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LES INTERVENTIONS DE PLONGEE

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Présentation au sujet: "LES INTERVENTIONS DE PLONGEE"— Transcription de la présentation:

1 LES INTERVENTIONS DE PLONGEE
Le rôle du chef d’unité Les procédures et méthodes d’intervention Conclusion

2 Les interventions de plongée
Caractéristiques L’urgence Sauvegarde protection Des personnes Des biens De l’environnement Elles sont toujours caractérisées par l’urgence dans le cadre de la sauvegarde des personnes et des biens ou de la protection de l’environnement

3 Les interventions de plongée
Caractéristiques Par des scaphandriers effectuées Inscrits sur la liste d’aptitude opérationnel Elles ne peuvent être effectuées que par des scaphandriers inscrit sur la liste d’aptitude opérationnel et dans la limite de leur qualification. Les scaphandriers peuvent être requis par l’autorité judiciaire ou administrative sous réserve de leur qualification et habilitation dans la limite de l’organisation du service. Dans la limite de leur qualification

4 Les interventions de plongée
Différentes missions Reconnaissance Recherches diverses Surveillance des interventions en site aquatique Sauvetage et assistance Prompt-secours Travaux d’urgence Reconnaissances A pour but de prévenir ou d’évaluer un danger potentiel pouvant menacer les personnes ou leurs biens. Certaine vérifications peuvent être demandées aux plongeurs par les autorités responsables. Sauvetage et assistance Effectuer des secours, des sauvetages de personnes. Des sauvetages d’animaux et de biens dans la mesure ou la sécurité de l’exécutant n’est pas menacée. Travaux d’urgence Les travaux d’urgence qui entrent dans le cadre des missions Sécurité Civile sont : Le dégagement d’une voie navigable, fluviale ou maritime. Le repêchage ou le renflouement de véhicules ou engins flottants. L’ enlèvement ou la destruction d’obstacles immergés. Les travaux de renflouement, d’enlèvement, de destruction d’obstacles immergés sont normalement le fait de sociétés spécialisés dans les travaux subaquatiques. L’activité des plongeurs ne doit pas les concurrencer sauf si l’intervention est motivée par l’urgence ou par défaut de telles sociétés. Protection de l’environnement Mettre en place des moyens de luttes contre les pollutions (pose de barrage, point d’ancrage,supression des causes etc…) Prompt-secours Surveillance des interventions en site aquatique Dans le cadre des inondations (engagement massif de personnels sapeurs-pompiers). Interventions importantes a proximité d’un plan d’eau Recherches diverses Sur demande des autorités de police, dans l’intérêt des familles( psychologie). A différer selon les conditions. Protection de l’environnement

5 Les intervention de plongée
Les opérations une équipe Doivent être exécutées par Les plongée doivent être exécutées par une équipe de trois plongeurs au moins, composée d’un CT ou CU responsable de la plongée dont la présence est obligatoire sur les lieux même de l’intervention, et de deux scaphandriers. CT ou CU SAL

6 Les interventions de plongée
Les opérations Travaux Sauvetages Sous l’autorité du COS Sous la conduite d’un CT ou CU Les Opérations avec utilisation de S.A.L. et de C.S.L. peuvent se résumer en deux types : SAUVETAGE : victime tombée à l’eau, V.L. avec victimes etc ….. TRAVAUX : Recherche, Amarrage, Colmatage, Désincarcération, Relevage, etc ….. Le premier type d’intervention nécessite, une action dès l’arrivée des secours ( assistance à personne en danger). Sous la responsabilité du COS, l’opération peut commencer avec 2 sal quelque soit leur qualification, le 3ème les rejoint dans les plus bref délai. Le deuxième type d’intervention, moins urgent, nécessite du personnel entraîné et qualifié pour travailler réglementairement en sécurité sous la conduite d’un chef d’Unité ou CT. 2 SAL peuvent commencer la plongée quelque soit leur qualification Le 3ème les rejoint dans les plus bref délais SAL entraînés et qualifiés

