sens La vue : appareil visuel réagit à des facteurs vibratoires (ondes lumineuses) L’ouïe : appareil auditif réagit à des ondes sonores L’odorat : appareil olfactif (muqueuse nasale) réagit à des facteurs chimiques Le goût : appareil gustatif (langue, palais, intérieur des joues) réagit à des facteurs chimiques. En termes de communication, les cinq sens nous permettent essentiellement de recevoir mais aussi d’émettre. Seuls le toucher et la vue sont à la fois émetteurs et récepteurs. Si je regarde quelqu’un qui me regarde : je reçois son image en même temps qu’il reçoit la mienne.
7
LA FONCTION DES CINQ SENS
8
LA FONCTION DES CINQ SENS
Plaisir ou déplaisir impliquent tout ou partie des cinq sens. Relation sexuelle Notion de plaisir Mais également plaisir : regard (toile de maître), écouter de la musique, déguster, caresser un animal. Toucher : faire relation avec les soins : sensation tactile. L’odorat et le goût : sensation olfactives, gustatives. Leurs fonctionnements sont associés. Equipement gustatif décèle quatre saveurs : sucré, salé, acide, amer. Le goût nous permet de déterminer qu’un dessert est sucré mais sans la coopération de l’odorat, nous ne saurions pas s’il est parfumé à la fraise, vanille……..
9
LA FONCTION DES CINQ SENS
Le plaisir de manger : Exemple des personnes âgées dépendantes que l’on oblige à manger ce qu’ils n’aiment pas, alimentées au mépris de leur goût : Échange avec autrui pour échanger goût odorat Culture réprime les odeurs corporelles hygiène L’odorat réveille des émotions anciennes : souvenirs de convivialité familiales, de fêtes Attirer l’attention d’un malade sur une odeur agréable ou sur le goût de ce qu’il mange peut le distraire de son mal.
10
LA FONCTION DES CINQ SENS
« Sans l’ouïe il n’y aurait jamais eu de parole » L’ouïe : sensation auditive Entendre est la fonction physiologique de l’appareil auditif. Fonction passive et involontaire. Ecouter est un acte volontaire qui demande attention et effort. Caractéristiques sonores de la voix humaine : Intensité Timbre Hauteur Intonation Bonne écoute est indispensable. La qualité de l’écoute dépend de la capacité de présence. Sensations auditives différentes
11
LA FONCTION DES CINQ SENS
La vue : sensation visuelle. Appareil optique proprement dit (l’œil) Décodage des images (cerveau) « Savoir voir pour pouvoir regarder » Voir ce que l’on regarde. Regarder demande de l’attention. Regarder autrement une personne âgée. Considérer autrement une personne déclenche des réactions en chaîne dans le réseau de communication. « C’est le regard qui permet au soignant de voir et au soigné d’exister ».
12
EN CONCLUSION…. C’est par sa créativité tirée de ses cinq sens que l’homme s’est distingué de la lignée animale et s’est hissé au rang d’espèce nouvelle. Les sentiments sont consécutifs aux sensations.
13
ANATOMIE – PHYSIOLOGIE
DE L’OEIL
14
L’ŒIL ET LA VISION La vision est le sens le plus développé chez l’être humain. On estime que 70% des récepteurs sensoriels de l’organisme sont situés dans les yeux. Près de la moitié du cortex cérébral participe à un aspect ou un autre du traitement de l’information visuelle.
15
L’ANATOMIE DE L’OEIL L’œil se compose de 2 parties, les annexes et le globe oculaire, dont les fonctions sont très différentes. Les structures annexes de l’œil Protectrices : l’orbite (cavité osseuse), Les paupières, cils et sourcils : Les paupières, les muscles des paupières ont une activité réflexe qui produit le clignement toutes les 3 à 7 secondes et qui protègent l’œil des corps étrangers. Le clignement réflexe prévient la dessiccation de l’œil, car chaque fois qu’il se produit, les sécrétions des structures annexes (huile, mucus et solution saline) se répandent sur la surface du bulbe de l’œil.
