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Publié parJoëlle Barbier Modifié depuis plus de 10 années
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LE DEVENIR DU CO2 LIBERE PAR LES ACTIVITES HUMAINES
Introduction De nos jours, l’Homme semble subir le revers de ses activités : le réchauffement climatique. La question de sa relation avec le taux de CO2 reste un enjeux majeur pour notre société. Le film « une vérité qui dérange » met en relief cette question. Suite à la visualisation de ce film l'idée générale qui en est ressortie était inquiétante. Après avoir chacun fait part au reste de la classe de ses sentiments nous avons été amené a nous demander ce que devient le CO2 libéré par les activités humaines ? Voici donc notre sujet d'étude. Nous avons décidé de partager cette vaste problématique en 5 problématiques distincts. Une fois le travail terminé, nous savons envisagé comment lutter contre ce réchauffement climatique en jouant avec « clim’city ». I) Quelles sont les relations entre le CO2 et l'atmosphère ? Peut-on modéliser l'effet de serre ? Un premier groupe a travaillé sur les relations entre le CO2 et l’atmosphère. Julie, Claire et Ornella ont réalisées trois expériences sur ce thème: Mesurer le taux de CO2 et la température durant 20 minutes à l'air libre. Mesurer le taux de CO2 et la température sous serre. Mesurer le taux de CO2 et la température en ajoutant du CO2 à l'intérieur du bac grâce à de l'acide chlorhydrique mélangé avec une craie dans un ballon. La première expérience a pu nous montrer un taux constant de la température et de la concentration de CO2. La deuxième expérience nous montre une légère hausse de température mais une concentration de CO2 toujours constante. Lors de la troisième expérience on peux voir une hausse importante du taux de CO2 et de la température. Il semble donc que l'augmentation du taux de CO2 due aux différentes activités humaines (comme l'industrie, la déforestation, la circulation automobile…) intensifient le processus de l'effet de serre provoquant un réchauffement climatique. V) Que montrent les mesures de CO2 réalisées au lycée et dans l’académie ? Marion, Sophie, et Mélanie ont travaillé sur la banque de données du lycée Galilée et ont constaté que les mesures de CO2 réalisées servent à observer s'il y a une augmentation ou une diminution au cours du temps de sa concentration et à trouver les facteurs qui le font varier. Il y a de nombreux facteurs qui font varier le taux de CO2. Plus il y a de température, de pression atmosphérique, de vent chaud ou un temps ensoleillé plus le taux de CO2 est élevé. Alors que plus il y a d'humidité, de vent froid ou un temps pluvieux moins il y a de CO2. L'Ile de France contribue à environ 10% des émissions nationales de gaz à effet de serre. II) Quelles sont les relations entre le CO2 et les êtres-vivants ? La forêt est-elle le « poumon » de la planète ? Un autre groupe a travaillé sur les relations entre le CO2 et les êtres vivants. Audrey et Safarina ont une expérience qui nous montre que lorsqu'on injecte une solution de bicarbonate de sodium, la photosynthèse est plus intense. Ainsi les végétaux qui effectuent la photosynthèse, sont un «réservoir» à dioxyde de carbone. Une deuxième qui nous montre que plus la quantité de plantes chlorophylliennes augmente plus elles consomment un excès de CO2.Dans le cas des arbres, plus un arbre pousse rapidement, plus il consomme du Co2. Il semble donc qu’il faut donc non seulement préserver les forêts, mais planter massivement. Ainsi les végétaux qui effectuent la photosynthèse, sont un «réservoir» à dioxyde de carbone.. Les forêts semblent de plus consommer encore plus de CO2 à cause du réchauffement climatique. Cependant, à l'obscurité, ces plantes n'ayant plus la source d'énergie qui leur permettait de produire la photosynthèse, à présent elles effectuent la respiration cellulaire, et donc elles rejettent du CO2. Ainsi, on peut affirmer qu'une forêt rejette presque autant de CO2 qu'elle en consomme, puisque nous savons qu'une forêt produit de 2.5 à 4.7 fois plus d'oxygène qu'elle ne consomme de CO2. Par conséquent, la forêt n'est pas le «poumon» de la planète. C’est plutôt l’océan, grâce au phytoplancton, qui est le «poumon» de la Terre. Le plancton végétal est aidé par la dissolution du CO2 dans l'eau océanique. Ce CO2 dissous dans les océans, est piégé dans les sédiments de calcaires qui s'accumulent depuis des millions d'années au fond des mers. Mais cela ne doit pas empêcher la protection de la forêt amazonienne pour la sauvegarde de la biodiversité! . III) Comment l’homme influence t-il le cycle du carbone ? Le cycle du carbone est le circuit que suit le carbone dans la nature. Arthur, Orys et Julin ont montré qu’il circule en permanence, sous différentes formes chimiques, entre les différents réservoirs par réaction chimique. Sa circulation participe notamment au maintien de la concentration de CO2 dans l'atmosphère . Orys, Arthur et Julien ont faits des expérience qui montrent que : chaque enveloppe de la planète constitue un ou plusieurs réservoirs de carbone, chacun caractérisé par une forme de carbone minéral ou organique, et par une lasse de carbone généralement exprimée en gigatonne. Le carbone circule entre les différents réservoirs en accomplissant un cycle. La quantité quittant le réservoir atmosphérique et la quantité arrivant dans ce réservoir étaient équivalentes avant l'ère industrielle.. Les activités humaine ont pour conséquence une augmentation du taux de CO2 atmosphérique qui accentue l'effet de serre. En fonctionnant comme des puits à CO2, l'océan et la biosphère limite l'augmentation de Co2 dans l'atmosphère. Mais cela annonce que des changements climatiques importants, difficiles à prévoir, sont à craindre. Agissons tous pour préserver notre environnement et limiter les rejets de gaz à effet de serre ! IV) Quelles sont les relations entre le CO2 et les océans ? Sont t'ils des puits de carbone ? Florian, Benjamin et Elisa ont mené 3 expériences : la première expérience prouve que plus le taux de CO2 augmente, plus le ph de l’eau est faible et plus l’eau est acide. Dans la deuxième expérience, ils ont essayé de montrer que les océans froids étaient des puits de carbone. Grâce à la dernière expérience, où il ont constaté que le CO2 nuit gravement à l'équilibre et à la biodiversité une fois piégé dans l'eau. Ils ont dégagé plusieurs risques à tous ces changements climatiques: une désertification à grande échelle de certaines zones marines, une biodiversité menacée sur le court terme par la disparition de plusieurs espèces des océans de plus en plus acides, des océans marins froids surpeuplés Par Maxime Martheli, Camille Hebert et Joanna Simon, Seconde 10 MISVT
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