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Publié parMarguerite Champagne Modifié depuis plus de 9 années
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Petite dernière d'une famille de neuf enfants, Thérèse Martin est née en 1873. Quatre enfants mourront très jeunes. Les cinq filles qui grandirent au foyer Martin devinrent toutes religieuses. Thérèse était une jolie petite fille, affectueuse, intelligente et vive, mais capable de colères et d'entêtement. A quatre ans, elle perd sa maman. A neuf ans, sa sœur Pauline qui l'a élevée, entre au Carmel. A quinze ans, Thérèse demande à son évêque l'autorisation d'entrer, elle aussi, au Carmel. Pour l'obtenir, elle ira à Rome voir le Pape. Après bien des difficultés, cette autorisation sera accordée par son évêque. Thérèse mena au Carmel de Lisieux une vie de prières et de sacrifices, s'efforçant de toujours garder le sourire. Elle souffrait beaucoup du froid, car a cette époque, il n'y avait pas de chauffage au Carmel. Mais, elle ne se plaignit jamais de cette épreuve. Elle avait songé à être missionnaire, et priait pour les missionnaires. Elle priait aussi pour les grands pécheurs. Ayant appris la condamnation à mort d'un grand bandit, elle pria avec insistance pour sa conversion. Elle eut la joie d'apprendre qu'avant de monter sur l'échafaud, il avait demandé pardon à Dieu des crimes qu'il avait commis. A la demande de sa supérieure, Thérèse a écrit un beau livre : « L'histoire d'une âme. » Elle chante dans ce livre l'amour de Dieu pour nous, et l'amour envers Dieu : « Je veux enseigner les petits moyens qui m'ont si parfaitement réussi... Il n'y a qu'une seule chose à faire ici-bas : jeter à Jésus les fleurs des petits sacrifices, le prendre par des caresses... La sainteté n'est pas dans telle ou telle pratique, elle consiste en une disposition du cœur qui nous rend humbles et petits entre les bras de Dieu, conscients de notre faiblesse, et confiants jusqu'à l'audace en sa bonté de Père... Être petit, c'est ne point s'attribuer à soi-même les vertus qu'on pratique, se croyant capable de quelque chose, mais reconnaître que le Bon Dieu pose ce trésor de la vertu dans la main de son petit enfant... Enfin, c'est ne point se décourager de ses fautes, car les enfants tombent souvent, mais ils sont trop petits pour faire beaucoup de mal. » Thérèse de l'Enfant-Jésus aimait lire la vie des saints. Elle disait dans sa dernière maladie : « J'ai besoin de nourriture pour mon âme. Lisez-moi une Vie de saint. Ils sont tous mes parents, là-haut. » Elle était atteinte de tuberculose pulmonaire. Durant sa maladie, elle avait prédit : « Après ma mort, je sens que ma mission va commencer, ma mission de faire aimer le Bon Dieu comme je l'aime. Je veux passer mon ciel à faire du bien sur la terre. » Thérèse mourut à l'âge de vingt quatre ans. Nous la fêtons le 1 er octobre. SAINTE THÉRÈSE DE L'ENFANT JÉSUS Petite dernière d'une famille de neuf enfants, Thérèse Martin est née en 1873. Quatre enfants mourront très jeunes. Les cinq filles qui grandirent au foyer Martin devinrent toutes religieuses. Thérèse était une jolie petite fille, affectueuse, intelligente et vive, mais capable de colères et d'entêtement. A quatre ans, elle perd sa maman. A neuf ans, sa sœur Pauline qui l'a élevée, entre au Carmel. A quinze ans, Thérèse demande à son évêque l'autorisation d'entrer, elle aussi, au Carmel. Pour l'obtenir, elle ira à Rome voir le Pape. Après bien des difficultés, cette autorisation sera accordée par son évêque. Thérèse mena au Carmel de Lisieux une vie de prières et de sacrifices, s'efforçant de toujours garder le sourire. Elle souffrait beaucoup du froid, car a cette époque, il n'y avait pas de chauffage au Carmel. Mais, elle ne se plaignit jamais de cette épreuve. Elle avait songé à être missionnaire, et priait pour les missionnaires. Elle priait aussi pour les grands pécheurs. Ayant appris la condamnation à mort d'un grand bandit, elle pria avec insistance pour sa conversion. Elle eut la joie d'apprendre qu'avant de monter sur l'échafaud, il avait demandé pardon à Dieu des crimes qu'il avait commis. A la demande de sa supérieure, Thérèse a écrit un beau livre : « L'histoire d'une âme. » Elle chante dans ce livre l'amour de Dieu pour nous, et l'amour envers Dieu : « Je veux enseigner les petits moyens qui m'ont si parfaitement réussi... Il n'y a qu'une seule chose à faire ici-bas : jeter à Jésus les fleurs des petits sacrifices, le prendre par des caresses... La sainteté n'est pas dans telle ou telle pratique, elle consiste en une disposition du cœur qui nous rend humbles et petits entre les bras de Dieu, conscients de notre faiblesse, et confiants jusqu'à l'audace en sa bonté de Père... Être petit, c'est ne point s'attribuer à soi-même les vertus qu'on pratique, se croyant capable de quelque chose, mais reconnaître que le Bon Dieu pose ce trésor de la vertu dans la main de son petit enfant... Enfin, c'est ne point se décourager de ses fautes, car les enfants tombent souvent, mais ils sont trop petits pour faire beaucoup de mal. » Thérèse de l'Enfant-Jésus aimait lire la vie des saints. Elle disait dans sa dernière maladie : « J'ai besoin de nourriture pour mon âme. Lisez-moi une Vie de saint. Ils sont tous mes parents, là-haut. » Elle était atteinte de tuberculose pulmonaire. Durant sa maladie, elle avait prédit : « Après ma mort, je sens que ma mission va commencer, ma mission de faire aimer le Bon Dieu comme je l'aime. Je veux passer mon ciel à faire du bien sur la terre. » Thérèse mourut à l'âge de vingt quatre ans. Nous la fêtons le 1 er octobre.
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