16
L’ANATOMIE DE L’OEIL Motrices : 6 muscles qui, par leurs contractions, orientent l’œil dans les 4 directions. Ils sont également indispensables à l’accommodation de près ou de loin. Les mouvements des muscles du bulbe de l’œil des deux yeux sont parfaitement coordonnés. Sécrétrices : Les glandes lacrymales sécrètent les larmes, qui nettoient, protègent, humectent et lubrifient la surface de l’œil, puis s’écoulent dans les fosses nasales. Quand le clignement des paupières est altéré ou que les sécrétions liquidiennes de l’œil sont diminués, lors d’un coma par exemple, des mesures doivent être prises pour protéger l’œil et prévenir la formation de lésions cornéennes. On propose alors la fermeture des paupières, la couverture de l’œil, l’administration de collyre à type de larmes artificielles afin de conserver l’œil humide.
19
LE GLOBE OCULAIRE Il comporte des tuniques et des milieux transparents. Les 3 tuniques de la périphérie vers le centre La sclérotique (blanc de l’œil) Couche fibreuse et résistante, elle assure la protection du globe oculaire et sert de point d’attache aux muscles oculaires. En avant de l’œil, elle devient la cornée transparente. La cornée concentre la lumière sur la rétine et laisse entrer la lumière dans l’œil. Elle est protégée par une fine membrane : la conjonctive bulbaire qui recouvre le blanc de l’œil seulement et non la cornée.
20
LE GLOBE OCULAIRE La Choroïde Très riche en vaisseaux sanguins, elle est nourricière pour l’œil. Elle s’applique contre la sclérotique et devient verticale à l’avant pour former le corps ciliaire qui contient les muscles qui permettent l’accommodation. L’iris, partie colorée de l’œil est percée en son centre d’un orifice appelé pupille. En se dilatant ou en se contractant, l’iris règle la taille de la pupille en fonction de l’intensité lumineuse et ainsi, la quantité de lumière pénétrant dans l’œil.
21
LE GLOBE OCULAIRE La rétine Mince et fragile, elle s’applique contre la choroïde. C’est l’organe nerveux sensitif de l’œil. Elle contient des photorécepteurs (cônes et les bâtonnets) qui reçoivent les rayons lumineux et les convertissent chimiquement en influx nerveux envoyés au cerveau afin que celui-ci puisse traiter l’information visuelle. Les cônes sont spécialisés dans la vision diurne et des couleurs ; quant aux bâtonnets, ils sont spécialisés dans la vision dite nocturne. La tâche jaune(macula) est une partie très sensible de la rétine (dans l’axe exact de l’œil) au niveau de laquelle les impressions visuelles ont leur maximum de précision et de netteté. Le point aveugle est la zone qui correspond à l’arrivée du nerf optique qui conduit l’influx jusqu’au cerveau. C’est la zone aveugle de la rétine car elle est dépourvue de toute cellule sensible.
22
LE GLOBE OCULAIRE Les milieux transparents De l’extérieur vers l’intérieur, se trouvent : L’humeur aqueuse, liquide clair et fluide comme l’eau qui remplit l’espace entre la cornée et le cristallin. Le cristallin en arrière de l’iris. C’est une lentille transparente, élastique qui permet la mise au point. Avec l’âge, son élasticité diminue chez le presbyte. L’humeur vitrée, liquide épais et riche en collagène qui maintient la forme du globe oculaire.
23
SYNTHÈSE…. Nous venons de voir que l’œil est constitué de trois membranes : La sclérotique, la choroïde La rétine, Et de trois milieux transparents : L’humeur aqueuse, Le cristallin Le corps vitré. Les membranes hétérogènes et opaques (sauf pour la cornée), sont à la périphérie de l’œil. En revanche, les milieux transparents, homogènes, sont au centre de l’œil, garantissant l’acheminement des rayons lumineux vers la rétine.