7 Les interventions de plongée
Le commandement Le COS Le CT ou le CU Responsable de la conduite Dirige ses plongeurs Pour toutes opérations délicate et difficile le CT doit être demandé Le Commandement s’articule en fonction de la nature de l’opération. La responsabilité de la conduite de l’intervention appartient au C.O.S.. Le Chef d’Unité dirige ses plongeurs, une plus ou moins grande initiative lui est laissée en fonction de son grade et de son expérience. Le Conseiller technique doit être demandé pour diriger l’opération chaque fois que celle-ci s’avère délicate, difficile ou dangereuse tant pour la sécurité du personnel que pour la bonne conservation du matériel. Le principe d’emploi des S.A.L. ( V.P.L., Embarcation, hélicoptère,) permet une grande souplesse tout en préservant le commandement unique du C.O.S. Le Conseiller Technique peut, par son expérience et sa qualification peut être engagé dans 3 fonctions principales : en renfort de l’élément de Commandement ( Officier de permanence, Chef de groupe) comme responsable de la sécurité de l’intervention. Comme chef de site mettant en œuvre plusieurs équipes ou des moyens exceptionnels ( Outils, barrages,) Comme plongeur pour effectuer une opération délicate ou relevant de sa compétence ( S.N.L., Caisson, Moyens spécifiques).

8 Dans le domaine de sa spécialité
Rôle du chef d’unité D’une façon générale Concevoir les manoeuvres Prévenir des dangers Rôle du chef d’unité D’une façon générale dans le domaine de sa spécialité de : Prévenir les dangers d’ordre extérieur.( la navigation) De concevoir les manœuvre à exécuter. Dans le domaine de sa spécialité

9 De compléter l’analyse du COS sur:
Rôle du chef d’unité Son rôle sera d’abord: Les aides éventuelles Le milieu De compléter l’analyse du COS sur: Les moyens spécifiques La mission Le rôle du Chef d’Unité ou du S.A.L. le plus ancien sera d’abord : De compléter l’analyse du C.O.S. , en lui apportant des renseignements d’ordre technique qui pourraient avoir une influence sur le déroulement et la sécurité de l’opération. L’attention du responsable de plongée porte sur les points suivant: Sur le milieu Topographie des lieux (mise à l’eau, sortie), Courant (vitesse,brisant), Nature de l’eau (claire ou chargée), Profondeur Sur la mission Sauvetage, Recherche, Amarrage, Relevage Sur le moyen spécifique Vêtements secs, Outils, Moyens de relevage, Masques faciaux, Système de navigation, Matériel S.N.L., Système de rappel de plongeurs, Glène à oxygène, Caisson, Compresseur, Embarcation spécifique. Sur les aides éventuelles Service de la navigation, des canaux etc …, Gendarmerie, Police., Services Privés.

10 réunissent les plongeurs
Rôle du chef d’unité Avant chaque plongée Le COS et le responsable de plongée réunissent les plongeurs La situation La mission des exécutants Leur intentions et idées de manœuvres L’articulation des moyens Les liaisons et signaux. Avant chaque plongée, le COS et le responsable de plongée élabore l’ordre qu’il donne aux plongeurs, puis ils réunissent les plongeurs. Au cours de ce briefing sont définies: La situation La mission des exécutants Leur intentions et idées de manœuvres L’articulation des moyens Les liaisons et signaux. au cours de ce briefing sont définies:

11 compléter son dispositif
Rôle du chef d’unité Pendant la plongée surveille le responsable de plongée rendre compte Pendant la plongée Le responsable de plongée surveille les plongeurs et le déroulement de la manœuvre tout en complétant son dispositif par l’adjonction de moyens médicaux , techniques, logistiques. De même le responsable de la plongée devra rendre compte de l’évolution possible de la situation, compte tenu de la stabilité ou de l’aggravation du risque. Le responsable de plongée axe tous ses efforts sur la réussite de la mission et la sécurité dans son domaine propre. compléter son dispositif

12 Procédures et méthodes
Sauvetage Les victimes restent fréquemment à l’endroit ou elles ont coulées la difficulté réside dans la localisation de ce point si la disparition est récente et le point bien précis Effectuer des recherches immédiates même par un plongeur non équipé Dans un véhicule ou bateau possibilité de survivre un certain temps Les victimes restent fréquemment à l’endroit où elles ont coulé. La difficulté réside dans la localisation de ce point, (indications imprécises des témoins éventuels, difficulté de prendre des repères, …) Si la disparition est récente et le point de disparition précis, il y a lieu d’effectuer des recherches immédiates même par un plongeur non équipé de scaphandre autonome ( S.A.V. 1); Dans un véhicule ou un bateau venant de couler, il est possible à des victimes de survivre pendant un certain temps en respirant l’air resté emprisonné.Il est donc possible d’opérer des sauvetages, Dénombrer les victimes ( le sauvetage d’une seule peut entraîner l’évacuation de l’air et la noyade des autres. Étudier le problème et réunir les moyens suffisants pour les sauver toutes ( introduction d’air ou bloc de plongée dans la partie inférieure du véhicule).

