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Rééducation et réadaptation en neurologie

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Présentation au sujet: "Rééducation et réadaptation en neurologie"— Transcription de la présentation:

1 Rééducation et réadaptation en neurologie
Carlo BERTONCELLI

2 Traitement BOBATH et IMC
Le but du traitement neuro-développemental selon le concept Bobath est d'aider l'enfant IMC à progresser dans son développement sensori-moteur, l'aider dans ses adaptations de postures et de mouvements, afin qu'il réalise ses activités fonctionnelles et ludiques de la façon la plus normale possible.

3 par inhibition de la spasticité pour évier les mouvements anormaux et
Le thérapeute cherchera donc à obtenir une normalisation du tonus par inhibition de la spasticité pour évier les mouvements anormaux et par facilitations de schémas moteurs normaux; inhibition et facilitations sont réalisées simultanément.

4 PRINCIPE DE TRAITEMENT SPECIFIQUE
Maintenir les amplitudes articulaires physiologiques Régulariser les tonus (mise en charge, inhibition, activité) Conserver l’alignement articulaire tout au long de l’activité Stimuler la perception surtout tactile et kinesthésique(touché,mouvement,posture Stimuler les réactions de redressement Entraîner le control moteur, la force, la coordination, l’endurance Entraîner l’équilibre Entraîner la rééducation à la marche

5 Tout exercice comprend:
Le volet inhibiteur interdit la spasticité et les syncinésies le volet facilitateur utilise des chaînes musculaires plus évoluées que les synergies primitives. Deux séries d'exercices existent : La chaîne cinétique ouverte se travaille du proximal vers le distal. Les contractions demandées sont d'abord 1.statique puis 2.dans la course moyenne 3.dans toute la course. La chaîne cinétique fermée progresse du décubitus à la position debout.

6 PRINCIPES Parler de globalité signifie que l'on ne s'intéresse pas, de manière localisée, à une articulation ou un membre supérieur ou inférieur de l'enfant, mais à un schéma de mouvements coordonnés, lesquels aboutissent à une action volontaire. Le cerveau ne connaît pas l'action isolée d'un muscle, mais la combinaison subtile de plusieurs muscles qui permet le mouvement.  

7 Le concept Bobath aime à entendre parler de  qualité  d'un mouvement ou d'une chaîne de mouvements.
Il est important de comprendre  comment  l'enfant réalise son mouvement et  pourquoi  il le fait de telle ou telle manière, plutôt que de constater ou de quantifier ses incapacités.

8 L'approche globale de l'enfant IMC nécessite une connaissance approfondie du  développement neurosensoriel de l'enfant normal  : en effet, il est absolument indispensable de bien connaître ce dernier afin de mieux apprécier la qualité du mouvement de l'enfant IMC (LE METAYER).

9 De l'importance d'une  prise en charge précoce : la lésion cérébrale initiale, en fonction de sa localisation et de son étendue, entraîne des dégâts plus ou moins importants; le développement de l'enfant est retardé ou stoppé.

10 Elle survient sur un cerveau immature, donc en pleine croissance; à ce stade, le cerveau est caractérisé par une grande sensibilité aux influences extérieures – on parle de   plasticité cérébrale  - caractéristique qui permet aux structures cérébrales non encore déterminées de développer une fonction spécifique au contact de l'environnement : faire sentir à l'enfant des expériences sensori-motrices normales, lesquelles permettront de voir se développer des suppléances aux cellules lésées.

11 Une prise en charge précoce, régulière, peut donc permettre d'influencer, d'améliorer ou de développer des réactions motrices tendant vers la normale, et limiter ainsi les troubles orthopédiques.  

12 La prise en charge d'un enfant IMC demande un travail coordonné de toute une équipe pluridisciplinaire  de rééducateurs, d'éducateurs, plus tard d'instituteurs; Mais l'élément le plus important et déterminant sera le partenariat établi avec sa famille: "en effet, pour que l'enfant fasse des progrès, les parents doivent jouer une part active et intelligente dans le programme thérapeutique global".

13 MOYENS Tendre vers un tonus normal est un facteur essentiel pour améliorer la posture et la coordination des mouvements : on ne peut effectuer un mouvement normal sans un tonus normal (sédatif). Dans l'infirmité motrice cérébrale, la régulation du tonus est perturbée par la lésion cérébrale;

14 Dans les cas de spasticité généralisé, les traitements médicamenteux sont préférables, comme
le Lioresal, le Dantrium, le Valium… la rééducation en sera facilitée avec, parfois, moins de douleurs.

15 ou fluctuant : athétose, ataxie.
il en résulte un tonus anormal qui peut être augmenté :hypertonie, diminué : hypotonie, ou fluctuant : athétose, ataxie. "Mais le tonus doit être assez élevé pour supporter la gravité, mais assez bas pour que nous puissions nous mouvoir aisément" (Karl et Berta Bobath).

16 inhiber la spasticité en cas d'hypertonie
Le traitement visera donc à: inhiber la spasticité en cas d'hypertonie stimuler le tonus dans le cas d'hypotonie stabiliser le tonus si celui-ci est instable

17 L' action inhibitrice  du thérapeute s'effectue manuellement au niveau de différents points-clés du corps de l'enfant, en fonction du mouvement recherché. Parallèlement et simultanément, sont induits et   facilités  des mouvements normaux ou proches de la normale : le thérapeute guide manuellement l'enfant vers différentes positions ou séquences de mouvements, afin d'obtenir une réponse motrice, un ajustement actif, tout en contrôlant les réponses toniques anormales.

18 Les séances doivent être régulières, suivies et contrôlées; c'est là que les  échanges entre les professionnels et la famille  de l'enfant prennent tout leurs sens. Expliquer aux parents pourquoi leur enfant ne peut bouger ou le fait de telle ou telle manière, et de leur donner des conseils sur la façon de le mobiliser, de le tenir dans les bras, ou de l'alimenter. Le chemin de l'automatisation passe par la répétition.

19 PRECAUTIONS SAVOIR DOSER   Un enfant IMC est soumis à différentes stimulations sensorielles qu'il est prudent de doser à chaque instant : toute stimulation excessive augmente la spasticité (ou l'athétose) et peut aller à l'encontre de l'effet désiré.   Le thérapeute doit également savoir doser son action sur l'enfant : il doit savoir relâcher sa pression ou son guidage et laisser le temps à l'enfant, ou à telle ou telle partie de son corps, de réagir.

20 LIMITES gravité de la lésion cérébrale initiale;
partenariat entre rééducateurs et parents; prises en charges tardives ne peuvent parfois que limiter des rétractions musculaires ou/et des déformations orthopédiques déjà bien installées et irréversibles, qui nécessitent alors une mise en place d'appareillage. Certaines d'entre elles peuvent conduire à un traitement chirurgical


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