24
PHYSIOLOGIE DE LA VISION
Pour que la vision soit possible, il faut qu’il y ait formation d’image sur la rétine ou plus exactement sur la tâche jaune, point de la rétine qui présente la plus grande acuité. C’est le cristallin qui permet la formation de l’image sur la rétine. Il réalise la mise au point et focalise la lumière en fonction de la distance la séparant de l’œil : c’est l’accommodation. Les informations sont ensuite transmise par le nerf optique jusqu’au cerveau qui nous informe sur la forme, le relief, la couleur, la distance de l’objet observé. .
25
ANOMALIES DE L’ŒIL ET DE LA VISION
26
ANOMALIES DE L’ŒIL ET DE LA VISION
27
IDENTIFICATION DES SIGNES D’ALERTE
Un ou plusieurs signes peuvent être présents et sont à observer et à traiter d’urgence pour sauvegarder la vue de la personne : - La baisse brutale de l’acuité visuelle - L’apparition de brouillard visuel, d’un point brillant, d’éclairs lumineux … - La présence d’une douleur excessive, avec un œil rouge - Tous les signes d’inflammation : sensation de sable dans les yeux, œil rouge, douloureux, baisse de la vision, tous dans le champ visuel Ces signes peuvent être les symptômes de certaines pathologies. Ils peuvent aussi accompagner d’autres pathologies et seront pris en compte par le médecin. Compétence de l’aide soignant Repérer les signes d’alerte et prévenir d’urgence l’infirmière.
28
VOCABULAIRE MÉDICAL
29
TERMES MÉDICAUX COURANTS
MYDRIASE MYOSIS Dilatation anormale de la pupille Rétrécissement du diamètre de la pupille OPHTALMIE DIPLOPIE Inflammation des yeux (yeux rouges) Le fait de voir double
30
TERMES MÉDICAUX COURANTS
ACHROMATOPSIE ASTIGMATISME Abolition de la perception des couleurs Problème de vision où les des objets sont déformés CONJONCTIVITE DALTONISME Inflammation de la conjonctive Trouble de la vision de certaines couleurs avec confusion entre les verts et les rouges
31
TERMES MÉDICAUX COURANTS
EXOPHTALMIE MYOPIE Saillie anormale du globe oculaire Problème de la vision où les objets sont flous OPHTALMOLOGIE PRESBYTIE Etude de l’œil et de ses maladies Difficulté à voir nettement les objets rapprochés
32
TERMES MÉDICAUX COURANTS
PTOSIS OPHTALMOSCOPE Chute de la paupière supérieure Instrument servant à examiner les yeux OPHTALMOPLÉGIE OPTICIEN Paralysie des muscles de l’œil Marchand d’instruments optiques (lunettes, jumelles…)
33
ANATOMIE – PHYSIOLOGIE
DE L’OREILLE
34
L’OUIE ET L’EQUILIBRE L’oreille est une merveille d’ingénierie. Ses récepteurs sensoriels peuvent convertir en signaux électriques des vibrations dont l’amplitude est extrêmement faible ; ils réagissent 1000 fois plus rapidement au son que les photorécepteurs à la lumière. Outre les récepteurs des ondes sonores, l’oreille renferme les récepteurs de l’équilibre. L’oreille assure donc deux fonctions : l’audition l’équilibre
35
L’OUIE ET L’EQUILIBRE L’ouie fait partie des cinq organes des sens, seuls outils dont nous disposons pour communiquer avec notre environnement et avec les autres. Entendre est une fonction physiologique de l’appareil auditif. C’est une fonction passive et involontaire. Ecouter est un acte volontaire qui demande attention et effort. La qualité de l’écoute dépend de la capacité de présence.