13 Les recherches Première disposition Point de chute A V M O L N
Point de mise à l’eau Phase initiale Phase de recherche Premières dispositions : Toute recherche comporte une phase initiale qui consiste à explorer soigneusement les abords immédiats où la victime a été vue pour la dernière fois, ou de son point de chute supposé, si elle n’a pas refait surface. Après s’être mis à l’eau, d’une embarcation ou de la berge, le S.A.L. plonge légèrement en amont du lieu présumé de recherche pour éviter d’avoir à lutter contre le courant avant de commencer les recherches; Si le courant est rapide, le S.A.L. guidé de la berge ou de l’embarcation opère en remontant le courant. Cette recherche est répété trois ou quatre fois au maximum en se déportant d’un mètre environ à chaque fois selon la visibilité. Si les recherches n’ont pas abouti au cours de cette première phase, elles sont étendues à des zones successives de dix mètres de côté et de dix mètres de rayon en utilisant l’une des méthodes décrites ci-après :

14 Différentes méthodes de recherche

15 Recherches de gros objet ou véhicule
A vue Au grappin Par le plongeur La localisation peut se faire: A vue Soit une partie de l’objet émerge, soit il est immergé et produit des remous. Un véhicule peut se signaler par la présence de tâches d’huile en surface ou par ses phares allumés , etc…. Au grappin Lancé de la berge ou d’une embarcation Par le plongeur Dans ce cas, les méthodes de recherches de personnes décrites ci-avant peuvent être utilisées. Quand le véhicule est découvert, le S.A.L. doit, avant de procéder a son amarrage en vue de sa remonté, s’assurer de son équilibre au fond.. Le binôme Se placera en amont pour assurer sa sécurité

16 Recherches de petit objet
S’approcher doucement face au courant, en palmant haut, masque au plus près du fond. Descendre le long d’une gaffe ou d’une échelle placé à l’endroit de l’objet Courant De petit objets Appareils , armes , bijoux, objets. Observer les précautions suivantes : Descendre à l’endroit précis indiqué ou légèrement en aval . S’approcher doucement en palmant haut de manière à éviter de remuer la vase, Se tenir toujours face au courant pour conserver la meilleure visibilité, Rapprocher la vitre de son masque au plus près du fond, Déplacer les mains en les soulevant, Laisser le plongeur descendre le long d’une gaffe ou d’une échelle placée au préalable à l’endroit indiqué où l’objet est supposé se trouver. Il suffit de déplacer l’axe de recherche de quelques centimètres à chaque plongée pour vérifier systématiquement une plus grande surface. Certaines conditions de courant et de visibilité imposent d’autres méthodes de recherches plus précises :

17 Méthode de demi circonférence
Berge 10 m Sens du courant 10 m 1m Méthode de demi-circonférences En eau morte, les recherches se font en décrivant des demi-circonférences dont le rayon est chaque fois augmenté d’un mètre autour d’un point fixe de la berge, ou autour d’une embarcation immobilisée. Aide de plongée

18 Méthodes des lignes parallèles
20 mètres 8 à 10 mètres maxi 1 m Méthodes des lignes parallèles Par faible courant les recherches se font dans l’un et l’autre sens suivant des lignes parallèles à la berge. Le personnel de la rive se déplace en même temps que le plongeur et maintient la commande tendue perpendiculairement à la rive. Il la laisse filer d’environ un mètre après chaque trajet. Par courant moyen ou fort, les recherches se font uniquement en remontant le courant, le retour au point de départ se fait en surface. Après avoir laissé filer la commande de 1 Mètre environ, le chef d’Unité fait reprendre la recherche. ( Le S.A.L. doit avoir un lestage important.) . Berge Par courant fort recherche en remontant le courant

19 Méthode dans l’axe du courant
Sens du courant Gueuse Méthode dans l’axe du courant En partant de la gueuse, le S.A.L. progresse d’un mètre, au fur et à mesure de la recherche, dans l’axe du courant. Il se déplace de gauche à droite. avantages : Grâce à la commande de liaison, le plongeur se fatigue moins dans le courant. Peu de matériel nécessaire, mise en place rapide. Berge

20 Méthode en canal Sens du courant Sens des recherches

21 Méthode dans une anse

22 Méthode entre commande sans courant
1 fois la visibilité 1ère recherche 2ème recherche Chef d’unité Plongeur de secours Nœud de tête d’alouette Commandes lestées CSL de surveillance

23 Méthode entre commande avec courant
CSL de surveillance Chef d’unité Plongeur de secours Courant 3 ème commande mouillée pendant la recherche entre les 2 premières Commande lestée de 50 m 6 mètres Tracteur Baladeur