36
ANATOMIE DE L’OREILLE L’oreille se divise en trois grandes régions : L’oreille externe, qui capte les ondes sonores et les dirige vers l’intérieur L’oreille moyenne, qui achemine les vibrations à la fenêtre du vestibule L’oreille interne, qui abrite les récepteurs de l’ouïe et de l’équilibre.
37
L’OREILLE EXTERNE Elle est composée du pavillon de l’oreille et du conduit auditif externe. Le pavillon : est ce que l’on appelle « oreille » dans le langage courant. Il s’agit de la partie saillante en forme de coquille qui entoure l’orifice du conduit auditif externe. Le pavillon est constitué de cartilage élastique recouvert d’une mince couche de peau et de poils clairsemés. La fonction du pavillon est de diriger les ondes sonores dans le conduit auditif externe. Le conduit auditif externe : tube court et courbé (environ 2,5 cm de long sur 0,6 cm de large) qui relie le pavillon à la membrane du tympan. Il est creusé dans l’os temporal. La peau qui le recouvre comporte des poils, des glandes sébacées spécialisées: les glandes cérumineuses. Ces glandes sécrètent une substance cireuse de couleur jaune brunâtre appelée cérumen, qui emprisonne les corps étrangers et chasse les insectes.
38
L’OREILLE EXTERNE Les ondes sonores qui entrent dans le conduit auditif externe frappent la membrane de tympan, ou tympan, limite entre l’oreille externe et l’oreille moyenne. Il a la forme d’un cône aplati dont le sommet pénètre dans l’oreille moyenne. Les ondes sonores font vibrer le tympan, qui transfère cette énergie aux osselets de l’ouïe situés dans l’oreille moyenne et les fait vibrer.
39
L’OREILLE MOYENNE L’oreille moyenne ou caisse du tympan, est une petite cavité, remplie d’air et tapissée d’une muqueuse. La paroi antérieure de l’oreille moyenne est unie à celle du pharynx par une ouverture qui relie l’oreille moyenne au nasopharynx (partie supérieure de la gorge): la trompe auditive. Normalement la trompe auditive (trompe d’Eustache) est aplatie et fermée, mais la déglutition et le bâillement l’ouvrent momentanément pour équilibrer la pression de l’air entre l’oreille moyenne et l’oreille externe. C’est un mécanisme important car le tympan ne peut vibrer librement que si la pression exercée sur ses deux surfaces est égale. Dans le cas contraire, le tympan fait saillie vers l’intérieur ou l’extérieur, ce qui entrave l’audition (les voix semblent lointaines) et peut causer une otalgie. L’équilibration de la pression « débouche » les oreilles, une sensation que connaissent toutes les personnes qui ont déjà pris l’avion.
40
L’OREILLE MOYENNE La caisse du tympan renferme les trois plus petits os du corps, les osselets de l’ouïe : - le marteau - l’enclume - l’étrier Les osselets transmettent le mouvement vibratoire du tympan à la fenêtre du vestibule qui, à son tour, agite les liquides de l’oreille interne. Ce sont les mouvements de ces liquides qui excitent les récepteurs de l’audition.
41
L’OREILLE INTERNEE L’oreille interne également appelée labyrinthe, étant donné sa forme compliquée. Elle comprend deux grandes divisions : le labyrinthe osseux le labyrinthe membraneux Le labyrinthe osseux est rempli de périlymphe. Le labyrinthe membraneux flotte dans la périlymphe et il contient l’endolymphe. La périlymphe et l’endolymphe transmettent les vibrations sonores et réagissent aux forces mécaniques produites lors des changements de position du corps et de l’accélération. (Elles n’ont aucun rapport avec la lymphe qui circule dans les vaisseaux lymphatiques).