24 Méthode carroyage entre commande
CSL de surveillance Chef d’unité Plongeur de secours Commande lestée de 50 m 30 à 40 m 2 visibilités 1 v

25 Méthode carroyage serré
CSL de surveillance Chef d’unité Plongeur de secours 1 ère équipe 2 ème équipe 1 m Gueuse Flotteur indiquant la progression

26 Méthode par ligne traînée

27 Méthodes circulaires Circulaire au toucher Circulaire traînée

28 Reconnaissance à l’intérieur d’une épave
Technique surface non libre amarage en amont fil d'ariane obligatoire ne jamais dépasser le temps prévu RECONNAISSANCE Reconnaissance à l’intérieur d’une épave. (Cabine de bateau, gros véhicule de transport, car, autobus…) Il s’agit de technique Surface Non Libre. L’utilisation d’un fil d’Ariane est obligatoire. L’épave doit être amarré en amont par un cordage fixe. Le temps passé dans l’épave est fixé impérativement par le Chef d’Unité qui note l’heure de pénétration. Le choix d’un bloc 4 L, 6 l, 7 l avec harnais sans gilet facilite les reconnaissances V.L. Coincer dans la position ouverte la porte, le hublot, ou la trappe ..) Ne jamais dépasser le temps prévu. S’assurer de la stabilité , Utiliser un fil d’Ariane de l’entrée vers le point le plus éloigné de l’épave.

29 Dégagement des véhicules
pas de plongeurs à l'eau pendant LEVAGE VERTICAL TRACTION HORIZONTALE Commande de liaison Amarrage d’un ou plusieurs points résistants Au moyen de chaînes ou d’élingues S’assurer de la stabilité, Relier l’épave à la berge, Suivant la position du véhicule, l’amarrage peut être différent. Sa position détermine les possibilités des S.A.L. par ailleurs, l’emploi des moyens de levage est conditionné par la position de l’épave et l’état des lieux. Suivant le cas , il s’agit : d’une traction horizontale ; d’un levage vertical ; d’une combinaison des deux ; Amarrage proprement dit : Passer une ou plusieurs chaînes autour d’un ou plusieurs points résistants ( longerons, essieux, fusées de roues , crochet de remorque , pavillon selon l’état du véhicule. Il est souhaitable que les chaînes soient munies d’un crochet crapaud permettant l’arrêt sur un maillon. Il est également possible de ramener la V.L. en surface à l’aide de chambre à air de camion. Quand le véhicule est près à être remonté pour leur sécurité les plongeurs sortent de l’eau pour ne pas être dans l’axe de relevage ou de traction et surtout pour ne pas être coincé par le véhicule sous l’eau s'assurer de la stabilité du véhicule

30 Relevage au moyen d’unité
Levage simple le plongeur s'écarte pendant la remontée Volume du ballon adapté par rapport à la masse de l’objet La remonté de l’objet immergé s’effectue au moyen d’un parachute en toile très résistant. le volume du parachute sera en rapport avec la masse de l’objet à relever et les points d’ancrages devront être choisies judicieusement. Le levage simple Le plongeur rempli progressivement le parachute d‘air quand il commence a décoller et a remonter il stoppe le gonflage Il suit la remontée de l’objet en s’écartant de celui-ci.

31 Relevage au moyen d’unité
Levage contrôlé le plongeur équilibre le ballon au moyen de la purge Descente Déplacement Montée Le plongeur effectue une remontée contrôlée grâce à la soupape de purge

32 Interventions en site particuliers
Écluses Surface non libre Barrage Canyon ou torrent Surface non libre : Stage de sensibilisation et Matériel adapté obligatoire … Écluses Petit gabarit, Grand gabarit. ( soupapes, renard , visibilité, manœuvres, relations extérieures, connaissances et répertoires des sites. Barrages : Contact obligatoire avec les exploitants pour neutraliser les grilles ou trappes ; ( laisser impérativement une personne de confiance au pupitre. Demande de plans et visites régulières. ( Boussole, Bruit, Aspiration). Canyon ( Principe de l’entonnoir et du dénivelé).

33 Conclusion Dans tous les cas Établir un plan de plongée Durée
Mission de chacun Code de communication Établir un plan de plongée Profondeur Idées de manœuvre Pression de départ Moyen mis en place DANS TOUS LES CAS Le C.T., CU. Ou le S.A.L. le plus ancien devra établir un plan de plongée : Mission de chacun Durée Profondeur Pression de départ Paliers Consignes de sécurité en lien avec le site Moyens mis en place ( sécurité et travaux) Idées de manœuvre Code de communication Paliers Consignes de sécurité


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