42
L’OREILLE INTERNEE Le vestibule abrite les récepteurs de l’équilibre qui réagissent à la force gravitation-nelle et encodent les changements de position de la tête. Le conduit auditif interne C’est un canal creusé dans le rocher ; son orifice interne s’ouvre à la base du crâne. Ce conduit interne livre passage au : - Nerf facial - Nerf vestibulo-cochléaire : nerf vestibulaire (équilibre) - Nerf cochléaire (audition)
43
SON ET MECANISME DE L’AUDITION
Le son produit dans l’air des vibrations qui frappent le tympan, qui ébranle une chaîne d’osselets qui poussent le liquide de l’oreille interne contre des membranes, qui créent des forces de cisaillement qui tirent sur des cellules sensorielles ciliées, qui stimulent les neurones à proximité qui engendrent des influx qui aboutissent au cerveau qui interprète ces influx et nous entendons ! La transmission des sons : Au niveau de l’oreille externe, est aérienne Au niveau de l’oreille moyenne, est osseuse Au niveau de l’oreille interne, est liquidienne
44
MÉCANISMES DE L’ÉQUILIBRE ET DE L’ORIENTATION
Le sens de l’équilibre ne nous fournit pas de « sensations » à proprement parler mais réagit aux divers mouvements de la tête. Ce sens repose sur des influx provenant non seulement de l’oreille interne mais aussi des yeux et des récepteurs de l’étirement situés dans les muscles et les tendons. Les récepteurs de l’équilibre sont situés au niveau de l’oreille interne: ils constituent l’appareil vestibulaire. Dans les conditions normales, les messages qu’ils envoient à l’encéphale déclenchent les réflexes nécessaires tant aux simples changements de position qu’à l’exécution d’un service précis. Les récepteurs de l’équilibre de l’oreille interne se divisent en deux groupes : ceux de l’équilibre statique, et ceux de l’équilibre dynamique.
45
MÉCANISMES DE L’ÉQUILIBRE ET DE L’ORIENTATION
Le sens de l’équilibre ne nous fournit pas de « sensations » à proprement parler mais réagit aux divers mouvements de la tête. Ce sens repose sur des influx provenant non seulement de l’oreille interne mais aussi des yeux et des récepteurs de l’étirement situés dans les muscles et les tendons. Les récepteurs de l’équilibre sont situés au niveau de l’oreille interne: ils constituent l’appareil vestibulaire. Dans les conditions normales, les messages qu’ils envoient à l’encéphale déclenchent les réflexes nécessaires tant aux simples changements de position qu’à l’exécution d’un service précis. Les récepteurs de l’équilibre de l’oreille interne se divisent en deux groupes : ceux de l’équilibre statique, et ceux de l’équilibre dynamique.
46
VOCABULAIRE MÉDICAL
47
TERMES MÉDICAUX COURANTS
ACOUPHÈNE ACUITÉ AUDITIVE Appréciation de la qualité de l’ouïe Sensation auditive à type de bourdonnement, de sifflement, de tintement AUDIOGRAMME AUDITION Examen permettant de mesurer l’acuité auditive Action d’entendre ou d’écouter
48
TERMES MÉDICAUX COURANTS
CÉRUMEN OTALGIE Sécrétion grasse, jaunâtre des glandes sébacées du conduit auditif externe Douleur siégeant au niveau de l’oreille OTITE OTORRAGIE Inflammation du tympan Ecoulement de sang provenant des oreilles
49
TERMES MÉDICAUX COURANTS
OTORRHÉE OTOSCOPE Ecoulement liquidien provenant de l’oreille Instrument permettant l’inspection du conduit auditif externe et du tympan PARACENTÈSE SURDITÉ Ponction du tympan Perte totale ou partielle de l’ouïe
50
AVEZ-VOUS DES QUESTIONS ?
Le cours est sur votre site : – Module 2 Code : M2910
51
FIN 2010 - 2011 Institut de Formation des Aides-Soignants (IFAS)
Groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière FIN
Présentations similaires
© 2024 SlidePlayer.fr Inc.
All rights reserved.